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CLODIUS, accusé d'entretenir un commerce criminel avec la femme de César, est renvoyé absous, II, 30g. Il devient tribun du peuple, et se venge de Cicéron qu'il fait exiler,

313. COLLATIN, mari de Lucrèce, jure de venger l'honneur et la mort de cette généreuse épouse, I, 50. Il est fait consul avec Brutus, 51. Il est déposé du consulat et banni de Rome, 52,

CONSULS. Établissement de cette dignité, I, 51. CORIOLAN (Caius Marcius). Pourquoi surnommé Coriolan, L, 116, Son caractère, ibid. Il se déclare hautement contre les entreprises des tribuns, ibid. Il est cité devant l'assemblée du peuple, et il refuse avec hauteur d'y comparoître, 119. Les tribuns animent le peuple contre lui, ibid. Minucius, premier consul, entreprend sa défense devant le peuple, 121. Sicinius, tribun, sans recueillir les suffrages de l'assemblée, le condamne à mort, 125. On n'ose se saisir de sa personne; on se contente de l'ajourner à comparoître devant le peuple dans vingt-sept jours, 126. Le sénat se déclare en sa faveur, 127. Le sénat l'abandonne ensuite, et donne un arrêt qui renvoie la décision du différent à l'assemblée du peuple, 141. Minucius entreprend une seconde fois sa défense, 145. Il se présente lui-même avec courage dans l'assemblée, à laquelle, pour toute défense, il représente ses services, 147. On lui fait un crime d'avoir distri bué à ceux qui l'avoient suivi à la guerre tout le butin fait sur les terres des Antiates, 149. Relation de cette expédition, ibid. Il est condamné à un exil perpétuel, 151. Il sort de Rome, 152. Il va trouver Tullus, général des Volsques, 157. Il l'engage à déclarer la guerre aux Romains, 158. A la tête d'une nombreuse armée de Volsques, il ravage les terres des Romains, 163. Il investit Rome, 166. Il accorde une trêve de trente jours, après laquelle il revient aux portes de Rome, 167. Il refuse les prières des prêtres et des sacrificateurs qu'on lui avoit députés, 169. Il se laisse flé

chir aux larmes de sa mère et de sa femme, et se retire avec

son armée, 178. Sa mort, 180. CRASSUS (Marcus Licinius) lève un grand nombre de troupes

pour Sylla, et partage avec lui les périls et la gloire de la guerre, HI, 197. Il s'enrichit des confiscations dont Sylla dispose en sa faveur, 217. Il défait Spartacus, 236. Il obtient le consulat et le triomphe, 238. Ses libéralités et ses richesses, 239. Il s'unit étroitement avec Jules-César, 303. Il est tué dans la guerre contre les Parthes, 321. CURIES. Établissement des curies, ou compagnies de cent hommes, II, 23

D.

DÉCEMV RS. Leur établissement, I, 309. Leur autorité, 314. Ils veulent rendre leur domination perpétuelle, 318. Leur orgueil et leurs injustices, 319. Ils se rendent odieux au sénat et au peuple, 323. Malgré l'opposition des principaux sénateurs ils viennent à bout de se faire donner le commandement des armées, 336. Les Romains refusent de vaincre sous leur conduite, de peur d'augmenter leur puissance, 338. L'armée se révolte entièrement et revient à Rome, 357. On abolit le décemvirat, et on punit les décemvirs, 362.

DICTATEUR. Établissement de cette dignité, 1, 65. Son autorité, 66.

DRUSUS, tribun du peuple, est assassiné dans son tribunal,

pour avoir voulu faire donner le droit de bourgeoisie aux peuples du Latium et renouveler les lois des Gracques, II, 14,6. DUUMVIRS, établis pour rendre la justice à tous les parti

culiers, 1, 23. Ils condamnent Horace à la mort pour avoir tué sa sœur; mais il appelle de leur jugement à l'assemblée du peuple, qui le renvoie absous, 37.

E.

EDILES. Leur origine et leurs fonctions, 1, 107.

ÉDILITÉ majeure ou curule. Son établissement et ses fonc-
tions, I, 500.

F.

FABIUS AMBUSTUS. (Q.) Son ambassade vers Brennus, chef des
Gaulois, I, 457. Il défend Clusium, ce qui engage Brennus
à déclarer la guerre aux Romains, 458. Sa punition pour
avoir attiré le ressentiment et les armes des Gaulois, 472.
FIMBRIA, lieutenant de Valerius Flaccus, tue ce général, et se
fait prêter serment par toute l'armée, II, 187. Ses avan-
tages sur Mithridate, 188. Se voyant abandonné de ses
soldats, il se passe son épée au travers du corps, 195.
FURIUS, s'étant opposé pendant son tribunat au rappel de
Metellus, est mis en pièces par le peuple, II, 138.

G.

GAULOIS. Première irruption de ces peuples dans l'Italie, 1,
456. Ils pénètrent dans la Toscane, 457. Ils font la guerre
aux Romains, et remportent sur eux plusieurs avantages,
459. Horribles massacres qu'ils font dans Rome, 462. Ils
surprennent le Capitole; mais ils en sont chassés, 466. Ils
sont battus et entièrement défaits par Camille, 469. Nou-
velle irruption: ils sont encore défaits par le même Ca-
mille, II, 5. Nouvelle défaite, 6.

de

GENUTIUS (Cn.), tribun du peuple, cite les consuls devant
l'assemblée du peuple : la veille qu'on doit juger l'affaire,
on trouve ce tribun mort dans son lit, I, 208 et suiv.
GLAUCIA se ligue avec Marius et Saturninus pour perdre Me-
tellus, II, 131. Il est assommé par le peuple à coups
bâtons et de pierres, 137.
GRACCHUS (Tiberius). Ses alliances et son caractère, II, 33.
Il entreprend de faire revivre la loi Licinià, 35. Ooposition
qu'il y trouve, 38. Il fait déposer dans l'assemblée du

peuple un tribun qui s'étoit opposé à ses desseins, 45. Il vient à bout de faire rétablir la loi, et il est mis à la tête des trois commissaires nommés pour en presser l'exécution, ibid. Il devient odieux aux grands, ibid. Sa mort, 5.2. GRACCHUS (Caius), frère de Tiberius. Dessein de sa retraite, II, 57. II obtient la charge, de questeur de l'armée : il se fait estimer dans cet emploi, 58. Il obtient du peuple la charge de tribun, malgré l'opposition des grands, 61. Parallèle de ce tribun avec Tiberius son père, 62. Il propose différentes lois et fait divers changements qui le rendent absolu dans Rome et dans toute l'Italie, 64. Il est continué dans le tribunat sans l'avoir brigué, 68. Le sénat trouve le secret de faire diminuer son crédit, ibid. Il est soupçonné d'avoir contribué à la mort de Scipion Émilien son beaufrère, 76. Ses collègues, jaloux de son autorité, lui font manquer un troisième tribunat, 79. Il est contraint d'armer pour sa défense, 82. Sa tête est mise à prix, 84. Sa mort, 86. