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Chevalier, né le 24 Janvier 1772, reçu Chevalier de Malte le 30 Mai de la même année; en 1782, Officier auffi au Régiment d'Alface: — 3. -3. Et JOSEPH-ANTOINE BAUDOUIN, Comte D'ALSACE HENNIN-LIETARD, né le 5 Avril 1781.

Les armes de gueules, à la bande d'or.

ARCLAIS, en Baffe-Normandie; ce nom eft orthographié ARLES & ARLEAM, dans la Charte de 1074, par laquelle Guillaume le Conquérant, donna la Baronnie du Pleffis, dont dépend la Seigneurie d'Arclais, à l'Eglife de Bayeux, & à fon Evêque Odon, frere de ce Conquérant.

Or il eft évident, par une infinité d'exemples, que les Terres en Normandie ont donné le nom à leurs premiers poffeffeurs, ou l'ont pris d'eux: d'où l'on peut conjecturer que c'eft delà que tire fon nom l'ancienne maifon d'ARCLAIS, dont les Seigneurs ont demeuré & demeurent encore dans les environs de cette Terre. Cette famille, qui prouve fa nobleffe par titres dès le treizieme fiecle, a vu fortir cette Terre précédemment de chez elle, parce que vraisemblablement la branche aînée qui la poffédoit eft tombée en quenouille, & a été portée par une héritiere dans des mains étrangeres.

Elle eft divifée en quatre branches, favoir, celle des Seigneurs de Monbofq, iffue de l'aînée; celle des Seigneurs de Montamy; celle des Seigneurs de Beaupigny, & celle des Seigneurs d'Arclais-de-Bretteville-l'Orgueilleufel, fortie de la branche cadette.

I. JEAN D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq, aux droits de fa femme, inféoda plufieurs portions de terres, fifes en la Paroiffe d'Arclais, par acte paffé devant les Notaires de Vire, le 22 Septembre 1386, au profit de Lucas, Colin & Jean Gallot, freres, de ladite Paroiffe d'Arclais, à condition par eux de lui faire 20s de rente, feize boiffeaux de feigle, fix retz d'avoine, deux pains, deux gelines, foi & hommage, relief 13, & fujétion à fa Juftice. Il rendit aveu, au nom de Perrette de Monbofq, qu'il avoit épousée, vers l'an 1360, pour le fief de Monbofq, le 28 Mars 1391, à Jean Bacon, Ecuyer, Seigneur d'Ondefontaine, à caufe de fa Seigneurie de Saint-Vaft, tenue de l'Evêque de Bayeux. Il étoit encore propriétaire du fief de Graiches ou Gruchy, qu'il tenoit par droit fucceffif. Il obtint, le 4 Juillet 1399, main-levée de Jean de Vendóme, Ecuyer, du Corps du Roi, Maître Enquêteur des Eaux & Forêts au pays de Normandie, pour les bois de Monbofq, contenant environ huit acres, de même que pour les bois du Homme, de quatre cents acres, qu'il avoit acquis avec le fief du Homme', fis à la Hagnes, par contrat du 15 Février 1392. Il laiffà de fon mariage: II. JEAN D'ARCLAIS, II du nom, Ecuyer, Seigneur de Monbofq & du Homme, qui obtint, par Sentence de la Vicomté de Bayeux, en date du 20 Mars 1402, main-levée de fon fief de Monbofq, faifi à la requête des Officiers de ladite Vicomté, après avoir justifié qu'il étoit iffu de noble lignée de pere & de mere. Il fut nommé Pannetier du Roi Charles VI par Brevet du 20 Juin 1402, en présence des Ducs de Bourgogne, d'Orléans, & de Pierre de Navarre; & fut retenu par le Roi pour lui-même

exercer cette charge, après en avoir prêté ferment, le 29 Octobre fuivant. Les Maréchaux de France lui délivrerent, le 25 Septembre 1410, un certificat comme il s'étoit présenté aux montres pour les fervices dûs au Roi, à raifon de fes fiefs & arriere-fiefs, & comme il avoit été retenu pour la garde des Châteaux de Sa Majefté. De concert avec fa femme, Martine le Bourguignon, il donna, par contrat paffé le 8 Décembre 1414, au Tabellionage du Tourneur, 20 de rente à l'Eglife & Fabrique de SaintMartin-des-Befaces.

