| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 706 páginas
...malgré les Francois mêmes. Il n'avoit pas tort , ce me semble , de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie, et pour dénouer notre versification naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle.... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 742 páginas
...malgré les Francois mêmes. Il n'avoit pas tort , ce me semble , de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie, et pour dénouer notre versification naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle.... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 444 páginas
...malgré les Français mêmes. Il n'avoit pas tort , ce me semble , de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue , pour enhardir notre poésie..., et pour dénouer notre versification naissante. Mais , en fait de langue , on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle.... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 474 páginas
...malgré les Français mêmes. 11 n'avait pas tort , ce me semble , de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue , pour enhardir notre poésie , et pour dénouer notre \ersilication naissante. Mais , en fait de langue , on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825 - 466 páginas
...grec, malgré les François mêmes. Il n'avoit pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie, et pour dénouer notre versification naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle.... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1835 - 774 páginas
...malgré les François mêmes. Il n'avoit pas tort , ce me semble, de tenter quelqne nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie, et pour dénouer notre versiDcation naissante. Mais, en fait de langue , on ne vient a bout de rien sans l'aveu des hommes... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1845 - 742 páginas
..., malgré les Français mêmes. Il n'avait pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie..., et pour dénouer notre versification naissante. Mais , en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle.... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1846 - 592 páginas
...malgré les Français mêmes. Il n'avait pas tort, ce me semble , de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue , pour enhardir notre poésie..., et pour dénouer notre versification naissante. Mais, 1 VIBG., Eclag. vu , v. 57. Dans nos champs , dévorés de soif el de chaleur , En vain l'iierbe... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1866 - 504 páginas
...grec, malgré les François mêmes. Il n'avoit pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie, et pour dénouer notre versification naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle.... | |
| Pierre de Ronsard - 1867 - 388 páginas
...l'admiration. Fénelon avait osé écrire à l'Académie que « Ronsard avait tenté une nouvelle route pour » enrichir notre langue, pour enhardir notre...pour dénouer notre versification •> naissante. » Fontanelle consacrait pour lui « la qualité de » prince des poètes qui ont paru avant Mal»... | |
| |