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De quelle maniere le moulin s'arrête de lui-même lorfque la piece eft fciée fur toute fa longueur,

De quelle maniere la machine fait avancer la piece que l'on veut fcier,
Détail de ce qui appartient à la fcie,

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324

ibid.

326

Proportions qu'il faut donner à la roue dentée & à la hampe du pied de biche qui la fait

tourner.

327

Détail des parties du chariot qui fait avancer la piece qu'on veut fcier,
Dimenfions des principales parties du moulin,

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329

que

Dans le cas du plus grand effet, la fcie, en defcendant, aura une action équivalente à celle des huit neuviemes de la force abfolue du courant, Calcul de la force qu'il faut pour faire avancer le chariot lorfqu'il eft chargé du plus la fcie puiffe jamais débiter, gros arbre Examen de l'action de la manivelle qui communique le mouvement à la fcie, 331 Le poids de la feie doit être moindre que la force de la puissance, qui feroit appliquée aux deux tiers du coude de la manivelle,

La réfiftance que la puiffance motrice doit furmonter fe réduit à lever le poids du chaffis de la fcie,

ibid.

ibid.

330

ibid.

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Examen du frottement du chaffis de la fcie contre les couliffes Le poids de la feie doit étre à la puiffance qui feroit appliquée aux deux tiers du coude de la manivelle, dans le rapport de 30 à 31, ibid.

Maniere de découvrir quel doit être le poids de la fcie & de fon équipage dans le cas du plus grand effet,

333

Maniere de calculer le chemin que le chariot fera dans un tems déterminé, par conféquent le progrès de la fcie,

335

Quel eft le résultat du plus grand effet de ce moulin

336

Examen de la force que la puiffance emploie à fcier le bois, indépendamment des frottemens & des autres incidens

ibid.

Sujétions principales qui doivent diriger la confiruction d'un moulin à feier &
peuvent fervir d'exemple pour l'emplacement des machines en général,
Defeription d'un autre moulin à fcier le bois, plus fimple que le précédent,
Expérience fur le travail des Scieurs de long,

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Des Moulins à fabriquer la poudre à canon, & d'une machine pour pulvérifer

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La puiffance qui fait tourner chaque hériffon n'agit pas avec une force uniforme

ibid.

Chaque pilon peut être élevé avec une force toujours uniforme, en donnant aux levées une certaine courbure,

ibid.

Maniere de liffer la poudre à giboyer,

Compofition de la poudre à canon,

351

352

La viteffe de la roue d'un moulin à poudre doit être modérée & ne faire qu'environ 10 à

11 tours par minute,

Examen de l'effet de ce moulin dans fon état actuel,
Maniere de confidérer la réfiftance des pilons,

ibid.

353

354

Il faut, pour calculer la réfiftance des pilons, chercher un bras de levier moyen, ibid. Maniere de calculer la pefanteur qu'il faut donner aux pilons dans le cas du plus grand effet,

ibid. Le résultat des calculs précédens eft que ce moulin peut avoir 36 mortiers au lieu

de 24,

Defcription d'une machine pour pulvérifer le ciment

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CHAPITRE IV.

358 359

Des Moulins à chapelet, roues à eaux, & autres machines pour les épuifemens,

360 ibid.

Defcription d'un chapelet incliné, mu par un cheval, Defcription d'un chapelet incliné, mu à force de bras, exécuté à Strasbourg pour les ouvrages de la Ville,

Autre chapelet dans le goût du précédent, exécuté aussi à Strasbourg pour les ouvrages de la fortification,

361

362 ibid.

Des deux chapelets précédens, le premier épuife le double du fecond, La perfection des chapelets inclinés fe reduit à placer les palettes à une difiance égale à leur hauteur, & à incliner le plan fous un angle de 24 dégrés 21 minutes, 363 Maniere de calculer la réfiftance qu'oppofe l'eau élevée par un chapelet incliné, 364 Eflimation de la puiffance qui fait agir le chapelet du Magiftrat de Strasbourg,

365

Calcul de la quantité d'eau que le même chapelet peut épuifer par heure
Defcription d'un chapelet vertical pour les épuifemens,

ibid.

366

Calcul de la quantité d'eau qu'un chapelet vertical peut épuifer par heure

367

A quoi fe réduit la puissance qui fait agir le chapelet précédent,
Defcription d'un autre chapelet vertical exécuté à Marseille,
Autre chapelet mis en mouvement par un courant,

368

369

ibid.

Defcription de la machine à chapelet, exécutée à Rochefort pour épuifer les eaux de

la forme,

370

Calcul de la machine,

373

Deux chevaux au lieu de quatre, devroient fuffire pour faire aller cette machine,

ibid.

La viteffe des chevaux qui font aller cette machine eft inférieure à la vîtejle naturelle,

374

Defcription d'une pompe pour les épuifemens,
Effet furprenant de cette pompe,

Parallele de l'effet de la même pompe à celui d'un chapelet vertical,
Réflexions fur les machines propres aux épuifemens,

Autre pompe à l'imitation de la précédente, mais moins imparfaite,

ibid.