Le Roi Charles VII lui expédia, le 8 Février 1427, une Charte par laquelle, vu les bons fervices par lui rendus à ce Prince dans fes guerres contre les Anglois, les grandes dépenses & travaux par lui foutenus dans ces guerres, ayant été obligé de fortir du pays de Normandie, à l'arrivée des Anglois, fans avoir aucunement joui depuis ledit temps de fes biens & revenus en ce pays; vu auffi les bons fervices qu'icelui d'ARCLAIS, fa famille, parens & amis lui rendroient à l'avenir, à ce qu'il espéroit, il lui permet de s'en retourner audit pays de Normandie, avec fa famille, pour y vivre en paix le refte de fes jours fur fon héritage, fous l'obéiffance des ennemis de Sa Majefté, communiquer & converfer avec les gens du pays; (mais à condition de ne pas s'entremettre dorénavant du fait de la guerre) fans que cela lui puiffe tourner à l'avenir à aucun reproche ou préjudice; ledit Roi le prenant fous fon fauf-conduit & fauve-garde. Il étoit alors âgé de cinquante-cinq à foixante ans ; d'où il s'enfuit qu'il étoit né vers 1360. Ses enfans furent: 1. NICOLAS, qui fuit; 2. PERRETTE, mariée, par contrat paffé au Tabellionage de Saint-Lo, le 17 Mai 1428, à Robin Clerel, Ecuyer; - 3. CATHERINE, femme de Richard de Berrolles, Ecuyer; -4. & PHILIPPINE D'ARCLAIS, mariée à Etienne le Roux, Ecuyer.

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III. NICOLAS D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq & du Homme, fervit long-temps dans la Compagnie d'Alain Goyon, Confeiller-Chambellan du Roi, qui lui délivra un certificat de fes fervices en la Compagnie des autres nobles du Bailliage de Cotentin, le 23 Septembre 1465. Il avoit fait preuve d'ancienne nobleffe, en 1463, devant Montfaouq, Commiffaire du Roi; comparut à la montre générale des Nobles de la Province; en qualité d'Ecuyer, & Colin de Berrolles, Archer d'icelui Ecuyer, & pour fon fils, laquelle fut faite, fuivant le certificat du 30 Mars 1469, par LOUIS, bâtard de BOURBON, Comte de Rouffillon, Amiral de France, & Lieutenant-Général du Roi au pays de Normandie. Il eut de Marguerite Jullain, fon épouse: -1. JEAN, qui fuit; -2. GUILLEMINE, mariée, par contrat paffé au Tabellionage de Saint-Lo, le 2 Avril 1473, à Michel Antin, Ecuyer, Sieur de la Blanche-Cappierre ; 3. & JEANNE, mariée, par contrat du 3 Janvier 1483, à Guillaume Antin, Ecuyer, Sieur de la Bourdonniere.

IV. JEAN D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq & du fief des Graiches ou Gruchy, fief qu'il vendit par acte du 17 Avril 1493. Il avoit époufé, par contrat paffé au Tabellionage de Saint-Lo, le 4 Août 1476, Demoiselle Gillette Poiffon, fille de Pierre Poiffon, Ecuyer, Seigneur de Cremes, & de Demoiselle Marguerite Lambert, dont :- 1. JEAN, qui fuit;

-

2. Et

& NICOLE, mariée, par acte reconnu le 6 Octobre 1500, à Raoul Laillet, Ecuyer, Seigneur de Cuffy.

V. JEAN D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Neuilly-le-Malherbe, puis Seigneur de Monbofq, époufa, par acte fous feing-privé du 23 Décembre 1481, Marguerite Coftard, fille de Jean Coftard, Sieur de Cambes. Lui & fon époufe établirent pour leur Procureur JEAN D'ARCLAIS, Seigneur de Monbofq, fon pere, par acte paffé le 16 Novembre 1498. Il eut pour enfans: 1. JEAN, qui fuit; 2. NICOLAS, Ecuyer, Seigneur & Patron de Montamy; 3, JACQUES, Prêtre ; - 4. Et LOUIS D'ARCLAIS.

VI. JEAN D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq & de Neuilly-leMalherbe, partagea avec fon frere NICOLAS, Seigneur de Montamy, les

meubles & immeubles de feu fon pere, le 17 Janvier 1540, & régla, ainfi que fon frere, le douaire & dot de la Dame sa mere, l'an 1541. Il juftifia de fa nobleffe, avec NICOLAS fon frere, devant les Elus de Bayeux, le 14 Décembre 1540. Il avoit époufé, en préfence & du confentement de fon pere, par contrat reconnu le 10 Novembre 1539, Jeanne de Vauville fille aînée de Jean de Vauville, Ecuyer, Seigneur d'Orval. Pierre Toftard, Ecuyer, Seigneur du fief de Brimbois, affis aux deux Paroiffes des Befaces confentit, par acte paffé au Tabellionage du Tourneur, le 19 Juillet 1544 que ledit fieur JEAN D'ARCLAIS-DE-MONBOSQ, & fa femme, aient pour eux & leurs hoirs, les honneurs & préféance des Eglifes defdites Paroiffes, au préjudice dudit Toftard, de fa femme & de fes enfans. Ses enfans furent: 1. NICOLAS, qui fuit:-2. Et MARGUERITE D'ARCLAIS, mariée, en 1589, à Julien de Berton, Ecuyer, Sieur de Breville.

