Contenant la Provençale œuvre posthume, voyages de Normandie & de Chaumont, la Serenade, le Bal & le JoüeurChez la veuve de Pierre Ribou, 1731 |
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... Ses yeux qu'elle rencontroit toûjours , fes abfen- ces pour le feu , fes paroles qui ne s'a- dreffoient qu'à elle lui difoient affez ce qu'elle cût été fâchée de ne pas a- prendre . On quitta le jeu , & l'on remit la partie fo OEUVRESAC.
... Ses yeux qu'elle rencontroit toûjours , fes abfen- ces pour le feu , fes paroles qui ne s'a- dreffoient qu'à elle lui difoient affez ce qu'elle cût été fâchée de ne pas a- prendre . On quitta le jeu , & l'on remit la partie fo OEUVRESAC.
Página 39
... on ti depuis une Fortereffe qui défend le Port . bâ- Alger eft fitué fur le penchant d'une Colline , que la mer moüille de fes flots Tome II . E du côté du Nord . Ses Maifons bâties en amphiteâtre DE MR REGNARD . 39.
... on ti depuis une Fortereffe qui défend le Port . bâ- Alger eft fitué fur le penchant d'une Colline , que la mer moüille de fes flots Tome II . E du côté du Nord . Ses Maifons bâties en amphiteâtre DE MR REGNARD . 39.
Página 40
Jean-François Regnard. du côté du Nord . Ses Maifons bâties en amphiteâtre & terminées en terraffe , for- ment une vûe très - agréable à ceux qui y abordent par Mer . Si je ne craignois , Mefdames , de retarder vôtre curiofité , je vous ...
Jean-François Regnard. du côté du Nord . Ses Maifons bâties en amphiteâtre & terminées en terraffe , for- ment une vûe très - agréable à ceux qui y abordent par Mer . Si je ne craignois , Mefdames , de retarder vôtre curiofité , je vous ...
Página 54
... ses efperan- ces , qu'il ne fe propofa rien moins que d'enlever Elvire d'entre les mains des Bar- bares , & de la remettre en France . Il ne jugea rien de plus proportionné à fon amour que cette entreprise hardie , & dès ce moment il ...
... ses efperan- ces , qu'il ne fe propofa rien moins que d'enlever Elvire d'entre les mains des Bar- bares , & de la remettre en France . Il ne jugea rien de plus proportionné à fon amour que cette entreprise hardie , & dès ce moment il ...
Página 58
... ce Dieu qui les fçait fi bien lan- cer , il n'adreffa pas d'abord où ses yeux , fes penfées & fon cœur vifoient conti Quellement . On ne peut exprimer quels furent les fentimens de Zelmis pendant le peu de tems qu'Elvire fut 58 OE U VRES.
... ce Dieu qui les fçait fi bien lan- cer , il n'adreffa pas d'abord où ses yeux , fes penfées & fon cœur vifoient conti Quellement . On ne peut exprimer quels furent les fentimens de Zelmis pendant le peu de tems qu'Elvire fut 58 OE U VRES.
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Términos y frases comunes
Achmet affez aiant aime ainfi amour ANGELIQUE auffi avoit belle c'eft c'eſt cens CHAMPAGNE charmes chofe Cléomede colier COMTESSE connoiffance Coufin d'Elvire deffein déja diable Diable s'en mêla DORANTE Elvire eſt êtes étoient étoit eût faifoit fans fçai fçait fçavoir fentimens fentit feroit fervir feulement fille foit fommes fon cœur fon mari fonger font fouvent fuis fuivant fujet GALONIER GERONTE grace HECTOR Immona j'ai jamais Jb Jb Jb joie jour l'amour laiffe LEONORE LISETTE long-tems m'en Madame Maîtreffe MARINE MARQUIS MATHIEU CROCHET MERLIN Monfieur Grifon Monfieur Mathieu Muficien n'eft n'étoit NERIN paffa paffion Païs parbleu paroître perfonne plaifir plûtôt Portrait pouvoit Prade PREMIERE Provençale raifon refte RESSOURCE rien SCAPI SCAPIN SCENE Serenade ſon SOTAN SOTANCOUR TANCOUR tems tendreffe toûjours TOUT-A-B Trictrac Vaiffeau VALER VALERE veux vin de Champagne Voiage voilà voioit vûë yeux Zelmis
Pasajes populares
Página 309 - Lucrèces du temps, là, de ces filles veuves, Qui veulent imposer et se donner pour neuves ; De vieux seigneurs toujours prêts à vous cajoler; Des plaisants qui font rire avant que de parler.
Página 245 - Dont j'enrage. Morbleu! Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé...
Página 253 - ... fait avec un peu d'adresse, Qu'elle m'a reconduit d'un air fort obligeant; Et vous aurez, je crois, au plus tôt votre argent.
Página 317 - Je suis pourtant fort connu dans la ville ; Et , si vous l'ignorez, sachez que je faufile Avec ducs , archiducs , princes, seigneurs, marquis, Et tout ce que la cour offre de plus exquis ; Petits-maîtres de robe à courte et longue queue. J'évente les beautés et leur plais d'une lieue. Je m'érige aux repas en maître architriclin ' ; Je suis le chansonnier et l'âme du festin. Je suis parfait en tout. Ma valeur est connue ; Je ne me bats jamais qu'aussitôt je ne tue : De cent jolis combats je...
Página 253 - II a fallu lever bien des difficultés : Elle est d'accord de tout, du temps, des arrérages ; II ne faut maintenant que lui donner des gages.
Página 326 - J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, Qui, pour porter au jeu son tribut volontaire, Vous laissera manquer même du nécessaire, Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. Quel charme qu'un époux qui, flattant sa manie, Fait vingt mauvais marchés...
Página 346 - Il faut que de mes maux enfin je me délivre: J'ai cent moyens tout prêts pour m'empêcher de vivre, La rivière, le feu, le poison et le fer. HECTOR. Si vous vouliez, monsieur, chanter un petit air, Votre maître à chanter est ici: la musique Peut-être calmerait cette humeur frénétique.
Página 104 - ... au roi de ce pays , et des manières de vivre extraordinaires de ses habitants. Il ne demeura que fort peu de temps à Stockholm à son retour de la Laponie ; et , cherchant ensuite une nouvelle matière à ses travaux , il passa toute la mer Baltique, et vint débarquer à Dantzick, d'où il passa en Pologne. Le roi, qui étoit un des princes du monde le plus savant et le plus curieux, et qui sait si bien joindre à ces qualités une vertu héroïque, prit un plaisir extrême à faire réciter...
Página 250 - VALÈRE, se promenant. Une école maudite Me coûte , en un moment , douze trous tout de suite. Que je suis un grand chien ! Parbleu , je te saurai, Maudit jeu de trictrac, ou bien je ne pourrai. Tu peux me faire perdre , ô fortune ennemie ! Mais me faire payer, parbleu, je t'en défie: Car je n'ai pas un sou. HECTOR , tenant toujours la robe. Vous plairoit-il , monsieur....