375

376

877 ibid.

410

Maniere de déterminer les dimenfions de la pompe précédente, eu égard à la puissance

qui la meut,
Maximes générales qu'on doit fuivre pour la conftruction des machines

378

Defcription d'une nouvelle pompe pour les épuifemens

Plufieurs machines différentes deftinées à élever l'eau à une même hauteur, doivent
en donner une même quantité, fi elles font également parfaites & mues avec la
même puissance,

ibid.

ibid.

379

L'effet de la pompe précédente eft moindre que celui de la puissance qui la meut,

380

Examen des machines appellées Hollandoifes, ou Epuise-volantes,
Ufage des auges à foupape pour les épuifemens,

381

ibid.

La maniere la plus prompte de faire les épuifemens eft à force de bras, fans le fecours
d'aucune machine, lorfqu'il ne faut élever l'eau qu'à une hauteur médiocre, 382
élever l'eau,
Defcription d'une nouvelle machine pour

Defcription du tympan dont les Anciens fe fervoient pour les épuifemens,

Le tympan eft une machine des plus défectueuses,

ibid.

384

ibid.

Nouvelle machine à l'imitation du tympan, mais incomparablement plus parfaite,

Defcription d'une roue à godets,

Defcription d'une autre roue beaucoup plus parfaite que la précédente,
Maniere de calculer tout ce qu'il peut y avoir d'intéressant dans une roue

Difcours préliminaire fur la vis d'Archimede,

Fin de la Table du premier Volume,

385

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EXTRAIT DES REGISTRES.

de l'Académie Royale des Sciences.

CETTE année, M. Belidor, Commiffaire Provincial d'Artillerie, Professeur
Royal des Mathématiques aux Ecoles du même Corps, Membre des Acadé-
mies Royales des Sciences d'Angleterre & de Pruffe, correfpondant de celle
de Paris, dédia à cette Académie fon Architecture Hydraulique, ou l'Art de con-
duire, d'élever & de ménager les eaux, &c. l'Académie a déclaré qu'elle jugeoit
cet Ouvrage très-utile au Public.

Il y a de deux fortes d'ouvrages à qui ce titre peut appartenir en matiere
de Sciences: ceux qui donnent des vues nouvelles & folides, & ceux qui,
raffemblant ces vues répandues en un grand nombre d'Ouvrages différens
non-feulement empêchent qu'elles n'échappent aux Sçavans même, comme
elles pourroient faire quelquefois, mais encore les fortifient par l'ordre & par
l'union. Si de plus de nouvelles vues s'y joignent, il n'y a rien à defirer pour
l'utilité, & elle y eft même plus grande que celle des Ouvrages purement
originaux.

Telle est l'Architecture Hydraulique de M. Belidor. C'eft un grand corps de
Sciences, où tout eft établi par fes premiers principes, & fuivi dans toutes fes

conféquences & fes applications. La théorie eft toujours fubordonnée à la pratique, & l'Algebre ne paroît que pour le befoin & non pas pour la pompe. On verra, par le calcul exact d'un grand nombre de machines & de toutes leurs parties, & on le verra avec étonnement, combien il faut de différentes attentions pour en prévoir l'effet, combien il eft facile de s'y méprendre, & combien il doit être au-deffous de ce qu'on s'en promet fi fouvent. On opérera avec beaucoup plus de fúreté, mais il en coûtera plus d'étude que l'on n'auroit peut-être voulu. Mémoires de l'Académie Royale des Sciences, année 1737, Hiftoire, page 105.

APPROBATION DE L'ACADEMIE ROYALE DES SCIENCES.

MESSIEURS

ESSIEURS Nicole & Pitot, qui avoient été nommés pour examiner un Livre de M. Belidor, intitulé: Architecture Hydraulique, qui contient la Defcription & la Théorie de quantité de machines qui ont été exécutées avec fuccès, en ayant fait leur rapport, la Compagnie a jugé que cet Ouvrage feroit très-utile au Public; en foi de quoy j'ai ligné le préfent certificat. A Paris ce 31 Avril 1737. FONTENELLE, Secrétaire perpétuel de l'Académie Royale des Sciences.

APPROBATION DU CENSEUR ROYA L.

J'AI lu, par ordre de Monfeigneur le Chancelier, un Manuferit intitulé a

ΑΙ

Architecture Hydraulique, & j'ai cru que l'impreffion de cet Ouvrage feroit très-utile au Public. Fait à Paris ce 18 Juillet 1737. PITOT.

