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St-Nicolas (place), 20.

St-Willemer en Boullogne, 20, 34.

Salomon (Le s' de), gendarme écossois, mari de delle Bruger, 53, 96

Samer (le diable de), 68.

Scotté, notaire, 108.

Seguin (Georges), de Callais, 28.

Semeur (Jeanne), femme de Denis de Mouy., 108.
Sepy (Nicollas), gendre de G. Seguin, 28.

Sombre (Pierre de), mauvaise lecture pour Thombes, 107.

Stricq, 1657, 62.

Talles (Pierre de), 19.

Tallon (M Maturin), de Paris, 35.

Tant-perd-tant-paye (rue), ou de la Grande-Folie, 78 103.

Thombes (Me François de), chanoine, prieur de Rumilly, 32, 43.

(Me Jaques), chanoine, 1637, 33, 39.

(Jenneviefve de), femme de Charles Cotté, (Costé), greffier, 34, 35.

(Michel de), mari d'Anne Dieu, 27, 29, 32. (Pierre de), 107.

Tour d'Ordre, deux pans tombés le 20 janvier 1644,

Tourne, 70.

deux autres le 10 février, le reste en

juillet 1644, 42, 43. (Voir Mémoires de la Sociéte Académique, t. XVII, p. 449).

Toussent ou Toussant d'Honglevert (Me Anselme Salomon), conseiller du Roi, 59, 101.

(Antoine), 56, 99.

Trousel, mieux Troussel (George), mari d'Anthoinette du Hen, 27, 31.

Turbinghen, 112.

Ursulines (les dames), de Bourges, 60.

Ursulines (Couvent des), et non Urselines, 46, v. Wrsulines.

Vaillant (Adrienne), femme de Jacq. Lardé, 28. (Ansel), ancien mayeur, 28.

(V. J.), 70, 71.

Vailliant (Jenneliefve), femme de François du Wicquet, sr de Dringhen, 34.

Vaussac (Guillaume-Joseph), procureur à Etaples, marié le 10 janv. 1701 à Marie-Catherine Hibon, 53, 96: Dont:

(Joseph), 53, 96.

(Louis-François), 53, 96.

(Marie-Antoinette), 53, 96.

Videbois (une nommée), 62, 90. V. Brisac, Villequier (entrée à Boulogne de Mr le Mis de), 6 may 1658, 52.

(Régiment de), 63.

Vinot (M Claude), chanoine pénitencier, 30.

Vivets (rue des), 20.

Vuiant (Berthélémy), mari d'Apolline Joly, 109. Wiart (Jenne), femme de Jehan du Wicquet, 22, 24. Wicquet (Me François du), me des Eaux et Forests, mayeur, s de Dringhen, mari de Jenneliefve Vailliant, 28, 34.

(Isabeau du), fille du susdit, 28.

(Jehan du), mari de Jenne Wiart, 22, 24.
(Simon du), 23.

Wierre (M' de), 1657, 63.

Wrsulines (Les Dames), 41.

Zullin (Jacquelline), femme de Jaque Le Roy, 32.

Il faut lire Jullin. Elle était veuve en 1634 et mère d'Antoinette Le Roy.

NOTICE

SUR LA

Maison-Dieu et Monsieur Saint Ladre de le Deverne

AUJOURD'HUI

LA FERME DES PAUVRES

DE DESVRES

Par M. l'abbé Georges DELAMOTTE
Aumônier du Lycée de Saint-Omer

I

SITUATION

Sur la route combien pittoresque et accidentée de Desvres à Boulogne par Wirwignes, à 1.500 mètres de la ville, patrie de Jehan Molinet, à 6 kilomètres de Samer, à 16 kilomètres 500 mètres de l'ancienne capitale du Boulonnais, sur le territoire de Longfossé, à l'intersection des chemins de grande communication 215 et 96, se trouve le domaine communément appelé « la ferme des pauvres de Desvres ».

Cette modeste métairie si banale d'aspect, qui le croirait? a sa glorieuse histoire. Sur son emplacement il y eut autrefois un précieux établisse

ment hospitalier. Bâtiments, église, cimetière, chapelain, rien n'y manquait.

Destinée des choses! Rien ou presque rien n'y évoque désormais le souvenir de si émouvant passé. De la maison d'habitation assez récemment réparée, construction lourde, bizarre, insignifiante, seules les murailles épaisses et une cave voûtée arrêtent quelques instants l'attention de l'archéologue.

Par contre le touriste en excursion dans ces parages se plaît à remarquer le site frais et verdoyant de ce petit coin Boulonnais. Il conçoit aisément qu'au lointain des âges, lors d'une invasion d'épidémie, on ait fait de ce coin sauvage, placé à la lisière du bois, l'emplacement d'un lazaret.

Le sol lui-même a vu se modifier sa configuration primitive. Son relief est moins accusé parce que en raison de ses richesses en sable et en argile le terrain de tout temps en a été âprement exploité.

Une chose cependant n'a guère dû changer, c'est l'antique fontaine signalée par l'histoire Bertrand. Située entre l'ancienne et la nouvelle chaussée Brunehaut et les séparant (1), la fon

(1) Le tracé actuel est de 1780. Au registre de sépulture de Desvres il est dit que le 23 juin de cette année, François Betlé fut écrasé à dix heures du matin par un éboulement alors qu'il travaillait à cette route à l'endroit « ferine de la maladerie. » Il fut inhumé le lendemain par l'ordre du magistrat.

taine mystérieuse que surplombe toujours le chêne séculaire, a conservé quelque chose d'impressionnant. L'observateur lui retrouve en entier le poétique et vénérable cachet qu'elle avait autrefois au temps douloureux où lépreux et pèlerins y faisaient avec confiance leurs salutaires. ablutions, au temps où la vulgaire ferme des pauvres d'aujourd'hui était la touchante MaisonDieu et Monsieur Saint Ladre de Devrenne.

Ce que précisément fut à son origine cet asile du malheur; quand, par qui, à quelles fins il fut créé; comment s'est constitué et agrandi son domaine; qui à travers les siècles eut la mission sainte de l'administrer; par quelles vicissitudes il dut passer depuis sa fondation jusqu'à notre époque; je me suis posé curieusement toutes ces questions et en conséquence suis allé interroger les divers dépôts d'archives susceptibles de m'éclairer (1). Mes recherches n'ont pas

(1) Les Archives communales de Desvres sont muettes relativement à cet asile.

Pourtant le 15 février 1727 Me Oudart le Vasseur, notaire à Samer, transpor té à Desvres pour inventorier les comptes de l'église et de l'hôpital relevait au chapitre IV de son analyse, chapitre intitulé de « l'hôpital saint Ladre » :

1o Le compte Thomas Gournay pour la dite maladerie.

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Ces pièces à la demande du marguiller le sieur de Monsigny furent alors déposées dans le coffre de l'église. Que sont-elles devenues? Mystère.

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