Métamorphoses [d'Ovide].: Traduites en françois avec des remarques et des explications historiques, Volumen3par la Compagnie des libraires, 1787 |
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... qu'à refferrer le nœud qui le tient arrêté ; ces Bacchantes voyant leurs jambes attachées à la terre , s'efforcent de les en reti- rer , mais les racines qui en étoient forties , les empêchent de fe dégager . Elles regardent où font ...
... qu'à refferrer le nœud qui le tient arrêté ; ces Bacchantes voyant leurs jambes attachées à la terre , s'efforcent de les en reti- rer , mais les racines qui en étoient forties , les empêchent de fe dégager . Elles regardent où font ...
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... qu'à l'enfance où ils meurent » . D Je n'ai pas de peine à foufcrire au jugement d'Elien , qui regarde ce difcours comme une Fable , mais celui que Virgile met dans la bouchedumême Siléne , & ce que Plutarque lui fait dire fur la mort ...
... qu'à l'enfance où ils meurent » . D Je n'ai pas de peine à foufcrire au jugement d'Elien , qui regarde ce difcours comme une Fable , mais celui que Virgile met dans la bouchedumême Siléne , & ce que Plutarque lui fait dire fur la mort ...
Página 17
... qu'à commencer , & qu'il étoit prêt à l'entendre . Pan fe mit auffi - tôt à jouer fur fa flûte un air champêtre , dont Midas , qui étoit préfent à cette difpute , parut enchanté . Après que Pan eut fini , Tmole fe tourna du côté d ...
... qu'à commencer , & qu'il étoit prêt à l'entendre . Pan fe mit auffi - tôt à jouer fur fa flûte un air champêtre , dont Midas , qui étoit préfent à cette difpute , parut enchanté . Après que Pan eut fini , Tmole fe tourna du côté d ...
Página 33
... qu'à confoler un fre- » re qui avoit pour moi beaucoup de ten- دو " ככ כג * Le Poëte dit qu'il faifoit paroître blanc ce quiétic noir , & noir ce qui étoit blanc , Tome III . D » » dreffe . Semblable à un rocher battu des D'OVIDE . LIV ...
... qu'à confoler un fre- » re qui avoit pour moi beaucoup de ten- دو " ככ כג * Le Poëte dit qu'il faifoit paroître blanc ce quiétic noir , & noir ce qui étoit blanc , Tome III . D » » dreffe . Semblable à un rocher battu des D'OVIDE . LIV ...
Página 37
... qu'à appaifer le Dieu de la » Mer par des vœux & des facrifices » . Près du rivage étoit une Tour , fort élevée qui fervoit de Phare aux Vaiffeaux que la Mer avoit fatigués . Ils montent fur cette Tour , d'où voyant avec douleur les ...
... qu'à appaifer le Dieu de la » Mer par des vœux & des facrifices » . Près du rivage étoit une Tour , fort élevée qui fervoit de Phare aux Vaiffeaux que la Mer avoit fatigués . Ils montent fur cette Tour , d'où voyant avec douleur les ...
Términos y frases comunes
Achille affez Agamemnon Ajax Alcyone Apollon au-lieu auffi auroit avoient avoit ayant bleffé c'eft c'eſt c'étoit caufe Céfar ceffe Céïx Centaures chofe Ciel Circé confeils confulter Cyclopes Déeffe Deftin devoit Dieu Dieux difcours Diodore de Sicile Diomede Enée enfans enfin enfuite époufe Etna étoient étoit facrifice faifant faifoit fang fans fecond fecours fecret féjour felon fenfible feroit fervir feul fille foin foit fon fils fon Pere font fous fouvent fuis fuite fuivant fujet fur fon fur le rivage Grecs Hécube Hercule Hygin Hylonome Ifle Junon Jupiter l'Hiftoire l'Ifle laiffa Lapithes lorfque maniere métamorphofe Monftre mort n'avoit n'eft Neptune Nymphe oifeaux Ovide paffé parla ainfi Paufanias Pelée perfonne Phrygie Picus plufieurs Poëte Polypheme préfent premiere Priam prife Prince Princeffe puiffe refte Romulus Scylla Sibylle Sicile Strabon Temple Théfée Thrace trifte Troye Troyens Ulyffe Vaiffeau venoit Vénus vifage ככ כל دو دو دو
Pasajes populares
Página 52 - Jamais les chiens ni les oies qui veillent à la garde des maifons , ne troublèrent par leurs cris importuns, le tranquille repos qui y règne. Nul animal ni féroce ni domeftique ne s'y fit jamais entendre. Le vent n'y agita jamais , ni les feuilles ni les branches. On n'y entend ni querelles ni murmures : c'eft le féjour du filence & de la douce tranquillité.
Página 52 - Ovide, qui imitent toutes fortes de figures , & qui font en auffi grand nombre que les épis dans les plaines , les feuilles dans les forêts , & les grains de fable fur le rivage de la mer , demeurent nonchalamment étendus autour du lit de leur Souverain , & en défendent les approches.