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Obfervations microscopiques fur les liqueurs féminales & jur les infufions

XCVI. Précis des Obfervations de M. de BUFFON. 1re. Expérience fur

le sperme humain.

ibid.

CIX. 14me. Expérience: fur une diffolution d'une poudre pierreuse par

l'Eau-forte.

ibid.
CX. 15me. Expérience: fur les laites des Poiffons, && en particulier, fur
celles du Calmar.
ibid.

CXI. Réflexions fur la beauté de ces fortes d'Obfervations microfcopiques. 64

CXII. Précis du nouveau fyftéme. Molécules organiques communes au Végé-
tal à l'Animal.

ibid.

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CXIX. Pourquoi les petits Animaux font plus féconds que les grands,
les Poiffons à écailles plus que les Animaux converts de poils. Page 69
CXX. Remarque fur ce précis du système de M. de BUFFON.
CXXI. Conféquences générales de ce système.

CHAPITRE VIII.

ibid.

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Examen du nouveau fflême; comparaison de ce système avec celui des Germes.

CXXII. Principales fources des objections qu'on peut former contre le Syfteme des molécules organiques.

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CXXIII. Comparaison abrégée du nouveau systéme, avec le système des Anciens, celui des Natures plastiques.

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CXXIV. Objections contre le fytéme des Molécules organiques. ibid. CXXV. Réfutation des conféquences que les partisans de l'Epigénese tirent des objervations de MALPIGHY fur le Poulet, & de celles de HARVEY fur les Biches.

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CXXVI. Que le nouveau système est ingénieux; mais moins probable que celui des Germes. ibid. CXXVII. Remarques fur l'emboîtement: maniere de juger de fa possibilité. 74 CXXVIII. Touts organifés confidérés dans l'hypothefe de l'Emboitement. 75 CXXIX. Touts organifés confidérés dans l'hypothefe de la Diffémination. 76 CXXX. Recherches fur la neture des globules mouvans. Illufions & er

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reurs à craindre dans les obfervations fur de femblables Corps. Viciffi tudes des opinions humaines; efforts de la raison & fes écarts. CXXXI. Vue du Monde physique, dans la fuppofition que les globules mouvans font de véritables Animaux.

CXXXII. Conjectures & réflexions fur la nature de ces Animalcules. Remarques fur nos idées d'economie Animale.

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CXXXIII. Les Animalcules des liqueurs, &c. comparés aux Polypes. CXXXIV. Ce que l'on peut imaginer que deviennent les Animalcules du fperme, après qu'il a été repompé.

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CXXXV. De ce que l'on doit penfer de l'apparition des Animalcules dans des matieres qui ont bouilli. Note importante, ou extraits de Lettres de M. de REAUMUR, qui prouvent que les globules mouvans font de vrais Animaux. 85 CXXXVI. Explication du Mulet dans l'hypothefe de l'Auteur, en suppofunt que le Germe est fourni par le Male.

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CXXXVII. Invitation à faire de nouvelles expériences fur les Mulets, pour éclaircir la matiere de la Génération. Page 88 CXXXVIII. Remarque fur les effets de l'accouplement entre des Indivi dus d'Efpeces fort éloignées. CXXXIX. Que le nombre des Efpeces peut s'être accrù par des conjonctions fortuites.

s'être

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ibid.

CXL. Réflexions fur la grandeur des objets que nous offre la matiere de la Génération.

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ibid.

Nouvelles découvertes fur la formation du Poulet dans l'Oeuf. Conféquences de ces découvertes. Comparaifon des Expériences de HARVEY fur la génération des Biches, avec celles fur la formation du

Poulet.

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CXLI. Introduction. Découvertes de M. de HALLER fur le Poulet. CXLII. Ier. Fait fur le Poulet, qui démontre que le Germe appartient uniquement à la Femelle. Conféquence qu'on peut en tirer à l'égard des Graines.

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CXLIII. 2d. Fait: Etat de fluidité des parties de l'Embryon, lorsqu'il commence à se développer. Nouvelle preuve de l'existence des Efprits animaux. Comment toutes les parties acquierent peu à peu de la confiftance. Conformité avec le Végétal. CXLIV. 3me. Fait: par quelles caufes & dans quel ordre toutes les parties de l'Embryon deviennent vifibles, d'invifibles qu'elles étoient auparavant. Obfervations fur l'Oeuf de la Brebis.

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ΙΟΙ

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CXLV. 4me. Fait: naiffance des couleurs des faveurs. Remarque fur un passage de M. de HALLER, fur la caufe des couleurs dans les Végétaux. CXLVI. 5me. Fait que les parties de l'Embryon revêtent fucceivement de nouvelles formes de nouvelles pofitions, qui aident avec l'opacité à les faire reconnoître. Ordre de ces changemens, & leurs caufes méchaniques. Que le Poulet eft originairement un Animal à deux corps & comment.

