Contenant la Provençale œuvre posthume, voyages de Normandie & de Chaumont, la Serenade, le Bal & le JoüeurChez la veuve de Pierre Ribou, 1731 |
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... fers ? n'avez - vous pas affez de vos malheurs ? pourquoi tâchez - vous à vous en faire en- core de nouveaux . Non , Madame pliqua Zelmis il n'y a d'autre malheur dans la vie que d'être éloigné de vous , & d'autre bonheur que de vous ...
... fers ? n'avez - vous pas affez de vos malheurs ? pourquoi tâchez - vous à vous en faire en- core de nouveaux . Non , Madame pliqua Zelmis il n'y a d'autre malheur dans la vie que d'être éloigné de vous , & d'autre bonheur que de vous ...
Página 55
... fers fans essaïer à vous en tirer , quel- que difficile qu'en foit l'entreprise , elle ne Peft pas tant qu'elle paroit , & je ne trou ve rien d'impoffible au monde de ne vous aimer pas . Nous vous attendrons Jeudi au foir à l'entrée de ...
... fers fans essaïer à vous en tirer , quel- que difficile qu'en foit l'entreprise , elle ne Peft pas tant qu'elle paroit , & je ne trou ve rien d'impoffible au monde de ne vous aimer pas . Nous vous attendrons Jeudi au foir à l'entrée de ...
Página 69
... dit - il avec un profond ref pect , il est vrai que j'aime & que je fuis épris de la plus belle paffion dont un cœur foit capable , je porte des fers ton mobile à regarder cette belle perfonne , fans fonger DE MR REGNARD . 69.
... dit - il avec un profond ref pect , il est vrai que j'aime & que je fuis épris de la plus belle paffion dont un cœur foit capable , je porte des fers ton mobile à regarder cette belle perfonne , fans fonger DE MR REGNARD . 69.
Página 82
... fers avec quelque chagrin , puifque je n'ai pas eû la gloire de vous en tirer . Ah ! Monfieur , reprit la bel- le Provençale , je ne me fouviens qu'en frémiffant de ce que vous avez hazardé pour moi ; mon mari n'est plus , & la cause de ...
... fers avec quelque chagrin , puifque je n'ai pas eû la gloire de vous en tirer . Ah ! Monfieur , reprit la bel- le Provençale , je ne me fouviens qu'en frémiffant de ce que vous avez hazardé pour moi ; mon mari n'est plus , & la cause de ...
Página 83
... fers , & vous pouvez juger de la joie que j'ai de vô tre liberté , puifqu'après celle de mon ma- ri pendant qu'il vivoit , c'étoit ce que je fouhaitois avec le plus d'ardeur . Vos intérêts & les fiens m'étoient presque communs , je les ...
... fers , & vous pouvez juger de la joie que j'ai de vô tre liberté , puifqu'après celle de mon ma- ri pendant qu'il vivoit , c'étoit ce que je fouhaitois avec le plus d'ardeur . Vos intérêts & les fiens m'étoient presque communs , je les ...
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Términos y frases comunes
Achmet affez aiant aime ainfi amour ANGELIQUE auffi avoit belle c'eft c'eſt cens CHAMPAGNE charmes chofe Cléomede colier COMTESSE connoiffance Coufin d'Elvire deffein déja diable Diable s'en mêla DORANTE Elvire eſt êtes étoient étoit eût faifoit fans fçai fçait fçavoir fentimens fentit feroit fervir feulement fille foit fommes fon cœur fon mari fonger font fouvent fuis fuivant fujet GALONIER GERONTE grace HECTOR Immona j'ai jamais Jb Jb Jb joie jour l'amour laiffe LEONORE LISETTE long-tems m'en Madame Maîtreffe MARINE MARQUIS MATHIEU CROCHET MERLIN Monfieur Grifon Monfieur Mathieu Muficien n'eft n'étoit NERIN paffa paffion Païs parbleu paroître perfonne plaifir plûtôt Portrait pouvoit Prade PREMIERE Provençale raifon refte RESSOURCE rien SCAPI SCAPIN SCENE Serenade ſon SOTAN SOTANCOUR TANCOUR tems tendreffe toûjours TOUT-A-B Trictrac Vaiffeau VALER VALERE veux vin de Champagne Voiage voilà voioit vûë yeux Zelmis
Pasajes populares
Página 309 - Lucrèces du temps, là, de ces filles veuves, Qui veulent imposer et se donner pour neuves ; De vieux seigneurs toujours prêts à vous cajoler; Des plaisants qui font rire avant que de parler.
Página 245 - Dont j'enrage. Morbleu! Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé...
Página 253 - ... fait avec un peu d'adresse, Qu'elle m'a reconduit d'un air fort obligeant; Et vous aurez, je crois, au plus tôt votre argent.
Página 317 - Je suis pourtant fort connu dans la ville ; Et , si vous l'ignorez, sachez que je faufile Avec ducs , archiducs , princes, seigneurs, marquis, Et tout ce que la cour offre de plus exquis ; Petits-maîtres de robe à courte et longue queue. J'évente les beautés et leur plais d'une lieue. Je m'érige aux repas en maître architriclin ' ; Je suis le chansonnier et l'âme du festin. Je suis parfait en tout. Ma valeur est connue ; Je ne me bats jamais qu'aussitôt je ne tue : De cent jolis combats je...
Página 253 - II a fallu lever bien des difficultés : Elle est d'accord de tout, du temps, des arrérages ; II ne faut maintenant que lui donner des gages.
Página 326 - J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, Qui, pour porter au jeu son tribut volontaire, Vous laissera manquer même du nécessaire, Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. Quel charme qu'un époux qui, flattant sa manie, Fait vingt mauvais marchés...
Página 346 - Il faut que de mes maux enfin je me délivre: J'ai cent moyens tout prêts pour m'empêcher de vivre, La rivière, le feu, le poison et le fer. HECTOR. Si vous vouliez, monsieur, chanter un petit air, Votre maître à chanter est ici: la musique Peut-être calmerait cette humeur frénétique.
Página 104 - ... au roi de ce pays , et des manières de vivre extraordinaires de ses habitants. Il ne demeura que fort peu de temps à Stockholm à son retour de la Laponie ; et , cherchant ensuite une nouvelle matière à ses travaux , il passa toute la mer Baltique, et vint débarquer à Dantzick, d'où il passa en Pologne. Le roi, qui étoit un des princes du monde le plus savant et le plus curieux, et qui sait si bien joindre à ces qualités une vertu héroïque, prit un plaisir extrême à faire réciter...
Página 250 - VALÈRE, se promenant. Une école maudite Me coûte , en un moment , douze trous tout de suite. Que je suis un grand chien ! Parbleu , je te saurai, Maudit jeu de trictrac, ou bien je ne pourrai. Tu peux me faire perdre , ô fortune ennemie ! Mais me faire payer, parbleu, je t'en défie: Car je n'ai pas un sou. HECTOR , tenant toujours la robe. Vous plairoit-il , monsieur....