 | abbé Millot (Claude François Xavier) - 1773 - 432 páginas
..., eflimant ( ce font go CHARLES! X. tes propres termes ) qu'il n'y avoit rien de fi dommageable en un pays qu'une guerre civile, ni plus profitable qu'une paix à quelque prix que ce fût. Le connétable de Montmorenci lui difant un jour en colere dans le confeil , qu'il... | |
 | Gabriel-Henri Gaillard - 1777 - 448 páginas
...» qu'on ait donné bataille 'par quatre ou » cinq fois , j'ai toujours confeillé & per» fuadé la paix , eftimant qu'il n'y avoit rien » fi dommageable à un pays qu'une guerre «s civile , ni plus profitable, qu'une paix } à » quelque condition que ce fût ..... Je » fis... | |
 | Louis Mayeul Chaudon, Antoine François Delandine - 1804 - 688 páginas
...l'embrasement général , estimant ( ce sont ses propres termes) qu'il n'y avoit rien tie jfluï dommageable en un pays qu'une guerre! civile , ni plus profitable qu'une paix à quelque prix que ce fût ; et lorsque tout le royaume étoit en feu . il tâcha d'adoucir le mal qu'il n'avoit... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 630 páginas
...général , « estimant ( ce sont ses propres termes) qu'il n'y avoit rien clé plus dommageable en un pays qu'une guerre civile , ni plus profitable qu'une paix à quelque prix que ce fût. » Lorsque tout le royaume éloit en feu , il lâcha d'adoucir le mal qu'il n'a voit... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 626 páginas
...gé-i néral , « estimant ( ce sont se» propres termes ) qu'il n'y avoit rien de plus dommageable en un pays qu'une guerre civile , ni plus profitable qu'une paix à quelque prix que ce fût. » Lorsque tout le royaume éloit en feu , il tacha d'ar doueir le mal qu'il n'ayoit... | |
 | Gabriel-Henri Gaillard - 1818 - 468 páginas
...ou « cinq fois, j'ai toujours conseillé et persuadé la paix, estimant qu'il n'yavoit • rien si dommageable à un pays qu'une guerre civile, ni plus...qu'une paix, à quelque condition que ce fût.... Je fis place aux armes, les« quelles étoient les plus fortes, et me retirai aux champs avec ma femme,... | |
 | François Laurent - 1863 - 546 páginas
...mourant : « J'ai toujours conseillé et persuadé, estimant qu'il n'y avait rien si dommageable en un pays qu'une guerre civile, ni plus profitable qu'une paix, à quelque condition que ce fût. » Cette opinion était au fond celle de tous les catholiques modérés. Catherine de Médicis écrit... | |
 | François Laurent - 1879 - 566 páginas
...mourant : « J'ai toujours conseillé et persuadé, estimant qu'il n'y avait rien si dommageable en un pays qu'une guerre civile, ni plus profitable qu'une paix, à quelque condition que ce fût. » Cette opinion était au fond celle de tous les catholiques modérés. Catherine de Médicis écrit... | |
 | Claude François Xavier Millot - 1777 - 410 páginas
...tempé.'.-,»',.' jamens, eftimant ( ce font fçs propres termes ) qu'il n'y avait rien de fi dommageable en un pays qu'une guerre civile , ni plus profitable qu'une paix à quelque prix que ce fût. Le connétable de Montmorenci lui difant un jour en eolere dans le confeil , qu'il... | |
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C'est conformément à ces principes , dictés , selon les uns , par l'humanité et la sagesse , selon d'autres, par son penchant au calvinisme, qu'il parla aux états... 