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de s'enfuir, 380. Il est poursuivi par Decimus Brutus, 382. Il gagne les officiers et les soldats de Lepidus, qui le reconnoissent pour leur général, 389. Il poursuit Decimus Brutus, et lui fait couper la tête, 393. Il se réconcilie avec César, et partage avec lui et avec Lepidus tout l'empire, 393 et suiv. Cruelles proscriptions, 396 et suiv. Après avoir travaillé utilement pour la gloire de César, il se brouille irréconciliablement avec lui, et vaincu dans la bataille d'Actium, il est enfin réduit à se donner la mort, 401

APPIUS CLAUDIUS s'oppose avec vigueur à l'avis proposé d'abolir les dettes publiques, I, 62. Il est fait consul, 67. Il ne ménage point le peuple, 68. Sa harangue au sénat pour l'empêcher de traiter avec les mécontents, 75. Il prend la défense de Coriolan, 134. Son avis au sujet du partage des terres, 192. APPIUS CLAUDIUs, deuxième du nom, est élevé au consulat sans sa participation, I, 215, Son caractère, ibid. Il s'oppose vigoureusement à la publication de la loi pour les assemblées par tribus, 217. La loi passe malgré son opposition, 224. Sa sévérité envers les soldats qui avoient refusé 'de combattre sous ses ordres, 227. Il s'oppose au partage 'des terres, 229. Il est cité par les tribuns devant l'assemblée du peuple : il s'y présente avec dignité, puis il finit volontairement sa vie, 231 et suiv.

APPIUS CLAUDIUS, troisième de ce nom de père en fils, ayant été désigné consul, abdique le consulat et est fait chef des décemvirs, I, 310. Il se nomme lui-même pour premier décemvir à la seconde élection, et le peuple lui donne son suffrage, 317. Il songe à rendre le décemvirat perpétuel, 318. La dureté de sa domination; son orgueil, 319. Ses injustices, 337. Sa passion pour Virginie lui inspire une fourberie détestable, 344. On l'oblige', aussi-bien que les autres décemvirs, à se démettre du décemvirat, 360. Il est poursuivi par Virginius, 365. Sa mort; 367.

AUGURES. Leur établissement, I, 21. Respect qu'on avoit pour les augures, 494.

B.

BRENNUS, chef des Gaulois, assiège Clusium, ville de la Toscane, I, 457. Sa réponse fière aux ambassadeurs de Rome, ibid. Il déclare la guerre aux Romains, et gagne contre eux la bataille d'Allia, 460. Il se rend maître de Rome et y met tout à feu et à sang, 462. Il assiège le Capitole, ibid. Il use de supercherie dans l'accommodement qu'il fait avec les Romains, 468. Il est obligé de se retirer avec son armée, laquelle est entièrement taillée en pièces par Camille, 469.

BRUTUS (Lucius Junius). Pourquoi surnommé Brutus, I, 49 Il jure d'exterminer les Tarquins et d'abolir la royauté, 50. Il est élu premier consul, 51. Il fait mourir ses propres enfants, qui avoient entrepris de rétablir Tarquin, 52. Il est tué dans une bataille contre les Tarquins, 53. BRUTUS. Un autre Lucius Junius prend le surnom de Brutus, et se fait chef du peuple révolté sur le mont Sacré, I, 91. Sa réponse aux députés du sénat, 93. Il demande la création des tribuns du peuple, et il l'obtient, 100. Il est créé tribun, 102. Il continue d'entretenir la mésintelligence entre le sénat et le peuple, 109. Il anime le peuple à la perte de Coriolan, 120. Il fait condamner ce patricien à un exil perpétuel, 151.

C.

CAMILLE (M. Furius), dictateur, prend Véies, que les Romains assiégeoient depuis dix ans, I, 450. La singularité de son triomphe déplait au peuple, 451. Il fait tomber la proposition d'un tribun qui vouloit qu'on envoyât la moitié du peuple et du sénat habiter la ville de Véies, ibid. Il est attaqué par les tribuns et contraint de se réfugier à Ardée,

455. Ses imprécations contre le Capitole, ibid. Il marche au secours des Romains assiégés, 463. Il taille en pièces une partie des Gaulois, ibid. Il est fait dictateur, 465. Il rompt l'accommodement que les Romains avoient fait avec Brennus, contraint ce général de se retirer, et remporte sur lui une victoire complète, 469. Il engage les Romains à rebâtir Rome, 470. Il est nommé dictateur pour la troisième fois, 473. Nouvelles victoires, 474. On lui défère le glorieux titre de restaurateur de la patrie et de second fondateur de Rome, ibid. Il accepte la dictature pour la quatrième fois, et il s'en démet à cause de quelque défaut prétendu dans la manière de prendre les auspices à sa création, 493 et suiv. Il est nommé dictateur pour la cinquième fois, et il défait une nouvelle armée de Gaulois, 498. Pendant sa dictature il rétablit le calme dans la république entre les différents ordres de l'état, 499.

CAPITOLE, bâti par Tarquin le Superbe, I, 48. Surpris par Herdonius, et repris par les Romains, 261 et suiv. Assiégé

et surpris par les Gaulois, qui sont contraints de l'abandonner, 466.

