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tendre,

ibid. 699

Societés, Comment l'amour propre les for. me, 106. fuiv. La crainte de la mort en eft

le premier lien,

Solitude, pourquoi elle ennuie,

107

Soupçon. L'amour-propre fe conduit dans les foupçons comme la charité, 117. & fuiu, Voyez le fixiéme Traité de la guerifon des foupçons, 154. & suiv. affoibliffent la charité en bien des manieres, 255, & fuiv, on doit les éviter, 257. Occafion où l'on le peut faire, ibid. Difpofitions où l'on doit être fur cela 28. Il faut recevoir avec joie les éclairciffe mens qui les diffipent, 259. 11 faut les rechercher, ibid. Conduite que tient la charité 261. Ce qu'il faut faire quand les foupçons tombent fur nous, 261. & fui. Ce qu'il faut faire quand on juge les éclairciffemens inuti les, 267. & fuiv. On ne guerit pas les foupçons tout-d'un coup, 269. ces foupçons nous font avantageux,

T

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Alens, La connoiffance de foi-même sup?

dangereux quand on ne les connoît pas, ibid. fuiv. ce n'est pas un grand mal de n'en point avoir, ibid. Tenter Dieu, Des diverfes manieres dont on tente Dieu. Voyez le troifiéme Traité depuis la page 150, ce que c'est, 150 suiv, est la caufe de la perte de ceux qui periffent, 182

Saint Thomas de Cantorberi avoit un ami qui l'avertiffoit de tout ce qu'il y avait à redire à fa conduite, 79, fa conduite à l'égard du Roi d'Angleterre, 180 Trafic. On fait trafic de fervices, de civilités, &c.

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eft un mal

V

rir, 13. Incommodité d'un homme vain, 26. Combien les honnêtes gens l'évitent, 116, fuiv, a fes martyrs, 137. et un des grans refforts de la conduite des hommes,

260

Verité. On s'empêche de la voir, 17. Moyen dont on fe fert pour cela, ib. & fuiv, on n'aime à la dire à perfonne, 18. on ne peut éviter tout à fait de la voir, 21. on veut peutêtre l'aimer, ibid on ne l'aime point effectivement, 23. & fuiv, on l'aime dans les chofes legetes ou indifferentes, 24. ¡On se perfuade que ce que l'on aime eft vrai, 25. on en a de Féloignement fecret, 45. Dieu inspire uñe pente vers la verité, 46, l'éloignement que l'on en a, prouve le déreglement de l'homme, ibid. Combien l'amour que l'on a pour la verité eft foible, 47. & fuiv. 304. Pour fortir de ce mal il faut l'avouer, so. L'amour.propre rend fteriles les verités les plus claires, 58. non pratiquées augmente nos maux, 19. Comment on fe conduit à l'égard des verités conteftées, ibid. On doit beaucoup examiner le mauvais ufage que l'on fait des verités, 69. Mépris que nous faifons de ceux qui en ignorent quelqu'une, quoiqu'ils en pratiquent d'autres, ibid. 283. comment on la doit chetcher , 71, Il y a des contrarietés apparentes dans les verités chrétiennes, 160. 170. Le zele que l'on a pour la foûtenir vient quelquefois d'amour propre ou d'attache à fon propre fens, 284. Verités de pratique, 286. Les Saints ne les ont pas ignorées, ibid Quelquefois ceux qui paroiffent imparfaits foûtiennent mieux la verité, 286. Comment difcerner ti on l'aime,

202

Vertus. Combien dangereux de regarder fes
propres vettus, 33. 34. On doit beaucoup exa-
miner les imperfections de fes vertus, 66.
Juiv. L'amour-propre imite la charité dans la
pratique des vertus,
132.& fuiv.
Vocation. C'eft tenter Dieu que d'entrer fans
vocation dans un état, 177. de-là viennent
tous les déreglemens,

178. & suiv.

ibid.

Vaux du Batême, 2 18. la comedie y eft op-

pofte,

Fin de la Table.

V

eft un mal on ne veut pas

rir, 13. Incommodité d'un homme vain, 26. Combien les honnêtes gens l'évitent, 116. fui, a fes martyrs, 137, et un des grans refforts de la conduite des hommes,

260

Verité. On s'empêche de la voir, 17. Moyen dont on fe fert pour cela, ib. fuiv, on n'aime à la dire à perfonne, 18. on ne peut éviter tout-à fait de la voir, 21. on veut peutêtre l'aimer, ibid on ne l'aime point effectivement, 23. & fuiv, on l'aime dans les chofes legetes ou indifferentes, 24. ¡On se persuade que ce que l'on aime est vrai, 25. on en a de Féloignement fecret, 45. Dieu inspire une pente vers la verité, 46, l'éloignement que l'on en a, prouve le déreglement de l'homme, ibid. Combien l'amour que l'on a pour la ve rité eft foible, 47. & fuiv. 304. Pour fortir de ce mal il faut l'avouer, so. L'amour.propre rend fteriles les verités les plus claires, 58. non pratiquées augmente nos maux, 59. Comment on fe conduit à l'égard des verités contestées, ibid. On doit beaucoup examiner le mauvais ufage que l'on fait des verités," 69. Mépris que nous faifons de ceux qui en ignorent quelqu'une, quoiqu'ils en pratiquent d'autres, ibid. 283. comment on la doit chercher, 71, Il y a des contrarietés apparentes dans les verités chrétiennes, 160. 170. Le zele que l'on a pour la foûtenir vient quelquefois d'amour propre ou d'attache à fon propre fens, 284. Verités de pratique, 286. Les Saints ne les ont pas ignorées, ibid Quelquefois ceux qui paroiffent imparfaits foûtiennent mieux la verité, 286. Comment difcerner n on l'aime,

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CHAP.

VI.

niere dont ils s'acquitteront de leur minif tere. On leur laiffe fuivre leurs idées ; & fi l'on leur donne quelques regles pour les conduire, elles font fi vagues & fi peu précifes, qu'ils s'imaginent les fuivre en faitant tout le contraire de ce qu'ils devroient.

On ne peut fans doute alleguer d'autre raifon de cette conduite, finon que l'on fait fort bien dans ces Societés en quoi confifte la maniere de bien pratiquer les ceremonies; mais que l'on y a peu d'idée de ce que c'eft qu'annoncer la parole de Dieu d'une maniere digne de Dieu, & que l'on y connoît peu l'importance des fautes qu'on peut commettre en abufant de ce miniftere, & en le rapportant à foi-même, & non à l'utilité de fes auditeurs.

C'eft la conclufion qu'il femble que l'on ait droit d'en tirer; mais elle s'étend beaucoup plus loin que cet exemple, & fi nous voulons nous faire juftice, nous trouverons qu'elle nous regarde en une infinité de rencontres. Car nous fommes de même exacts dans la pratique de certains devoirs exterieurs, jufqu'a y être attachés d'une ima niere fuperftitieufe & Judaïque; mais nous n'avons que des idées fort confufes de la plupart des devoirs fpirituels & des vertus interieures: ce qui fait que nous connoiffons peu les fautes que nous faifons contre ces devoirs & ces vertus. Nous ne fayons ce que c'eft que la veritable humilité, la mortification interieure, l'amour de la juftice, la dépendance de Dieu, le defir de la fouffrance: & comme ce font ces vercus interieures qui font la fource de l'onction

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