140 CLXXVII. Que les découvertes de M. de HALLER fur le Poulet, détruifent de fond en comble l'édifice élevé par M. de BUFFON, &comment. CLXXVIII. Réfutation du fentiment de M. NEEDHAM, fur l'origine du germe dans la graine, & fur la maniere dont celle-ci eft fécondée. 141 CLXXIX. Que la découverte fur l'origine du Poulet, conduit par analogie à celle de tous les Etres organifes. 143 ibid. ibid. CLXXX. Origine des branches dans les Arbres. Les boutons. CLXXXI. Origine de la Plantule. La graine. Comparaison de la graine avec l'auf. Différence de la graine du bouton. La bouture. CLXXXII. Expérience curieuse pour découvrir l'ufage des lobes dans la graine. 144 CLXXXIII. La greffe. Idée de la maniere dont elle s'unit avec le fujet. Expérience contraire à l'opinion qui admet ici une espece de filtre pour feparer les fucs. CLXXXIV. Greffes naturelles, fources de diverfes monftruofités. CLXXXV. Polypes multipliant par rejettons, & comment. ibid. 145 ibid. CLXXXVI. Rejettons des Végétaux. Multiplication de la lentille aquatique par rejettons, qui imite celle des Polypes. 146 ibid. CLXXXVII. Polypes chargés à la fois de plufieurs générations de ment. CXC. Hydres produites par la fection. 147 148 ibid. 149 CXCI. Polypes hachés, & ce qui en réfulte. Comment fe forme le nouvel eftomac dans les plus petits fragmens. CXCII. Expérience de l'Auteur fur des Vers aquatiques qui multiplient comme les Polypes, de bouture. Idée de l'organisation de ces Vers. Régularité de la circulation du fang, jufques dans les moindres portions. Echelles des accroiffemens des parties coupées. Ver qui repouffe fucceffivement douze tétes. ibid. 151 CXCIII. Que les Vers de terre multiplient aufi de bouture. Bbbb ibid. CXCV. Que cette propriété n'est pas moins étendue dans le végétal que dans l'animal. Preuves: les boutures de feuilles, &c. Pag. 152 CXCVI. Cause finale de cette propriété dans les Infectes. CXCVII. Polypes & Anguilles qui multiplient naturellement de bouture. 153 ibid. CXCVIII. Millepié qui multiplie auffi de lui-même par bouture, & comment. 154 CXCIX. Multiplication des Polypes à bouquet par divifion naturelle. 155 CC. Multiplication des Polypes en entonnoir par divifion naturelle. 156 CCI. Multiplication par divifion naturelle de certains Polypes à bouquet, furnommés Polypes à bulbes. CCII. Polypes greffés. ibid. 159 CCIII. Autre exemple de greffes animales. La greffe de l'ergot du Coq fur la crête. 161 CCIV. Réfutation de l'opinion finguliere de VALLISNIERI, fur la formation du Tænia ou Solitaire. CCV. Polypes retournés & déretournés. Phénomenes remarquables qui fuivent les déretournemens incomplets. VALLI 162 165 CCVI. Promptitude des reproductions dans les Polypes. CCVII. Réflexion fur la belle hiftoire des Polypes de M. TREMBLEY, fur un paffage de l'hiftoire de l'Académie de Pruffe. 168 ibid. CHAPITRE XII. Réflexions fur la découverte des Polypes, fur l'échelle des Etres naturels, & fur les regles prétendues générales. Expofition abrégée de divers faits concernant les végétaux, & à cette occafion, de Panalogie des arbres & des os. Effai d'explication de ces faits. CCVIII. Que nous sommes mieux placés pour expliquer les merveilles des Polypes, qu'on ne l'étoit au temps de leur découverte. Réflexion fur les caufes qui ont retardé cette découverte. 171 173 CCIX. Que le Polype met en évidence la gradation qui eft entre toutes les parties de la Nature. Extrait d'une Lettre de LEIBNITZ, qui prouve qu'il avoit foupçonné l'exiflence de cet Infecte. Réflexions fur Péchelle des Etres naturels, publiée par l'Auteur. CCX. Obfervations fur le fentiment de M. BOURGUET & de quelques autres Auteurs, touchant la prétendue organisation des fels, des cryftaux, des pierres, Que nous ignorons le paffage du fofile au végétal. Page 175 CCXI. Obfervations fur l'opinion de M. de MAUPERTUIS, touchant la prétendue réalité des interruptions dans l'Echelle des Etres naturels. Réflexions fur les progrès de l'efprit humain dans les recherches Phyfiques. CCXII. Lumieres que les Polypes peuvent répandre fur divers points de Phyfiologie. 