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CXLVII. 6me Fait: que les vifceres encore fluides, s'acquittent déja de leurs fonctions. Obfervation fur la maniere dont les fécrétions s'operent. CXLVIII. Conféquence importante de ces faits fur la premiere origine du Germe. CXLIX. Que les ovaires des Vivipares contiennent ne véritables oeufs.

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Nouvelle preuve tirée du Puceron vivipare dans un temps, &
ovipare dans un autre.
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CL. Reffemblances & diffemblances des Vivipares & des Ovipares.
Analogies du Végétal de l'Animal.
CLI. Que la graine & Poeuf, le bouton & la véhicule, renferment
originairement un Embryon, que fa petiteffe & fa transparence ren-
dent invifible. Paffage de M. de HALLER, qui acheve de le dé-

montrer.

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ibid.
CLII. Fauffeté de l'opinion qui veut que le Germe réfide originairement
dans la liqueur que fournit le Male.
CLIII. Combien la découverte de M. de HALLER peut contribuer à
répandre de jour fur le myflere de la Génération. Sagacité qu'elle
prouve dans fon Auteur. Art de voir.

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CLIV. Récapitulation des Faits fur le Poulet, & remarques fur ces
Faits. Que l'état de fluidité n'est qu'une apparence.
ibid.
CLV. Réflexion fur l'efprit de Systeme. Comment M. de HALLER eft
revenu de l'Epigénefe à l'Evolution.

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CLVI. Refultats généraux des Obfervations de M. de HALLER fur le
Poulet.

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III

CLVII. Parallele de ces Obfervations avec celles de HARVEY fur la géné
ration des Biches, expofées par l'Auteur de la Vénus Phyfique. 112.
CLVIII. Obfervation de l'Auteur fur le point vivant. Suite du parallele. 115
CHAPITRE X.

Remarques fur les métamorphofes, fur l'évolution fur l'accroif
fement.

CLIX. Uniformité dans la maniere dont les Quadrupedes & les Oi-
feaux fe développent. Changemens du Poulet comparés aux mé-
tamorphofes des Infectes.

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CLX. Apparences trompeufes dans les métamorphofes des Infectes. Réflexions
fur ce fujet. Le Papillon exiftoit déja dans la Chenille, &

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CLXI Conféquence fur la préexiflence originelle du Papillon. La Chenille
comparée à un Oeuf.
CLXII. Faits qui prouvent que les Végétaux fuivent, comme les Ani-
maux, la loi de l'Evolution.
CLXIII. Que l'impulfion du Cœur eft la principale puiffance qui opere
le développement dans l'Animal. Remarques fur les changemens

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de couleur du fang, & fur l'Offification.

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CLXIV. Exemple remarquable de l'Evolution, dans la Membrane om

bilicale du Poulet.

CLXV. Solides de l'Embryon

exemple pris des jambes

CLXVI. De l'augmentation de

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repliés originairement fur eux-mêmes :
des ailes du Papillon.
maffe des folides, par l'incorporation

ibid.

des matieres alimentaires. Injections colorées, propres à répandre du jour fur cette incorporation. CLXVII. De la tranfpiration infenfible qui fe fait tandis que l'Embryon fe développe. Idée des moyens d'abréger ou de prolonger à volonté la vie de l'Embryon. Du principe vital dans l'Animel. Conféquences. 127 CLXVIII. Recherches fur la puiffance qui opere le développement dans le Végétal. Expériences de l'Auteur, fur la vitesse du mouvement de la feve, & fur les injections colorées. CLXIX. Effets généraux de la puissance vitale dans les Plantes. Expofition abrégée de la maniere dont les Arbres croiffent. Parallele de cet accroiffement avec celui des os.

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CLXX. Elémens de la théorie de l'Auteur fur la méchanique de Paccroiffement.

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Que les Obfervations fur la formation du Poulet, achevent de détruire le fyfteme des Molécules organiques.

Faits qui concernent les Graines & les Boutons, ainsi que les Greffes &les Boutures, foit végétales, foit animales, & la multiplication par rejettons, & celle par divifion naturelle.

CLXXI. Que tous les Faits expofés dans les Chapitres précédens, établiffent l'Evolution comme une loi de la Nature.

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135 CLXXII. Qu'il n'est donc point de véritable Génération dans la Nature. ibid. CLXXIII. Oppofition des découvertes fur le Poulet, avec les fyftèmes qui les avoient précédées. 136 CLXXIV. Réflexions fur les Anciens, à l'occafion de leur opinion fur le mélange des deux femences. De quelques opinions modernes, peu philofophiques, fur l'origine des Etres organifes. CLXXV. Remarques fur l'expofition que l'Auteur a donnée du système de M. de BUFFON, & fur un paffage de la Vénus Phyfique. 137 CLXXVI. Que les obfervations de M. de REAUMUR fur les globules mouvans, prouvent leur véritable origine, & la faufjeté des opi

ibid.

nions

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