Morceaux choisis des classiques français des XVIe, XVIIe, XVIIIe,et XIXe siècles á lu̓sage des classes de troisième, seconde et rhetoriqueGarnier frères, 1883 - 628 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 79
Página
... tête du second les explications préliminaires que con- tenait l'Avertissement du premier . Il nous suffira de rappeler que , si nous avons réduit le nombre des pas- sages empruntés aux maîtres de la poésie française du XVIIe siècle ...
... tête du second les explications préliminaires que con- tenait l'Avertissement du premier . Il nous suffira de rappeler que , si nous avons réduit le nombre des pas- sages empruntés aux maîtres de la poésie française du XVIIe siècle ...
Página 6
... tête du collège du Coqueret , avait été précepteur d'Antoine de Baïf quand Ronsard était secré taire de Lazare de Baïf , son père , puis précepteur des pages du roi ; DU BELLAY , mort en 1560 , à trente - six ans , sans avoir eu le ...
... tête du collège du Coqueret , avait été précepteur d'Antoine de Baïf quand Ronsard était secré taire de Lazare de Baïf , son père , puis précepteur des pages du roi ; DU BELLAY , mort en 1560 , à trente - six ans , sans avoir eu le ...
Página 11
... tête de son petit recueil , semble régenter la poésie et maintenir dans le devoir les six disciples , Racan , Maynard , Coulomby , Touvant , Yvande , Dumoutier ( on sait leurs noms comme ceux de la pléiade ) , assis tous les soirs ...
... tête de son petit recueil , semble régenter la poésie et maintenir dans le devoir les six disciples , Racan , Maynard , Coulomby , Touvant , Yvande , Dumoutier ( on sait leurs noms comme ceux de la pléiade ) , assis tous les soirs ...
Página 45
... tête de la seule euvre qui pouvait faire hesiter l'admiration , la Franciade : Il est aisé de me reprendre , Mais malaisé de faire mieux . · Et Quand il mourut on couvrit sa tombe de fleurs et de vers . R. Gar- nier fit une élégie ...
... tête de la seule euvre qui pouvait faire hesiter l'admiration , la Franciade : Il est aisé de me reprendre , Mais malaisé de faire mieux . · Et Quand il mourut on couvrit sa tombe de fleurs et de vers . R. Gar- nier fit une élégie ...
Página 49
... tête l'un contre l'autre . Etym .: co - icere ( frapper , d'où ictus ) . 6. Etymol .: ad , baubari , baúlev . On a dit baier . REGNIER écrit encore abayer . Le berger en a fait présent à Thoinon , qui le fait - Marcher entre les fleurs ...
... tête l'un contre l'autre . Etym .: co - icere ( frapper , d'où ictus ) . 6. Etymol .: ad , baubari , baúlev . On a dit baier . REGNIER écrit encore abayer . Le berger en a fait présent à Thoinon , qui le fait - Marcher entre les fleurs ...
Términos y frases comunes
Agésilas Alzire âme amour AMPHITRYON beau Bellay belle Bergeries Boileau bois bruit BURRHUS ceste chansons chant Chénier chose ciel cieux cœur comédie Corneille cour CRISPIN Desportes Dieu dieux discours donne doux dramatique enfant ÉRASTE esprit Etym Etymol fable faict fleurs flots Fontaine François François Ier GÉRONTE gloire goût Harpe helas heureux Homère homme Horace Ibid imitation Isac J'ai j'ay j'en jamais jour l'esprit laisse Lamartine latin Louis Louis XIV lyrique main Malherbe Marot mesme Molière monde mort mourir muse nature nuit odes passe pensée père peuple pièce pieds plaisir pleurs poème poésie poète poétique premier prose qu'un Quinault Racan Racine reste Rhadamiste rien rime rois Ronsard roses SAINTE-BEUVE sang satire scène Seigneur Sénèque seul soleil sonnet sort SOSIE souvent stances strophe style terre théâtre tragédie Tufière Vauquelin veux Virgile Voilà voix Voltaire XVIe XVIIe siècle yeux
Pasajes populares
Página 267 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Página 502 - Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux.
Página 241 - J'en use d'autre sorte; et, me laissant guider, Souvent à marcher seul j'ose me hasarder. On me verra toujours pratiquer cet usage. Mon imitation n'est point un esclavage : Je ne prends que l'idée, et les tours, et les lois Que nos maîtres suivaient eux-mêmes autrefois.
Página 38 - Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy là qui conquit la Toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison.
Página 183 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir. Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes; Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.
Página 517 - AuSterlitz, Montmirail ; Ni l'apparition des vieilles pyramides ; Ni le pacha du Caire et ses chevaux numides Qui mordaient le vôtre au poitrail ; Ce n'était pas le bruit de bombe et de mitraille Que vingt ans, sous ses pieds, avait fait la bataille Déchaînée en noirs tourbillons, Quand son souffle poussait sur cette mer troublée Les drapeaux frissonnants, penchés dans la mêlée Comme les mâts des bataillons; Ce n'était pas Madrid, le Kremlin et le Phare...
Página 234 - Que si je ne suis né pour de si grands projets, Du moins que les ruisseaux .m'offrent de doux objets ! Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie ! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie, Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix:' En est-il moins profond, et moins plein de délices?
Página 550 - J'écoutais cependant cette simple harmonie, Et comme le bon sens fait parler le génie, J'admirais quel amour pour l'âpre vérité Eut cet homme si fier en sa naïveté. Quel grand et vrai savoir des choses de ce monde, Quelle mâle...
Página 408 - Soyez béni, mon Dieu ! vous qui daignez me rendre L'innocence et son noble orgueil ; Vous qui, pour protéger le repos de ma cendre, Veillerez près de mon cercueil ! Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah!
Página 227 - Comme il a ridé mon front. Le même cours des planètes Règle nos jours et nos nuits : On m'a vu ce que vous êtes; Vous serez ce que je suis. Cependant j'ai quelques charmes Qui sont assez éclatants Pour n'avoir pas trop d'alarmes De ces ravages du temps.