177 179 180 CCXIII. Que les Polypes nous enfeignent à nous défier des regles générales. Réflexions fur Pufage & fur l'abus de l'analogie. CCXIV. Introduction à l'effai d'explication des reproductions végétales animales. 181 CCXV. Des plaies des arbres, & de ce qui fe paffe dans leur confolidation. ibid. CCXVI. Loix de la confolidation des plaies végétales. Résultats généraux. 183 CCXVII. Expérience qui conftate la production d'un nouveau bois. ibid. CCXVIII. Que le bois parfait eft incapable de faire de nouvelles productions. Ordre & progrès de l'endurcissement dans les différentes couches. 184 ibid. CCXIX. L'aubier, fa nature & fes fonctions. CCXX. Différences caractéristiques entre la fructure du bois celle de l'écorce. Qu'il n'eft point de véritable converfion de l'écorce en bois. Raifons de cette affertion. Solution d'une difficulté de M. DUHAMEL. 185 CCXXI. Analogie entre la formation du bois & celle des os, dans les idées de M. DUHAMEL. 187 CCXXII. Expofition du fentiment de M. de HALLER fur la formation des os, en oppofition avec celui de M. DUHAMEL. 188 CCXXIII. Précis de la réponse de M. FOUGEROUX aux objections de M. de HALLER, pour fervir d'éclairciffement aux analogies de M. DUHAMEL. 189 CCXXIV. Raifons qui portent l'Auteur à fufpendre fon jugement fur la question controversée entre les deux célebres Phyficiens. 194 CCXXV. Résultats généraux des faits, indépendans de la queftion agitée. 196 CCXXVI. Bourlets des plaies végétales, leur nature, leur formation, leurs effets. Maniere de faire reprendre de bouture toutes fortes d'Arbres. ibid. CCXXVII. Confirmation de l'ufage & de l'importance des bourlets dans les boutures. 198 202 CCXXVIII. Expériences de l'Auteur fur la végétation des boutures. Page 199 CCXXIX. Remarques fur la feve defcendante, caufe de la production des bourlets. Que cette feve defcend par une force qui lui eft propre. Page 200 CCXXX. Effet des deux bourlets qui naissent au-dessus & au-dessous de la plaie. ibid. CCXXXI. Expériences qui prouvent que ces deux bourlets font de même nature. Arbres plantés, les racines en enhaut, & qui reprennent. 201 CCXXXII. Conféquence des expériences précédentes contre les valvules, que quelques Auteurs ont admifes dans les vaiffeaux. Expérience de l'Auteur à ce sujet. CCXXXIII. Pourquoi le bourlet fupérieur eft plus gros que l'inférieur. Action des feuilles établies par l'Auteur. CCXXXIV. Que les bourlets favorisent l'éruption des germes; mais qu'ils ne lui font pas néceffaires. Preuves tirées de quelques boutures fingulieres de l'Auteur. CCXXXV. De l'union de la greffe avec fon fujet, confidérée dans les différentes fortes de greffes. CCXXXVI. Effai d'explication de la régénération des plaies végétales. Reffources ménagées de loin par la Nature. CCXXXVII. Comment toutes les fibres s'endurciffent peu à peu, & 203 ibid. 204 206 &pa 207 roiffent revetir une autre nature. CCXXXVIII. Germes répandus dans tout le corps de la Plante, fource féconde de reproductions. Preuves de cette diffémination. 208 CCXXXIX. Comment certaines circonflances favorifent Péruption des gerines. 2:0 CCXL. Comment une fimple bouture, une fimple feuille, &c. peuvent faire par elles-mêmes de nouvelles productions. CCXLI. Explication des greffes. ibid. 211 Expofition abrégée de divers faits concernant les boutures & les greffes animales. Obfervations fur la reproduction des Vers de terre, fur celle des Vers CCXLIII. Invitation à faire de nouvelles expériences fur les Vers de terre, 218 CCXLIV. Expériences de l'Auteur fur la reproduction des Vers de terre. 219 CCXLV. Conféquences de ces expériences. Parallele des reproductions des 226 CCL. Très-petits Vers fortis de Pintérieur de quelques portions du 233 235 CCLII. Phénomenes de la reproduction des pattes de l'Écreviffe. CCLV. Examen de la question, fi les mêmes Germes fervent à la multiplication naturelle de l'Efpece, & à la reproduction des parties coupées? Comparaison tirée de la différence effentielle qui eft |