voir dit leur breviaire en grec, pour ne point infecter leur beau latin, Balaam. Quelques Critiques affurent que tout ce qui regarde la prophetie de Balaam s'est paffé en fonge,
M. Bafnage. Comment il explique la prophetic de Jacob touchant le Meffie,
Backer. Il s'éleve contre la réalité de la magie & des fuggeftions du Diable, 36.370 Bembe. Ce qu'on fait dire à ce Cardinal fur les Epîtres de S. Paul,
163 Béze. Il avoue qu'il a vû des manuscrits qui auto- rifent fort nôtre Vulgate par leur conformité avec elle, 211. Sa Verfion de l'Ecriture con- damnée par Jacques I. Roy d'Angleterre, 388 Bible traitée avec auffi peu de refpect par les Critiques, que les livres les plus profanes, 159. 160. Voyez Ecriture.
Blondel. Il tire de quelques fraudes particulie- res, une conclufion generale contre la bonne foy des anciens Peres,
M. Boffuet, Evêque de Meaux, cité, 25. 50. 73. 76. 80. 137. 156. 177. 186. 211. 308. 311. 320. 330. 342. 365.
Du Bourdieu. Ce Miniftre s'infcrit en faux con-
tre le martyre de la légion Thébéenne, is Burnet. Ce Philofophe Anglois ne fuit point ce que Moyfe a écrit de la création du mon- de, 369. Il fe figure un nouveau regne de mille ans qui fuivra l'embrasement du mon-
384 Buxtorf. Les deux Buxtorfs relevent infini- ment le texte Hebreu aux dépens de la Ver- fion des 70. & de la Vulgate,
Aietan. Ce qu'il dit contre les Verfions la- tines de la Bible, 224. Sur la tentation d'Eve par le ferpent,
376 M. l'Arch. de Cambray. Ses Instructions Pasto- rales citées, Cappel. Sans l'Eglife on concluroit de fa Critique facrée, que le texte de la Bible eft trcs-fautif, Caftalion. Il parle indignement du Canti- que des Cantiques, 289. Dans la traduction qu'il en a faite, il a imité les tours de Ca- tulle, 385. Béze invective contre lui, 368 Celfe. Les faufletez qu'il oppofe aux miracles de J. C. 99. Il reproche aux Chrétiens d'a- voir corrompu l'Evangile M. le Céne. Son explication de la prophetie de Jacob touchant le Meffic, Chrétiens. Les écrits des premiers Chrétiens font préférables à ceux des payens de ce temps-là, 101. Les Payens eux-mêmes ont eftimé les écrits des Chrétiens,
S. Chryfoftome décrié par M. Jurieu, au fujer des miracles de S. Babylas,
M. le Clerc. Le caractére de fes ouvrages, 13. Maxime impie qu'il donne à un Hiftorien qui traite de la Religion, 57. Il s'efforce de prouver que les faints Peres, & même faint Jean l'Evangélifte, ont été Platoniciens, 83. Il traite avec mépris les SS. PP. 100. 307. 313. 314. Les Conciles, 145. Il attribuë avec les Theologiens de Hollande, le Pentateu- que à un Sacrificateur Ifraëlite, 231. Il ado- pte une partie du fyftême de Marsham, 247. Il s'approptic un Mémoire qui contient des propofitions impics fur les Livres d'Efther &
de Judith, 269. Sur l'infpiration des Prophé- tes, 282. Sur les Pfeaumes, 284. Sur les Pro- verbes, 286. Sur l'Eccléfiafte, 287. Sur le Cantique des Cantiques, 288. Sur le livre de Job, 290. Sur les livres hiftoriques, 291. Il fe vante de chercher la vérité dans l'Ecriture fans préjugez, 325. 326. Comment il ex- plique le paffage miraculeux du Jourdain, 368. Le changement de la femme de Loth en ftatuë de fel, 369. La conservation des vê- temens des Ifraëlites dans le defert, 377. Le foleil arrêté en faveur de Jofué, 378. Samuel évoqué par la Pythoniffe, 378. Le poids de la chevelure de Salomon, 380. Sa Verfion du N. T. défendue par les Etats généraux, 389 Conciles. A écouter la Critique, on contestera leur autorité & leur œcuménicité, 143 Créance. Moyens inventez par la Critique pour fe débaraffer d'une créance incommode, 63. Le même travers d'efprit qui porte à refufer fa créance à ce qui eft bien attefté, déter- mine à croire ce qui devroit être rejetté avec mépris, Crédulité. Les Critiques regardent en pitié la crédulité des fidéles, Critique. On lui permet de s'exercer fur des matiéres indifférentes à la foy, 32. 