Oeuvres lyriques de J.B. Rousseau, suivies d'un choix des lyriques francais depuis Ronsard jusqu'ànos jours: avec des notices et un commentaire historique, littéraire et philologiqueDelagrave, 1876 - 383 páginas |
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... mortel est digne d'entrer ? Qui pourra , grand Dieu , pénétrer ODE I. 1. Les Odes sacrées de J.-B. Rousseau n'ont été imprimées séparé- ment qu'en 1739 ; il les publia à la prière de l'archiduchesse gouvernante des Pays - Bas . Elles ...
... mortel est digne d'entrer ? Qui pourra , grand Dieu , pénétrer ODE I. 1. Les Odes sacrées de J.-B. Rousseau n'ont été imprimées séparé- ment qu'en 1739 ; il les publia à la prière de l'archiduchesse gouvernante des Pays - Bas . Elles ...
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... mortels , et que Dieu nous jugera tous . Mais , n'en déplaise à Marmontel , ces vérités sont partout l'essence de la morale religieuse ; elles sont vulgaires sans doute , mais elles frappent toujours l'imagination , si elles sont ...
... mortels , et que Dieu nous jugera tous . Mais , n'en déplaise à Marmontel , ces vérités sont partout l'essence de la morale religieuse ; elles sont vulgaires sans doute , mais elles frappent toujours l'imagination , si elles sont ...
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... mortels , ils le sont comme vous . [ mes 21 . Nous avons beau vanter nos grandeurs passagères , Il faut mêler sa cendre aux cendres de ses pères , Et c'est le même Dieu qui nous jugera tous 22 . 18. Des ressorts qui s'anéantissent , le ...
... mortels , ils le sont comme vous . [ mes 21 . Nous avons beau vanter nos grandeurs passagères , Il faut mêler sa cendre aux cendres de ses pères , Et c'est le même Dieu qui nous jugera tous 22 . 18. Des ressorts qui s'anéantissent , le ...
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... mortels Soient les monuments de sa gloire ! Et vous , ô maître des humains , Qui de vos bienfaisantes mains Formez les monarques célèbres , Montrez - vous à tout l'univers , Et daignez chasser les ténèbres Dont nos faibles yeux sont ...
... mortels Soient les monuments de sa gloire ! Et vous , ô maître des humains , Qui de vos bienfaisantes mains Formez les monarques célèbres , Montrez - vous à tout l'univers , Et daignez chasser les ténèbres Dont nos faibles yeux sont ...
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... mortels les plus glacés 19 , Et , vous offrant mon hommage , Leur montrer l'unique usage Des jours que vous leur laissez 20 . 16. Brébeuf a exprimé avec force et amertume la pensée contraire ; à peine sauvée de la mort , l'âme retourne ...
... mortels les plus glacés 19 , Et , vous offrant mon hommage , Leur montrer l'unique usage Des jours que vous leur laissez 20 . 16. Brébeuf a exprimé avec force et amertume la pensée contraire ; à peine sauvée de la mort , l'âme retourne ...
Términos y frases comunes
admirable âme assez Athalie Bacchus beauté beaux belle Boileau bonheur Bossuet cantiques céleste chants charme ciel cieux cœur comte du Luc Corneille d'Horace Deus Dieu Dieux divine Dominus ejus encens ennemis épithète éternelle expression faible FONTANES fortune fureur gloire goût grandeur guerre harmonie HARPE héros heureux hommes Horace idées image imité immortelle inspiré j'ai jamais jour juste l'âme l'harmonie l'homme l'ode l'univers LEBRUN Louis Louis XIV lyre mains Malherbe mérite mort mortels Muses Neptune noble obscure ODE VII Ovide paix Paraphrase parle pensée peuple Pindare pleurs poésie lyrique poëte poétique premier prince Eugène prosaïque psaumes qu'un Racan Racine rhythme rien rime rois Rollin Ronsard Rousseau sacré sagesse saint secours Seigneur semble sentiment seul sort souvent stances strophe style sublime sujet sunt superbe temple terre TEXTE DU PSAUME TIRÉE DU PSAUME triomphe triste trouve vainqueur vérité vertu Virgile voit voix Voltaire XVIIe siècle yeux
Pasajes populares
Página 338 - Je suis vaincu du temps; je cède à ses outrages : Mon esprit seulement, exempt de sa rigueur, A de quoi témoigner en ses derniers ouvrages Sa première vigueur. Les puissantes faveurs dont Parnasse m'honore, Non loin de mon berceau commencèrent leur cours ; Je les possédai jeune, et les possède encore A la fin de mes jours. Ce que j'en ai reçu, je veux te le produire...
Página 339 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est...
Página 369 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Página 340 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Página 72 - Que peuvent contre lui tous les rois de la terre ? En vain ils s'uniraient pour lui faire la guerre : Pour dissiper leur ligue , il n'a qu'à se montrer ; II parle , et dans la poudre il les fait tous rentrer.
Página 356 - Le pain que je vous propose Sert aux anges d'aliment; Dieu lui-même le compose De la fleur de son froment; C'est ce pain si délectable Que ne sert point à sa table Le monde que vous suivez. Je l'offre à qui veut me suivre; Approchez. Voulez-vous vivre ? Prenez, mangez et vivez.
Página 323 - De moi, déjà deux fois d'une pareille foudre Je me suis vu perclus, Et deux fois la raison m'a si bien fait résoudre Qu'il ne m'en souvient plus. Non qu'il ne me soit grief...
Página 320 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine, Et n'ai pas entrepris : Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Página 321 - Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste Elle eût eu plus d'accueil ? Ou qu'elle eût moins senti la poussière...
Página 340 - Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de...