Oeuvres lyriques de J.B. Rousseau, suivies d'un choix des lyriques francais depuis Ronsard jusqu'ànos jours: avec des notices et un commentaire historique, littéraire et philologiqueDelagrave, 1876 - 383 páginas |
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... malheur ait éveillé si peu de sym- pathies dans le public , qu'il ait assez mal employé ses vingt années de jeunesse ... malheurs semblaient être le châti- ment providentiel . Rousseau n'eut plus dès lors qu'une vie troublée et ...
... malheur ait éveillé si peu de sym- pathies dans le public , qu'il ait assez mal employé ses vingt années de jeunesse ... malheurs semblaient être le châti- ment providentiel . Rousseau n'eut plus dès lors qu'une vie troublée et ...
Página xiii
... malheurs . Toutes les démarches auxquelles il s'abaissa furent vaines ; il dut repartir pour Bruxelles , où il languit , accablé d'infirmités , jusqu'au 14 mars 1741 , protestant de son innocence au lit de mort , comme on le voit dans ...
... malheurs . Toutes les démarches auxquelles il s'abaissa furent vaines ; il dut repartir pour Bruxelles , où il languit , accablé d'infirmités , jusqu'au 14 mars 1741 , protestant de son innocence au lit de mort , comme on le voit dans ...
Página xiv
... malheur de naître à une époque peu favorable au développement de l'inspiration poétique : dès la fin du XVIIe siècle , la poésie était négligée parce qu'on la supposait inutile . On se trompa même sur le peu qui en restait ; on prit l ...
... malheur de naître à une époque peu favorable au développement de l'inspiration poétique : dès la fin du XVIIe siècle , la poésie était négligée parce qu'on la supposait inutile . On se trompa même sur le peu qui en restait ; on prit l ...
Página xvii
... malheur qui puisse arriver à un poëte . On serait injuste si l'on ne tenait pas compte de toutes ces circonstances , quand on étudie la vie et les écrits de Rousseau . A ceux qui paraî- traient disposés à juger son talent avec trop de ...
... malheur qui puisse arriver à un poëte . On serait injuste si l'on ne tenait pas compte de toutes ces circonstances , quand on étudie la vie et les écrits de Rousseau . A ceux qui paraî- traient disposés à juger son talent avec trop de ...
Página 28
... malheurs de Rousseau , comme un funeste pressentiment . 2. Ce psaume est le premier cantique des degrés , chants de pèlerins qui renaient , qui montaient à Jérusalem aux jours de fête ; c'est du moins l'hy- pothèse la plus générale . 3 ...
... malheurs de Rousseau , comme un funeste pressentiment . 2. Ce psaume est le premier cantique des degrés , chants de pèlerins qui renaient , qui montaient à Jérusalem aux jours de fête ; c'est du moins l'hy- pothèse la plus générale . 3 ...
Términos y frases comunes
admirable âme assez Athalie Bacchus beauté beaux belle Boileau bonheur Bossuet cantiques céleste chants charme ciel cieux cœur comte du Luc Corneille d'Horace Deus Dieu Dieux divine Dominus ejus encens ennemis épithète éternelle expression faible FONTANES fortune fureur gloire goût grandeur guerre harmonie HARPE héros heureux hommes Horace idées image imité immortelle inspiré j'ai jamais jour juste l'âme l'harmonie l'homme l'ode l'univers LEBRUN Louis Louis XIV lyre mains Malherbe mérite mort mortels Muses Neptune noble obscure ODE VII Ovide paix Paraphrase parle pensée peuple Pindare pleurs poésie lyrique poëte poétique premier prince Eugène prosaïque psaumes qu'un Racan Racine rhythme rien rime rois Rollin Ronsard Rousseau sacré sagesse saint secours Seigneur semble sentiment seul sort souvent stances strophe style sublime sujet sunt superbe temple terre TEXTE DU PSAUME TIRÉE DU PSAUME triomphe triste trouve vainqueur vérité vertu Virgile voit voix Voltaire XVIIe siècle yeux
Pasajes populares
Página 338 - Je suis vaincu du temps; je cède à ses outrages : Mon esprit seulement, exempt de sa rigueur, A de quoi témoigner en ses derniers ouvrages Sa première vigueur. Les puissantes faveurs dont Parnasse m'honore, Non loin de mon berceau commencèrent leur cours ; Je les possédai jeune, et les possède encore A la fin de mes jours. Ce que j'en ai reçu, je veux te le produire...
Página 339 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est...
Página 369 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Página 340 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Página 72 - Que peuvent contre lui tous les rois de la terre ? En vain ils s'uniraient pour lui faire la guerre : Pour dissiper leur ligue , il n'a qu'à se montrer ; II parle , et dans la poudre il les fait tous rentrer.
Página 356 - Le pain que je vous propose Sert aux anges d'aliment; Dieu lui-même le compose De la fleur de son froment; C'est ce pain si délectable Que ne sert point à sa table Le monde que vous suivez. Je l'offre à qui veut me suivre; Approchez. Voulez-vous vivre ? Prenez, mangez et vivez.
Página 323 - De moi, déjà deux fois d'une pareille foudre Je me suis vu perclus, Et deux fois la raison m'a si bien fait résoudre Qu'il ne m'en souvient plus. Non qu'il ne me soit grief...
Página 320 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine, Et n'ai pas entrepris : Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Página 321 - Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste Elle eût eu plus d'accueil ? Ou qu'elle eût moins senti la poussière...
Página 340 - Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de...