VII. NICOLAS D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq & de Neuillyle-Malherbe, fut déchargé du droit des francs-fiefs & nouveaux acquêts, par Arrêt du 12 Juin 1570. Il tranfigea, par acte du 24 Mars 1579, avec LOUIS D'ARCLAIS fon oncle, au fujet de la penfion viagere due à ce dernier fur la Terre de Monbofq, & étoit décédé en 1589. Il avoit époufé, par contrat fous feing privé, du 6 Février 1565, Florimonde de SainteMarie, fille de Gabriel, Ecuyer, Seigneur de Sainte-Marie & d'Anneville, & d'Anne de la Tandronniere, dont vint JEAN D'ARCLAIS, qui fuit.

VIII. JEAN D'AR CLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq & de Neuilly, qui fervit dans la Compagnie des Cent Hommes d'Armes des Ordonnances du Roi, fous M. de Matignon, & fe trouva au fiege d'Amiens, comme il appert d'un certificat du 30 Novembre 1597. Il fit une tranfaction, le 3 Novembre 1622, avec Gafpard le Vavaffeur, Chanoine de Bayeux, par laquelle ce dernier confentit à l'emplacement des bancs dans les chœurs des Eglifes des Befaces, reconnoiffant que les Seigneurs de Monbofc avoient eu de tout temps leurs féances & fépultures dans les chœurs & chanceaux defdites Eglifes. Il vivoit encore en 1637, & avoit époufé, par acte du 10 Novembre 1597, reconnu en 1600, Demoiselle Catherine de Verney fille de Jean de Verney, Ecuyer, Seigneur de la Riviere & du Cayet, & de Marie le Mercier. Il en eut, JACQUES D'ARCLAIS, qui fuit.

IX. JACQUES D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq & des Befaces, lequel fervit fidélement le Roi en fes différentes armées en Languedoc & Tome XIV.

B

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ailleurs, & fe préfenta aux montres de la haute & baffe Normandie, fuivant les certificats 'des Seigneurs de Coligny, de la Mailleraye & de Matignon, ès années 1628, 1630, 1635 & 1636. Il obtint main-levée de fes fiefs de Monbofq & des Befaces, par Arrêt de la Chambre des Comptes, du 22 Août 1646, & fit preuve d'ancienne nobleffe devant M. Chamillart, en 1665. De fon mariage, contracté le 20 Septembre 1643, avec Jacqueline de la Broife, fille de Jean de la Broife, Ecuyer, Seigneur de la Cahorie & d'Efcures, & de Julienne le Boucher, il eut: 1. CLAUDE, qui fuit: -2. & 3. JEAN & LOUIS D'ARCLAIS, morts avec leur poftérité. X. CLAUDE D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq & des Befaces, opta pour préciput le fief de Monbofq, par Sentence rendue à Thorigny, le 5 Juillet 1666; fit un accord avec fon frere puîné, JEAN D'ARCLAIS, pour le compte de fa tutelle, devant les Notaires de Thorigny, & fervit à l'arriere-banc de 1691, fur les côtes de la baffe Normandie. Il avoit époufé, par contrat paffé devant les Notaires du Tourneur, le 27 Novembre 1680, Demoiselle Marie le Vaillant, fille de René le Vaillant, Ecuyer, Sieur de Roucamp, & de Gabrielle du Hamel, de laquelle il laiffa : HENRI, qui fuit:- 2. & plufieurs filles, entr'autres FRANÇOISE, femme de Jacques-André de Malherbe, Ecuyer, Sieur de Vaucelles : -3. Et ANNE D'ARCLAIS, mariée à Louis-Robert de Brebiffon, Ecuyer, Sieur des Aunay. XI. HENRI D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq, rendit aveu, le 26 Septembre 1729, au Duc de Valentinois, Seigneur d'Onde fontaine, pour le fief de Monbofq, dont releve celui de Neuilly-le-Malherbe, vendu par fes prédéceffeurs. Il avoit époufé, en 1722, Marie-Louife de Lambert fille de Louis-Jacques de Lambert, Ecuyer, Seigneur de Craham & de Thury, & de noble Dame Catherine-Elisabeth de Gallet, dont :- 1. JEANLOUIS, qui fuit:- 2. Et MARIE-LOUISE D'ARCLAIS, femme de JacquesPhilippe de Croifilles, Ecuyer.

I.

XII. JEAN-LOUIS D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq & des Befaces, Patron honoraire desdites. Paroiffes, né à Saint-Martin des Befaces, le 29 Juin 1727, mort le 20 Avril 1779. Il avoit époufé, par contrat paffé fous feing privé, le 7 Octobre 1759, Marie-Pétronille Néelle, fille de Gabriel, Ecuyer, Sieur du Buc, & de Jeanne-Michelle de Cuffy. De ce mariage eft iffu, GABRIEL-JEAN-LOUIS D'ARCLAIS, qui fuit.

