Les lettres de messire Roger de Rabutin, Comte de Bussy, Volumen4Delaulne, 1720 |
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Les lettres de Messire Roger de Rabutin, comte de Bussy ... Roger de Rabutin comte de Bussy Vista de fragmentos - 1706 |
Términos y frases comunes
affaires affez affure aime ainſi aiſe amis amitié aſſez aſſure auffi auſſi Autun avez avoit Buffy Buſſy à Madame Buſſy à Monfieur Buſſy au Duc Buſſy au Pere c'eſt Chaſeu choſe cœur Colligny Comte de Buſſy croi deſſus Dieu dire diſgrace ennemis enſemble eſprit eſt vrai eſtime êtes étoient étoit ferois fieur fortune fuis gens j'ai j'en J'eſpere j'étois joye juſqu'à l'amitié l'eſprit l'eſtime l'honneur LETTRE longtems m'avez m'en Madame de Sc Majesté mande maniere Maréchal mauvaiſe merite monde Monfieur de Turenne n'avoit n'eſt paffer paſſer penſe Pere R perſonne plaifir plaiſir pluſieurs poſte Premier Préſident preſque puiſque raiſon Rép Réponſe du Comte reſpect reſte rien s'eſt ſans ſanté ſçai ſçavez ſçavoir ſemble ſens ſentimens ſera ſerai ſeroit ſervices ſervir ſes ſeulement ſieur SIRE ſoit ſommes ſon ſont ſouhaite ſous ſouvent ſuis ſujet ſupplie ſur tems toûjours verité
Pasajes populares
Página 181 - Madame, que ce qu'il fait n'est pas un grand sacrifice, quoiqu'il ne puisse mieux faire et même qu'il soit capable de faire mieux. « Quelques jours après, il disait, mais avec plus de ménagements, dans une lettre à l'évêque de Verdun (8 juin) : « ... Sans vouloir diminuer le mérite, je vous dirai que, s'il ya un homme de grande qualité qui doive faire un pas comme celui-là, c'est lui. Il a soixante-dix ans ; après le grand bruit et la grande figure qu'il a faits dans le monde, il se trouve...
Página 321 - Bals fans intéreffer leur confcience , feraient ridicules d'y aller ; & les jeunes , à qui la bienféance le permet, ne le pourroient pas fans s'expofer à de trop grands périls. Ainfi } je tiens qu'il ne faut point aller au Bal quand on eft chrétien ; & je crois que les Directeurs feroient leur devoir, s'ils exigeoient de ceux dont ils gouvernent les confeiences, qu'ils n'y allaflent jamais «. Voyez le qua^ tricme(tome du Recueil des Lettres de M.
Página 491 - CAUSES, voulant favorablement traiter l'Expofant , nous lui avons permis & permettons par ces préfentes , de faire imprimer & réimprimer lefdits Ouvrages, autant de fois que bon lui femblera , & de les vendre , faire vendre & débiter par tout notre Royaume , pendant le tems de dix années confécutives, à compter du jour de la date des préfentes.
Página 143 - Quoi ! mon parent, mon ami, qu'il ya dix ans qui ne m'a vu, me faire un tour comme celui-là ! Allez , vous ne méritez pas les reproches que je vous fais , ils sont trop tendres pour une pareille action. Quand vous n'auriez pas eu le plaisir...
Página 54 - C'est ce qui m'a fait souhaiter d'avoir commerce avec vous ; et puisque l'occasion s'en présente aujourd'hui, je vous en demande la continuation et votre amitié en vous assurant de la mienne.
Página 46 - ... mots, comme elle doit dire, en dise de fort bons et d'extraordinaires, comme quand Martine dit : L'esprit n'est point du tout ce qu'il faut en ménage; Les livres quadrent mal avec le mariage. Il n'ya pas de jugement à faire dire le mot de quadrer par une servante qui parle fort mal quoiqu'elle puisse avoir du bon sens. Mais enfin, pour parler juste de cette comédie, les beautés en sont grandes et sans nombre, et les défauts rares et petits.