Oeuvres lyriques de J.B. Rousseau, suivies d'un choix des lyriques francais depuis Ronsard jusqu'ànos jours: avec des notices et un commentaire historique, littéraire et philologiqueDelagrave, 1876 - 383 páginas |
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... voit dans cette lettre de Rollin , qui est sa plus touchante oraison funèbre : « J'ai appris la maladie dangereuse de M. Rousseau ; mais je ne sais que par des bruits vagues la nouvelle de sa << mort ... Ce sera une grande perte que l ...
... voit dans cette lettre de Rollin , qui est sa plus touchante oraison funèbre : « J'ai appris la maladie dangereuse de M. Rousseau ; mais je ne sais que par des bruits vagues la nouvelle de sa << mort ... Ce sera une grande perte que l ...
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... Les Philistins ont fui ; Telle vent dans les airs chasse au loin la fumée ; Tel un brasier ardent voit la cire enflammée Bouillonner devant lui . Ainsi la justice des cieux Confondra leurs lâches pensées . 46 J.-B. ROUSSEAU .
... Les Philistins ont fui ; Telle vent dans les airs chasse au loin la fumée ; Tel un brasier ardent voit la cire enflammée Bouillonner devant lui . Ainsi la justice des cieux Confondra leurs lâches pensées . 46 J.-B. ROUSSEAU .
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... voit la tête chenue 20 D'un chêne , autrefois arbrisseau 24 , Égaler le plus haut rameau Du cèdre caché dans la nue : ? Tel , croissant toujours en grandeur , Il égalera la splendeur Du potentat le plus superbe ; Et ses redoutables ...
... voit la tête chenue 20 D'un chêne , autrefois arbrisseau 24 , Égaler le plus haut rameau Du cèdre caché dans la nue : ? Tel , croissant toujours en grandeur , Il égalera la splendeur Du potentat le plus superbe ; Et ses redoutables ...
Página 25
... voit en effet les images incohérentes d'appui , de mur , d'aile et de rempart . Qu'on lise le psalmiste , pour mesurer l'intervalle ! - 8. Nous avons déjà vu : de leurs dards empoisonnés . C'est une grande pau- vreté d'expression . Des ...
... voit en effet les images incohérentes d'appui , de mur , d'aile et de rempart . Qu'on lise le psalmiste , pour mesurer l'intervalle ! - 8. Nous avons déjà vu : de leurs dards empoisonnés . C'est une grande pau- vreté d'expression . Des ...
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... voit échapper " . Mais quoi les périls qui m'obsèdent 4. Mouvement heureux ; mais Racine avait dit : Et qui suis - je , que tu daignes Jusqu'à moi te rabaisser ? " Brébeuf ( Entretiens solitaires ) a développé fortement la même pensée ...
... voit échapper " . Mais quoi les périls qui m'obsèdent 4. Mouvement heureux ; mais Racine avait dit : Et qui suis - je , que tu daignes Jusqu'à moi te rabaisser ? " Brébeuf ( Entretiens solitaires ) a développé fortement la même pensée ...
Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 338 - Je suis vaincu du temps; je cède à ses outrages : Mon esprit seulement, exempt de sa rigueur, A de quoi témoigner en ses derniers ouvrages Sa première vigueur. Les puissantes faveurs dont Parnasse m'honore, Non loin de mon berceau commencèrent leur cours ; Je les possédai jeune, et les possède encore A la fin de mes jours. Ce que j'en ai reçu, je veux te le produire...
Página 339 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est...
Página 369 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Página 340 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Página 72 - Que peuvent contre lui tous les rois de la terre ? En vain ils s'uniraient pour lui faire la guerre : Pour dissiper leur ligue , il n'a qu'à se montrer ; II parle , et dans la poudre il les fait tous rentrer.
Página 356 - Le pain que je vous propose Sert aux anges d'aliment; Dieu lui-même le compose De la fleur de son froment; C'est ce pain si délectable Que ne sert point à sa table Le monde que vous suivez. Je l'offre à qui veut me suivre; Approchez. Voulez-vous vivre ? Prenez, mangez et vivez.
Página 323 - De moi, déjà deux fois d'une pareille foudre Je me suis vu perclus, Et deux fois la raison m'a si bien fait résoudre Qu'il ne m'en souvient plus. Non qu'il ne me soit grief...
Página 320 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine, Et n'ai pas entrepris : Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Página 321 - Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste Elle eût eu plus d'accueil ? Ou qu'elle eût moins senti la poussière...
Página 340 - Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de...