Oeuvres lyriques de J.B. Rousseau, suivies d'un choix des lyriques francais depuis Ronsard jusqu'ànos jours: avec des notices et un commentaire historique, littéraire et philologiqueDelagrave, 1876 - 383 páginas |
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... ( Cours de littérature , Siècle de Louis XIV , ch . 9. ) 4. La jeunesse est toujours la même : elle se passionne outre mesure , dans un sens ou dans l'autre . Ces jeunes tétes exaltées qui dès 1760 décernaient à Rousseau le titre de Grand ...
... ( Cours de littérature , Siècle de Louis XIV , ch . 9. ) 4. La jeunesse est toujours la même : elle se passionne outre mesure , dans un sens ou dans l'autre . Ces jeunes tétes exaltées qui dès 1760 décernaient à Rousseau le titre de Grand ...
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... cours de l'année , avec d'autres Cantiques spirituels , par Gui Lefebvre de la Boderie . Cent quarante quatrains sur les psaumes de David , par le sieur de la Primaudaye . La Muse chrestienne . Paris . ( Recueil de diverses pièces ...
... cours de l'année , avec d'autres Cantiques spirituels , par Gui Lefebvre de la Boderie . Cent quarante quatrains sur les psaumes de David , par le sieur de la Primaudaye . La Muse chrestienne . Paris . ( Recueil de diverses pièces ...
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... cour des monnaies . ( Plus de 13,000 vers . ) Desmarets de Saint - Sorlin , pseaumes de David , paraphrasés en vers et accommodés au règne de Louis le Juste . Les Muses de la Sagesse divine et de l'Amour divin , par le père Lemoyne ...
... cour des monnaies . ( Plus de 13,000 vers . ) Desmarets de Saint - Sorlin , pseaumes de David , paraphrasés en vers et accommodés au règne de Louis le Juste . Les Muses de la Sagesse divine et de l'Amour divin , par le père Lemoyne ...
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... cours , D'aimer la longue vie , et négliger la bonne , D'embrasser le présent sans soin de l'avenir , Et de plus estimer un moment qu'il nous donne Que l'attente des biens qui ne sauraient finir . P. CORNEILLE , Imitation de J.-C. I , 1 ...
... cours , D'aimer la longue vie , et négliger la bonne , D'embrasser le présent sans soin de l'avenir , Et de plus estimer un moment qu'il nous donne Que l'attente des biens qui ne sauraient finir . P. CORNEILLE , Imitation de J.-C. I , 1 ...
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... 'on outrage . 7. C'est encore ici plus qu'un souvenir de Racine , qui a dit Et les larmes du juste implorant son appui Sont précieuses devant lui . • De ses triomphantes années Le temps respectera le cours ; LIVRE 1 . 12223 ODE V.
... 'on outrage . 7. C'est encore ici plus qu'un souvenir de Racine , qui a dit Et les larmes du juste implorant son appui Sont précieuses devant lui . • De ses triomphantes années Le temps respectera le cours ; LIVRE 1 . 12223 ODE V.
Términos y frases comunes
admirable âme assez Athalie Bacchus beauté beaux belle Boileau bonheur Bossuet cantiques céleste chants charme ciel cieux cœur comte du Luc Corneille d'Horace Deus Dieu Dieux divine Dominus ejus encens ennemis épithète éternelle expression faible FONTANES fortune fureur gloire goût grandeur guerre harmonie HARPE héros heureux hommes Horace idées image imité immortelle inspiré j'ai jamais jour juste l'âme l'harmonie l'homme l'ode l'univers LEBRUN Louis Louis XIV lyre mains Malherbe mérite mort mortels Muses Neptune noble obscure ODE VII Ovide paix Paraphrase parle pensée peuple Pindare pleurs poésie lyrique poëte poétique premier prince Eugène prosaïque psaumes qu'un Racan Racine rhythme rien rime rois Rollin Ronsard Rousseau sacré sagesse saint secours Seigneur semble sentiment seul sort souvent stances strophe style sublime sujet sunt superbe temple terre TEXTE DU PSAUME TIRÉE DU PSAUME triomphe triste trouve vainqueur vérité vertu Virgile voit voix Voltaire XVIIe siècle yeux
Pasajes populares
Página 338 - Je suis vaincu du temps; je cède à ses outrages : Mon esprit seulement, exempt de sa rigueur, A de quoi témoigner en ses derniers ouvrages Sa première vigueur. Les puissantes faveurs dont Parnasse m'honore, Non loin de mon berceau commencèrent leur cours ; Je les possédai jeune, et les possède encore A la fin de mes jours. Ce que j'en ai reçu, je veux te le produire...
Página 339 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est...
Página 369 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Página 340 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Página 72 - Que peuvent contre lui tous les rois de la terre ? En vain ils s'uniraient pour lui faire la guerre : Pour dissiper leur ligue , il n'a qu'à se montrer ; II parle , et dans la poudre il les fait tous rentrer.
Página 356 - Le pain que je vous propose Sert aux anges d'aliment; Dieu lui-même le compose De la fleur de son froment; C'est ce pain si délectable Que ne sert point à sa table Le monde que vous suivez. Je l'offre à qui veut me suivre; Approchez. Voulez-vous vivre ? Prenez, mangez et vivez.
Página 323 - De moi, déjà deux fois d'une pareille foudre Je me suis vu perclus, Et deux fois la raison m'a si bien fait résoudre Qu'il ne m'en souvient plus. Non qu'il ne me soit grief...
Página 320 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine, Et n'ai pas entrepris : Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Página 321 - Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste Elle eût eu plus d'accueil ? Ou qu'elle eût moins senti la poussière...
Página 340 - Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de...