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:

LOUIS, , par la grace de Dieu, Roi de France & de Navarre à nos amés & féaux Confeillers, les Gens tenant nos Cours de Parlement, Maitres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand-Confeil, Prévôt de Paris, Baillifs, Sénéchaux, leurs Lieutenans Civils, & autres nos Jufticiers qu'il appartiendra: SALUT. Notre très Cher & bien amé le Sieur BERNARD BELIDOR, notre Confeiller - Commiffaire Provincial de notre Artillerie, & Profeffeur Royal des Mathématiques aux Ecoles du même Corps, Membre de Académies Royales des Sciences d'Angleterre & de Pruffe, correspondant de celle de Paris, Nous ayant fait remontrer qu'il auroit compofé un Ouvrage qui a pour titre : Architecture Hydraulique, qu'il fouhaiteroit faire imprimer, graver & donner au Public, s'il nous plaifoit lui accorder nos Lettres de privilege fur ce néceffaires, offrant pour cet effet de le faire imprimer & graver en bon papier & beaux caracteres, fuivant la feuille imprimée & attachée pour modele fous le contre-fcel des Préfentes. A CES CAUSES, voulant traiter favorablement l'Expofant, & reconnoître en fa perfonne les Services qu'il nous arendus, & ceux qu'il nous rend encore actuellement, tant de fes fonctions de notre Commiffaire Provincial de notre Artillerie. que de celles de notre Profeffeur de Mathématiques aux Ecoles du même corps & autres, & lui donner les moyens de nous les continuer, Nous lui avons permis & permettons par ces Préfentes de faire imprimer & graver ledit Ouvrage ci-dessus spécifié, en un ou plufieurs Volumes, conjointement ou

féparément, & autant de fois que bon lui femblera, & de le faire vendre & débiter par tout notre Royaume, pendant le tems de quinze années confécutive, à compter du jour de la date defdites Préfentes: Faifons défenfes à toutes perfonnes de quelque qualité & condition qu'elles foient, d'en introduire d'impreffion étrangere dans aucun lieu de notre obéiffance: comme auffi à tous Libraires, Imprimeurs, & autres d'imprimer ou faire imprimer, vendre, faire vendre, débiter ni contrefaire ledit Ouvrage, ci deffus expolé, en tout ni en partie, ni d'en faire aucun extrait, fous quelque prétexte que ce foit d'augmentation, correction, changement de titre ou autrement, fans la permiffion expreffe ou par écrit dudit Sieur Expofant, ou de ceux qui auront droit de lui, à peine de confifcation des exemplaires imprimés, contrefaits, de trois mille livres d'amende contre chacun des contrevenans, dont un tiers à Nous, un tiers à l'HôtelDicu de Paris, l'autre tiers audit Sieur Expofant, & de tous dépens, dommages & intérêts A la charge que ces Préfentes feront enregistrées tout au long fur le Regiftre de la Communauté des Libraires & Imprimeurs de Paris, dans trois mois de la date d'icelle; que la gravure & l'impreffion dudit Ouvrage fera faite dans notre Royaume & non ailleurs, & que l'Impétrant fe conformera en tout aux Réglemens de la Librairie, & notamment à celui du 10 Avril 1725 ; & qu'avant de l'expofer en vente, le manuscrit ou imprimé qui aura fervi de copie à l'impreffion dudit Ouvrage, fera remis dans le même état où l'Approbation y aura été donnée, és mains de notre très-cher & féal Chevalier Garde des Sceaux de France, le Sieur CHAUVELIN ; qu'il en fera enfuite remis deux exemplaires dans notre Bibliotheque publique, un dans celle de notre Château du Louvre, un dans celle de notre très-cher & féal Chevalier Garde des Sceaux de France, le Sieur Chauvelin; le tout à peine de nullité des Préfentes du contenu delquelles vous mandons & enjoignons de faire jouir ledit Sieur Expofant ou fes ayans-caufes pleine. ment & paisiblement, fans fouffrir qu'il leur foit fait aucun trouble ou empêchement. Voulons que la copie des préfentes, qui fera imprimée tout au long au commencement on à la fin dudit Ouvrage, foit tenue pour duement fignifiée, & qu'aux copies collationnées par l'un de nos amés & féaux Confeillers & Secrétaires, foi foit ajoutée comme à l'original. Commandons au premier notre Huiffier ou Sergent de faire pour l'exécution d'icelles, tous actes requis & néceffaires, fans demander autre permiffion & nonobftant clameur de Haro, Charte Normande, & Lettres à ce contraires. Car tel eft notre plaifir. DONNÉ à Paris le dix-feptieme jour de Septembre, l'an de grace mil fept cent trente fix, & de notre regne le vingt-deuxieme. Par le Roi en fon Confeil.

SAINSON.

Régiftré fur le Registre IX. de la Communauté des Libraires & Imprimeurs de Paris, No. 378, fol. 333, conformément au Réglement de 1723, qui fait défenfes, article IV. à toutes perJonnes, de quelques qualités qu'elles foient, autres que les Libraires & Imprimeurs, de vendre debiter & faire afficher aucuns Livres pour les vendre en leurs noms, foit qu'ils s'en difent les Auteurs ou autrement, & à la charge de fournir les huit Exemplaires preferits par l'article CVIII, du même Reglement. A Paris le 18 Novembre 1736. G. MARTIN, Syndic.

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