Epîtres. L'art poetique. Le lutrinLes Libraires associés, 1772 |
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... mort publié un Volume de fes Lettres ; & l'on trouve , dans les Recueils de Poëfies de fon tems , quelques petites Pièces de Vers de fa façon , dont quel- ques - unes font très - agréablement tournées . CHANG . Ibid . Dans toutes les ...
... mort publié un Volume de fes Lettres ; & l'on trouve , dans les Recueils de Poëfies de fon tems , quelques petites Pièces de Vers de fa façon , dont quel- ques - unes font très - agréablement tournées . CHANG . Ibid . Dans toutes les ...
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... mort d'une ombre noire Enveloppe avec lui fon nom & fon hiftoire . En vain pour s'exemter de l'oubli du cercueil , Achille mit vingt fois tout Ilion en deuil . 165 En vain , malgré les vents , aux bords de l'Hefpérie Enée enfin porta ...
... mort d'une ombre noire Enveloppe avec lui fon nom & fon hiftoire . En vain pour s'exemter de l'oubli du cercueil , Achille mit vingt fois tout Ilion en deuil . 165 En vain , malgré les vents , aux bords de l'Hefpérie Enée enfin porta ...
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... mort . VERS 30. C'est ainfi devers Caen que tout Normand rai- fonne . ] L'Auteur auroit pû dire : vers Caën . C'est ainsi que vers Caen tout Bas - Normand raisonne ; mais il a pré- féré devers Caen , qui eft une efpece de Normanifme . D ...
... mort . VERS 30. C'est ainfi devers Caen que tout Normand rai- fonne . ] L'Auteur auroit pû dire : vers Caën . C'est ainsi que vers Caen tout Bas - Normand raisonne ; mais il a pré- féré devers Caen , qui eft une efpece de Normanifme . D ...
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... amitié . Celle qu'ils contracterent enfemble , fut en effet des plus étroites , & , nonobftant une séparation de plufieurs années , dura jufqu'à la mort . A MONSIEUR ARNAULD , DOCTEUR DE SORBONNE . OUI , C 2 AVIS SUR L'EPITRE III .
... amitié . Celle qu'ils contracterent enfemble , fut en effet des plus étroites , & , nonobftant une séparation de plufieurs années , dura jufqu'à la mort . A MONSIEUR ARNAULD , DOCTEUR DE SORBONNE . OUI , C 2 AVIS SUR L'EPITRE III .
Página 37
... mort du Cardinal . Mais enfin le mérite l'emporta fur la Cabale , & il fut reçu à la fin d'Octobre 1643. Il avoit pris le bonnet de Docteur dès le 15. Décembre 1641. Il ne s'eft guere trouvé de Gé- nie d'une étendue pareille à celui de ...
... mort du Cardinal . Mais enfin le mérite l'emporta fur la Cabale , & il fut reçu à la fin d'Octobre 1643. Il avoit pris le bonnet de Docteur dès le 15. Décembre 1641. Il ne s'eft guere trouvé de Gé- nie d'une étendue pareille à celui de ...
Términos y frases comunes
affez aifément ainfi Art Poët Art Poëtique auffi Auteur avoient avoit beau Broffette Brontin BROSSETTE C'eft C'eſt C'étoit caufe ceffe cenfure Chanoine Chant Childebrand chofe Comédie compofé Confeiller Critique d'Horace déja derniere DESP Despréaux Dieu difant difcours difoit Duc de Nevers efprit endroit enfuite Epique Epitre eſt étoient étoit faifoit faint fans fçai fçait fçavoir fecond felon femble fens fent feroit fervir fes Ouvrages feul fiècle foient foit fon Art Poëtique font fous fouvent François Frefnaie-Vauquelin ftile fuccès fuivant fujet Homere Horace Ibid illuftre IMIT jufte l'Auteur l'Edition l'efprit l'Eglife l'Epitre VII laiffe Livre loix Lutrin maniere MARC Marêts mourut Mufe n'avoit n'eft paffage paffer par-tout Parallaxe parler penfée perfonne Phèdre plaifir plufieurs Poë Poëfie Poëme Epique Poëte Pradon préfente prefque Prélat premiere Edition Prince Racine raifon refte Remarque fur Rhin rimer s'eft Sainte-Chapelle Satire Sonnet tems Tragédie Virgile دو وو
Pasajes populares
Página 252 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 458 - S'élève un lit de plume à grands frais amassée : Quatre rideaux pompeux, par un double contour, En défendent l'entrée à la clarté du jour. Là, parmi les douceurs d'un tranquille silence, Règne sur le duvet une heureuse indolence. C'est là que le prélat, muni d'un déjeuner, Dormant d'un léger somme, attendait le dîner.
Página 250 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
Página 78 - C'est au repos d'esprit que nous aspirons tous , Mais ce repos heureux se doit chercher en nous. Un fou rempli d'erreurs , que le trouble accompagne , Et malade à la ville ainsi qu'à la campagne , En vain monte à cheval pour tromper son ennui : Le chagrin monte en croupe et galope avec lui.
Página 233 - Fuyez de ces auteurs l'abondance stérile ; Et ne vous chargez point d'un détail inutile. Tout ce qu'on dit de trop est fade et rebutant ; L'esprit rassasié le rejette à l'instant.
Página 435 - Vous me verrez pourtant, dans ce champ glorieux, Vous animer du moins de la voix et des yeux; Vous offrir ces leçons que ma Muse au Parnasse Rapporta jeune encor du commerce d'Horace; Seconder votre ardeur, échauffer vos esprits, Et vous montrer de loin la couronne et le prix.
Página 267 - : Que leurs tendres écrits, par les grâces dictés, Ne quittent point vos mains, jour et nuit feuilletés. Seuls dans leurs doctes vers ils pourront vous apprendre Par quel art sans bassesse un auteur peut descendre...
Página 119 - L'un, défenseur zélé des bigots mis en jeu, Pour prix de ses bons mots le condamnoit au feu '. L'autre, fougueux marquis, lui déclarant la guerre, Vouloit venger la cour immolée au parterre.
Página 67 - Fendent les flots tremblans sous un si noble poids. Louis, les animant du feu de son courage, Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage. Par ses soins cependant trente légers vaisseaux D'un tranchant aviron déjà coupent les eaux : Cent guerriers s'y jetant signalent leur audace.
Página 350 - C'est d'un scrupule vain s'alarmer sottement, Et vouloir aux lecteurs plaire sans agrément. Bientôt ils défendront de peindre la Prudence, De donner à Thémis ni bandeau ni balance, De figurer aux yeux la Guerre au front d'airain...