Histoire des revolutions arrivées dans le gouvernement de la république romaine: Par M. l'Abbé de Vertot ...Chez Barois, 1727 |
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Términos y frases comunes
Adherbal affemblée affez Affrique ainfi Appius armée armes auffi auffi-tôt avoient avoit Bocchus buns Caïus camp Capitole Carthaginois citoyens Claudius confideration Confulaire Confulat Confuls Decem Decemvir Decemvirs deffeins devoit Dictateur difcours differens dignité efprits enfuite ennemis Eques étoient étoit euffent eût faifoit falloit fang fans fe rendre fecours fecret fentiment feroient feroit fervir feul foit foldats fon Collegue fuccès fuffrages fuiv fujet Gaulois General Gracques guerre interêts jufques jufte juftice Jugurtha l'Affemblée du Peuple l'armée l'élection laiffer Licteurs Loix Magiftrats Magiftrature maifon Manlius Marius ment Metellus n'avoient n'avoit n'étoit neraux Nobleffe Numidie oppofer paffer partage des terres partifans Patriciens patrie perfonne Plebeïens pouvoit premiere Préteur propofa propofition puiffance Quintius rent République Rome s'étoient Samnites Scipion Senat Senateurs tems Tiberius tion toyens Tribunat Tribuns du peuple Tribuns militaires troupes Valerius Virginius Volfques vouloit vûë Сс כג
Pasajes populares
Página 329 - ... le prix, mais qui fait plus d'honneur à la mémoire de ce vertueux Romain, que tous ces titres pompeux dont on décore, tous les jours, les terres de ces hommes nouveaux , qui ne se sont enrichis que par des brigandages , et dont les noms ne seront, peut-être, connus dans la postérité, que par les calamités , que leur avarice a causées dans le pays où ils ont fait la guerre.
Página 26 - ... accablés de dettes , et qui ne pouvoient trouver de sûreté que dans les troubles de l'état. Mais ce qui étoit encore plus déplorable, c'est qu'on vit bientôt à la suite de...
Página 232 - Fabius, irrités d'une réponse si fière, dissimulèrent leur ressentiment; et, sous prétexte de vouloir en qualité de médiateurs conférer avec les magistrats de Clusium , ils demandèrent à entrer dans la place. Mais ils ne furent pas
Página 197 - ... celles des pauvres Plébéiens , demeuroient en friche. De là étoient venus les emprunts , les ufures multipliées par les intérêts , & enfuite les plaintes & les féditions du Peuple. Le Sénat , pour...
Página 69 - Virginius sous quelque prétexte ; et du moins de ne lui point donner congé de revenir à Rome. Il se flattoit que , faute de comparoître dans le temps marqué, il seroit alors autorisé à remettre sa fille entre les mains de Claudius ; mais son courrier arriva trop tard au camp.
Página 180 - Mécilius et son collégue, outrés de voir sortir l'opposition de leur propre tribunal et de leur collège, traitèrent leurs collègues de traîtres, d'ennemis du peuple, et d'esclaves du sénat. Mais malgré toutes ces injures, comme il ne falloit que...
Página 333 - Carthaginois ayant pendant ce temps-là perdu des batailles considérables par terre et par mer, ils tirèrent Régulus de sa prison pour l'envoyer à Rome ménager la paix, ou du moins l'échange des prisonniers. Les magistrats , avant que de le faire embarquer tirèrent de lui parole , que s'il ne pouvoit rien obtenir des Romains il reviendroit à Carthage reprendre ses fers : on lui fit même entendre que sa vie dépendent du succès de sa négociation. Il ne tint pas au sénat que la paix ne...
Página 169 - Sempronius, répondit au tribun qu'il n'appartenoit point à un simple officier dejuger de la capacité de son général, et que le peuple en avoit décidé en le créant consul. Qu'il l'avoit vu combattre à la tête des légions avec un courage invincible, et se porter dans tous les endroits où le péril étoit le plus grand ; que l...
Página 167 - Tempanius , qui ne doutoit pas que les ennemis ne l'attaquassent , de nouveau , dès que les ténèbres seroient dissipées (i) fut bien surpris, lorsqu'au point du jour il ne vit plus ni amis, ni ennemis. Il ne pouvoit comprendre ce qu'étoient devenues deux grandes armées , qui , peu d'heures auparavant, occupoient toute la plaine.
Página 173 - ... voyant que depuis les conquêtes et l'agrandissement de la république, ces deux officiers ne suffisoient pas pour remplir toutes leurs obligations, proposèrent d'en augmenter le nombre , et d'ajouter aux deux premiers questeurs, qui ne sortoient point de Rome, deux autres qui suivissent les consuls et les généraux à l'armée pour tenir compte des dépouilles des ennemis, pour vendre le butin , et surtout pour prendre soin des vivres et de la subsistance de l'armée. Le sénat et le...