V. Suite où on montre encore plus particulierement ce que c'est que dreffer les animaux,& que leur parler, 330. VI. Extreme difference de l'homme de la bête, 338. VII. Les animaux n'inventent vien, 344. VIII. De la premiere caufe des inventions, & de la varieté de la vie bu maine, qui eft la réfle liberté, Combien la fageffe de Dieu paroît dans les animaux, XI. Les animaux font foumis à l'homme, & n'ont pas même le dernier degré de raisonnement, 356. XII. Réponse à l'abjection tirée de la reffemblance des 357. organes, XIII. Ce que c'est que l'instinct qu'on attribue ordinairement aux animaux, deux opinions fur ce point 361. XIV. Conclufion de tout ce Traité, où l'excellence de la na ture humaine eft de nouveau démontrée, 374 Fin de la Table. INTRODUCTION. INTRODUCTION A LA PHILOSOPHIE, OU DE LA CONNOISSANCE DE DIEU ET DE SOY-MESME. A fageffe confifte à connoître Deffein & même. La connoiffance de nous même nous doit élever à la connoiffance de Dieu. Pour bien connoître l'homme, il faut fçavoir qu'il eft compofé de deux par ties, qui font l'ame & le corps. L'ame eft ce qui nous fait penser, ena tendre, fentir, raifonner, vouloir choifir une chofe plûtôt qu'une autre ce Traité. |