XIII. GABRIEL-JEAN-LOUIS D'ARCLAIS, Ecuyer, Seigneur de Monbofq & des Befaces, batifé à Saint-Etienne de Caen, le 23 Août 1766, Chevau-Léger de la Garde ordinaire du Roi.

:

Les Armes de gueules, à trois molettes d'éperon d'argent, 2 & 1, & au franc quartier d'or, chargé d'une bande d'azur portant les deux molettes. Généalogie dreffée fur titres par M. l'Abbé Beziers, Chanoine du SaintSépulcre de Caen.

ASTORG (D'), Maifon dont la Nobleffe fe perpétue dans les fiecles les plus reculés, & qui, dès le milieu du onzieme, étoit divifée en plufieurs branches qui floriffoient en même-tems dans le Rouergue, le Languedoc, le Limofin- & le Quercy.

Les Seigneurs D'ASTORG font qualifiés dans les titres les plus anciens de nobles & puiffans Seigneurs, de Meffires, Meffeigneurs, de Chevaliers, Damoifeaux & d'Ecuyers. Leur nom fe trouve indifférament écrit D'ASTORG, D'AUSTORG, D'ASTORC dans les actes françois & vulgaires; & dans les titres latins, ASTORGII, AUSTORGII & de ASTORGIO. On eft certain que la Maison D'ASTORG, en s'établiffant en France a commencé en Quercy & en Limoufin, où elle poffédoit de grands biens. Son ancienneté, le rang diftingué qu'elle a toujours tenu, l'étendue de fes poffeffions, fes emplois, fes fervices militaires & fes grandes alliances, par lesquelles elle a l'honneur & l'avantage de tenir à la Maifon Royale, & à celles de Touloufe, d'Aure, de Foix, de Comminges, d'Espagne, de Noailles, de Labafteus, de Mauléon, de Lomagne-Terride, de Sarlabons, de Montefquiou, de Gramont, de Pardaillan, d'Antin, de Leberon, d'Ambres, de Miran, de Boufflers-Remiencourt, de Galard du Bouzet, de Roquepine, de Montberaut, & à la principale Nobleffe de Gascogne, l'égalent aux maisons les plus confidérables du Royaume.

Les preuves de M. D'ASTORG, frere du Marquis de Roquepine, remontent & englobent celles qui font venues de Malte, nous ne tirons de celles-ci d'autres éclairciffemens que la femme de JEAN D'ASTORG étoit de la maifon de Montclar, & defcendoit par mâle des Comtes de Toulouse comme il eft dit dans les preuves de Malte, faites en faveur de JEANFRANÇOIS D'ASTORG de Segreville, reçues en 1571.

On voit par les hiftoires des Comtes de Toulouse, de Catel & de la. Faille, que PIERRE D'ASTORG, chef de la premiere branche rapportée ci-après, Capitoul d'épée de Toulouse en 1392, eft présumé fils d'ADHÉMAR ASTORG, Capitoul de Touloufe en 1337; que celui-ci eft présumé fils d'un autre ADHÉMAR ASTORG, auffi Capitoul de Toulouse en 1292, 1304 & 1314.

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Une branche de cette maison, dès le douzieme fiecle, fous le nom de Orliac, qui, en 1230, poffédoit, outre la terre d'Orliac, les villes de Tignieres, Seveirac, la moitié de Cantoën, Greiffac, & la moitié de Bénavente, dans le diocefe de Rodez, avec leurs appartenances : cela se prouve par un hommage rendu au Comte de Toulouse par un ASTORG d'Orliac, en préfence du Vicomte de Turenne, de Roger de Comminges, Comte de Pallars, de Géoffroy, de Chateau-Neuf, & de Durand de Montault freres dudit ASTORG. Ce Seigneur ASTORG d'Orliac, ou Orlhac, fut taxé par le Roi Philippe-Augufte en 1304. Il eft cité dans Veiffet fous le nom d'Aurillac. C'eft une faute; il doit être appellé Orliac, ou Orlhac, comme il eft dans Catel, cent ans auparavant, au nombre des Seigneurs qui fignerent au contrat de mariage de la Comteffe de Montpellier & du Roi d'Arragon. Ce Seigneur eft taxé 25 hommes d'armes. Le Seigneur de Séverac, qui vraisemblablement étoit fon fils, autant; ce qui fuppofe qu'ils étoient très-grands Seigneurs, puifque les Comtes d'Armagnac, de Foix & de Comminges n'étoient taxés que 80 hommes d'armes.

Une branche D'ASTORG de Nouillac tomba en quenouille dans ce fiecle

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