CARTHAGINOIS. Ils secourent les Tarentins contre les Romains,

II, 13. Parall `le de ces peuples avec les Romains, 16. Première guerre contre les Romains, 17. Ils sont contraints de subir des conditions de paix très onéreuses, 24. Ils réparent leurs pertes, et recommencent la guerre avec beaucoup de succès, ibid. Ils sont entièrement défaits par Scipion, 31. CASSIUS VISCELLINUS (Sp.). Son caractère, I, 182. Il aspire à la royauté: moyens qu'il emploie pour y parvenir, ibid. Il propose le partage des terres conquises, 184. Il est condamné à mort, CATILINA (Lucius Sergius) fait mourir son frère, s'emparer de son bien, et dans la suite il engage Sylla à mettre ce frère au nombre des proscrits, afin de couvrir par-là l'énormité de son crime, HI, 213. Caractère de ce Romain, 249. Sa conspiration, 252. Noms et caractères des conjurés,

194.

pour

253. Sa conspiration est découverte, et on lui refuse le consulat, 259. Il ranime le courage des conjurés, 277. II assemble des troupes, et se met à leur tête, ibid. Ses partisans tâchent de gagner les envoyés des Allobroges, 285. Voyant qu'on avoit fait mourir les chefs de sa conspiration, il tente le hasard d'une bataille, il la perd, et y est tué, 293.

CENSURE. Établissement de cette charge, et ses fonctions, I,

394. On en restreint le temps de l'exercice à un an et demi,

402. CENTURIES, établies sous le règne de Servius Tullius, I, 42. CÉSAR (Caius Julius). Son caractère, II, 298. Il est élevé à la dignité de grand-pontife, 301. Il emploie les richesses qu'il avoit acquises dans son gouvernement d'Espagne à se faire des créatures dans Rome, 302. Il s'unit avec Pompée et Crassus, et est élevé au consulat, 303. Il fait recevoir la loi pour le partage des terres, 305. On lui décerne le gouvernement des Gaules et de l'Illyrie, 317. Ses conquêtes dans les Gaules, ibid. Il gagne l'affection de ses soldats, et se fait, jusque dans Rome, des créatures à force d'argent, 319. Il refuse de quitter le commandement des armées, et repasse en Italie à la tête de ses troupes, 323. Il gagne la bataille de Pharsale, et se rend maître de l'empire, 335. Sa clémence et une trop grande sécurité lui font perdre l'empire et la vie, 337. Son testament, 347. CÉSAR (Octavius), adopté par Jules-César, revient en Italie dans le dessein de venger la mort de son père, II, 355. II entre dans Rome, et y fait confirmer son adoption, 357. Son entrevue avec Antoine, 360. Il gagne le peuple par ses libéralités, 364 à 366. Diverses brouilleries et réconciliations avec Antoine, 367. Il rompt enfin ouvertement avec lui : il lève des troupes, et fait autoriser sa prise d'armes par le sénat, 377. Il force Antoine de lever le siège de Modène, 382. Il le ménage dans la suite, 384. Ayant été créé consul, par la crainte qu'on avoit à Rome de ses armes, et par

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les brigues de Cicéron, il poursuit la vengeance de la mort de son père, et fait condamner par défaut tous les conjurés à perdre la vie, 391. Il se réconcilie avec Antoine, 392. Entrevue de ces deux généraux, et le partage qu'ils font de l'empire avec Lepidus, 395. Cruelles proscriptions, 396. Il se sert des forces de Lepidus et d'Antoine pour faire périr les conjurés et leurs partisans, 397. Il se défait ensuite de Lepidus, gagne sur Antoine la fameuse bataille d'Actium, et reste enfin seul maître de tout l'empire romain, 400

et suiv.

CHEVALIERS. Établissement de cet ordre, I, 25. Leur nombre déterminé à trois cents, ibid. Leurs fonctions, ibid. Leur nombre augmenté de quatre cents par le dictateur Manius Valerius, 77.

CICERON se déclare pour la loi Manilia, II, 246. Il découvre la conspiration de Catilina, et se fait nommer consul, à l'exclusion de ce Romain, 259. Il découvre les desseins ambitieux de Rullus, et, par son habileté et son éloquence, il fait rejeter la loi de ce tribun, au sujet des terres de conquêtes, 266 et suiv. Il s'instruit plus à fond de la conspiration de Catilina, 279. Il accuse Catilina en plein sénat, 281. Il fait condamner à la mort les chefs de la conspiration, et dissipe entièrement cette faction, 290. Son exil, 313. Son rappel, 316. Il assiste le jeune César de son crédit dans le sénat, 378. Il lui fait obtenir le consulat, 391. Il est sacrifié par César même à la haine d'Antoine, 396. CINNA (Cornelius) veut abolir les lois de Sylla, II, 161. II est contraint de céder au parti contraire, et de sortir de Rome, 165. Il est déclaré déchu du titre de citoyen, et de la dignité de consul, ibid. Il se met à la tête d'un puissant parti, ibid. Il reçoit Marius dans son armée et assiège Rome, 172. Il oblige le sénat à traiter avec lui et à le reconnoître pour consul, 176. Il rentre dans Rome, où son armée fait d'horribles massacres, 178. Il est tué dans une sédition, 195.

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