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JACQUES elle contient une relation du Voya

AMYOT. ge

d'Amyot à Trente. Bayle s'en eft fervi pour relever les fautes de Rouillard, de S. Roal, de du Sauffay &c. fur l'article d'Amyot.

4. Plutarque traduit du Grec &c. La Caille p. 102. de fon Hiftoire de l'Imprimerie de Paris en marque une Edition en 4. vol. in fol. chez Vaf cofan en 1544. je crois que c'eft la premiere. Elle a été fuivie d'une infinité d'autres. Je connois celleci, & je les ai vûës presque toutes. A Geneve 1565. in fol. chez Perrin, & 1567. Paris, 1565. Vafcofan 1572. 4. vol. in fol. très-belle & très-rare Jean le Preux 1572. in 8°. 1575. 4. vol. in fol. Jacques Dus puys & Vafcofan.Vies de Plutarques Vafcofan 6.vol. in 8o.1567. Oeuvres morales, ibid. 1574. 7. vol. in 8°. & 1579. in fol. Macée, Paris. Ibid. in 80. Gaduilleau 1578. Paris,Piers ́re Chevillot 1579. in fol. Les Vies 2. vol. in 8. Buon. Paris, 1579. Bâle 1574. in fol. Oeuvres morales V.Drandii Bibliot. Exotica p.104. Paris 1578. in 8°. Les Vies &c.in fol. Paris Beys 1584. Oeuvres 20

vol. Paris 1583. Oeuvres morales, JACQUES Macé 1587. Paris Berteau in fol. AMYOT, 1594. Paris, Guille de Linacrie. Lyon Bart. Honorati 1587. 4. vol. in 8°. & 1594. Lyon 4. vol. in 8. Geneve 1604. & à Lyon 1607. Frellon 4. vol. in 8. Lyon Symph. Beraud 1607. in fol. Geneve, Staër 1604. 2. vol. Vies &c. Rouvieres 1604. 4. vol. in 8°. & 1613. in 8. 4. vol. ibid. & vol. in fol. 1614. Paris 1616. in fol. 4. vol. in 4°. Jean Giffelin. Il donna auffi les Vies in 8. 2. voll. en 1606. & in 4°. 4. vol. le tout, & en 1609. Mo rales 1607. 2. vol. Languelier, & chez Huby, Paris 1617. in 8. & chez Guillemot à Geneve. Staër,Vies. 1616. Oeuvres morales, Paris 16 21. in 8. Gueffier. Paris Cl. Morel 1619, 4.vol. in fol. & chez la Vigne 1622. im 8°. Genève Staër 1621. in 8. 4. vol. ibid, en 1625. 2. vol. Staër 1635. Geneve. Paris in fol. 4. vol. 1635. Leonard. M. le Gouz n°.80. du Supplement mf. au Menagiana, nous apprend que Menage avoit obfervé que les endroits faciles de Plutarque font ceux qui ont été

JACQUES plus mal traduits par Amyot, parAMYOT. Ce que apparemment il ne confultoit Turnebe qui eft très-facile en Grec, que dans les endroits difficiles. Guy Patin Lettre 74 à Charles Spon t. 1. p. 390. foûtient qu'il y a plus de 8000 fautes dans le Plutarque d'Amyot. Dans une autre Lettre il avoit augmenté le nombre,& il trouvoit plus de dix mille fautes. V.le Difcours de Mezerias fur cette matiere p. 44. & fuiv. du 3e. vol. du Menagiana, & p. 181, ibid. & fuiv.

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On trouve à l'Oratoire de Paris un Plutarque Grec, noté de la main d'Amyot, qu'il avoit conferé avec les mff. grecs.

6. Les Oeuvres mêlées d'Amyot Impr. par Frellon 1611. in 8°. à Lyon.

7. Ordinationes factæ & publicata in Synodo celebrata anno 1552. 1. Martii in fol. cod. mf. Baluze n. 207.

8. M. le Bœuf, Chanoine d'Anxerre a un mf. original d'Amyot. C'eft fon Apologie au fujet du bruit qui couroit contre lui après

le maffacre de Meffieurs de Guife JACQUES à Blois. AMYOT

V. Baillet, Jugemens des Sçavans. T. IV. n. 935. p. 591. édit. in 12. Eloges de Teiffier 4. vol. p. 122. édit. 1715. Gallia Purpur. de Frifon p. 719 Thuani Hiftor. L. X.

& LIX.

Cet article eft tiré de la Bibliotheque des Auteurs de Bourgogne de M. Papillon.

MARCEL MALPIGHI.

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MALPI

GHI

ARCEL Malpighi nâquit MARCEL le 10. Mars 1628. d'une famille honnête à Crevalcuore, dans le voifinage de Boulogne en Italie. Il apprit dans cette Ville lei premiers élemens de la LangueLatine, & y étudia enfuite en Philofophie fous François Natali, qui étoit un des meilleurs Profeffeurs de ce temps..

Son Pere & fa mere étant morts. en 1649. Malpighi obligé à faire lui-même le choix d'un état de vie, refolut de s'attacher à la Me decine.

M MAL

GHI.

L'Univerfité de Boulogne avoit alors d'habiles Profeffeurs en cette: science, dont les Principaux étoient Barthelemi Maffari, & André Mariano. Malpighi fe mit fous la conduite de ceux-ci, & fit en peu de temps par leurs inftructions desgrands progrès dans l'Anatomie & dans la Medecine. Leurs principes par rapport à ces deux fciences étoient fort differens de ceux des Profeffeurs,qui les avoient préeedez: Maffari profitant des nou velles découvertes qu'on avoit faites dans l'Anatomie, tâchoit d'en faire de nouvelles, & avoit formé chez lui une espece d'Academie compofée de neuf de fes Difciples, du nombre defquels étoit Malpighi, où l'on faifoit des diffections de cadavres ou d'animaux vivans, & des démonftrations Anatomiques. D'un autre côté Mariano, peu content des principes des Arabes, qu'on fuivoit depuis longtemps dans la pratique de la Medecine, s'étoit formé une nouvelle methode conforme à celle d'Hippocrate.

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