Mandemens et lettres pastorales de Mr. Fléchier: évêque de Nismes, avec son oraisen funebreJ. Estienne, 1712 - 388 páginas |
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... Aussi , MONSEIGNEUR , nous n'avons re- cours qu'à vous ; nous n'agiffons que par vos confeils & par vos ordres ; nous ne voyons que par vos lumiéres ; nous n'efpérons qu'en votre bonté . Il n'y a perfonne dans les Etats de la Province ...
... Aussi , MONSEIGNEUR , nous n'avons re- cours qu'à vous ; nous n'agiffons que par vos confeils & par vos ordres ; nous ne voyons que par vos lumiéres ; nous n'efpérons qu'en votre bonté . Il n'y a perfonne dans les Etats de la Province ...
Página 95
... leurs favorables re- gards des marques de bonté , ou des efpérances de protection ; ce doit être . aussi un plaifir pour les Princes de voir ces mouvemens affectueux d'u- ne multitude empreffée , d'entendre DE M. FLECHIER . 95 HARANGUE ...
... leurs favorables re- gards des marques de bonté , ou des efpérances de protection ; ce doit être . aussi un plaifir pour les Princes de voir ces mouvemens affectueux d'u- ne multitude empreffée , d'entendre DE M. FLECHIER . 95 HARANGUE ...
Página 154
... aussi confidérable dans la morale , que la conftance . Je fais qu'il faut au- tant de force à réprimer l'infolence de la fortune , qu'à fouffrir ses . mauvais tours , & je n'eftime pas moins Céfar quand il fait moderer fes victoires ...
... aussi confidérable dans la morale , que la conftance . Je fais qu'il faut au- tant de force à réprimer l'infolence de la fortune , qu'à fouffrir ses . mauvais tours , & je n'eftime pas moins Céfar quand il fait moderer fes victoires ...
Página 157
... s'il faut des peines & des fouffrances pour perfectionner l'honnête homme aussi bien que l'homme Chrétien . > La morale de tous les Philofophes nous apprend qu'un état vertueux eft préférable à tout autre DE M. FLECHIER . 157.
... s'il faut des peines & des fouffrances pour perfectionner l'honnête homme aussi bien que l'homme Chrétien . > La morale de tous les Philofophes nous apprend qu'un état vertueux eft préférable à tout autre DE M. FLECHIER . 157.
Página 178
... aussi ancien que nous , & ils n'ont jamais ceffé de nous aimer depuis que nous avons commencé d'être , au lieu que celui d'un mari a commencé long- tems après , & ne s'affermit que par les affections qui furviennent . L'a- mour des ...
... aussi ancien que nous , & ils n'ont jamais ceffé de nous aimer depuis que nous avons commencé d'être , au lieu que celui d'un mari a commencé long- tems après , & ne s'affermit que par les affections qui furviennent . L'a- mour des ...
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Mandemens Et Lettres Pastorales de Mr. Fléchier (Classic Reprint) Esprit Flechier Sin vista previa disponible - 2018 |
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Términos y frases comunes
æthera affez ainfi artes auffi avez avoit avons befoin c'eft c'eſt ceffe charité CHERES SOURS CHERS FRERES chofes Ciel CLARICE confeils conferver confolation Croix deffein defirs déja Dieu difcours Diocéfe divine efprit Eglifes eſt étoit Evêque facrez fageffe faint falut fang fans fecours fecret fein felon femble fens fent fentimens fervir feul fiécle FLAVI FLECHIER foibleffe foins foit fommes fon cœur font fouf fouffrir foulager fous fouvent fuam fuis fuivant fujets gloire grace hæc hommes illuftre JACQUES ETIEN JESUS-CHRIST jufte juftice juſtice l'efprit l'Eglife laiffe loix lorfque loüanges loüe lumiéres Madame Meffieurs Monfieur n'eft Nifmes numina nunc orbem paffe paffions paix pectore perfonnes peuples pictas pieté plaifir plufieurs prælia préfent prefque Prince puiffance quæ quot raifon refpect refte Religion Seigneur ſes ſon tems thrône tibi tion toûjours TRE'S TRE'S-CHERS FRERES triftes verité vertu vûë ရာ
Pasajes populares
Página 289 - Ne te flatte plus tant sur ton divin pouvoir ; On peut mêler la force avecque le devoir: Des monarques pieux, des princes magnanimes Ont révéré tes lois en punissant tes crimes ; Ils ont eu le secret de partager leurs cœurs...
Página 6 - Il n'est rien de si commun que de faire l'éloge des princes, mais il n'est rien aussi de si difficile. Comme on ne trouve pas toujours en ce qu'ils font ce qu'ils doivent faire, on est souvent réduit à louer en eux , non pas ce qu'on y voit, mais ce qu'on y souhaite, et à laisser la vérité pour la bienséance.