43. Elle ne doit rien innover dans la Religion, so. Ce qui donne tant de vogue aux livres de Critique, 78. Il eft fouvent inutile de les vouloir fupprimer, 74. Quelles font les ré- gles générales de la Critique, 121. Que ces régles ne font pas fuffifantes pour garantir de tout abus, 126. Il eft aifé qu'elle fe trompe fur le ftyle des Auteurs, 131. Elle ne peut
s'affurer ni fur le filence, ni fur le témoigna ge des hiftoriens, 133. 134. C'eft souvent à tort qu'elle croit fuivre les lumieres du bon fens, 137. S'il eft vrai que l'étude de la Cri- tique foit tombée, 146. A quels excés on a vu monter infenfiblement la Critique, 151 Critiques. Ils refusent de croire d'autres mira- cles que ceux de J. C. & des Apôtres, 22. L'Angleterre & la Hollande en ont produit un grand nombre fans religion, 27. Ils re- jettent les faits & les écrits les plus autorisez en matière de religion; 47. Ils reçoivent au contraire les fictions du paganisme, 64. Leur grande liaison avec les hérétiques, dès le temps de François I. 87. Pour combattre leurs erreurs par rapport à la Religion, il n'eft pas befoin d'en favoir autant qu'eux, 156. Ils n'ont éclairci prefque aucune diffi- culté de l'Ecriture, que les faints Peres n'euf- fent pû réfoudre, 182. Nouveau plan de Cri- tiques facrez,
. Dacier. Le deffein qu'il paroît avoir de chriftianifer les Philofophes payens, 105. Louanges exceffives qu'il donne à Marc Antonin, 106. à Platon, 108. Si l'on peut l'excufer fur ce point,
David indignement traité par l'auteur d'un memoire impie,
Deluge. Refferré au fcul païs de la Palestine par la Peirere,
Demons. Tout ce que l'Ecriture & la tradition en rapportent, fuivant certains Critiques, ref- femble aux fables des Sylphes & des Gno-
M. Defpreaux. Remarque fur Longin,
Dickinson. Cet Anglois veut établir fa Philo. fophie Epicurienne fur le commencement de la Genéfe,
374 Diplomatique. Avec quel foin on s'eft attaché à l'art de la Diplomatique : fes partifans & ses adverfaires,
M. Doduvel. Ce qu'il dit fur le nombre des Martyrs, M. Du Pin. Ce qu'il dit de Celfe, 99. du livre de Judith, 133. Louanges que lui donnent les Approbateurs de fes livres, 136. Il accuse la plupart des faints Peres d'avoir ignoré le fens de la Bible, faute d'avoir fçû les lan- gues originales, 176. Il prefére le Canon des Hebreux à celui de l'Eglife, 264. Hl ne paroît pas avoir fincérement retracté cette erreur, 266. Ce que les Proteftans ont penfé de fa retractation, 268. Il fe trompe en ce qu'il dit de l'Epître aux Hebreux, 268. Il accufe les SS. PP. de n'avoir pas entendu les paffages obfcurs de l'Ecriture,
Criture fainte. Si l'on ne confulte que la Critique, l'Ecriture n'aura prefque plus d'autorité, 140. Il n'y a que l'Eglife qui en ait l'intelligence, 159. 308. On ne doit pas fans vocation s'ingérer à en juger, 168. Nul particulier n'a droit de faire des changemens dans le texte facré, 173. Le texte facré n'a pû être corrompu, 195. Suivant les Critiques on ne fçaura plus à quoi s'en tenir, ni à l'Hébreu, ni aux Septante, ni à la Vulgate, 217. &c. En quel fens & avec quelles préro- gatives la Vulgate eft declarée authentique par le Concile de Trente, 219, L'Eglife re- connoît d'autres livres. de l'Ecriture, que Tome 1.
« AnteriorContinuar » |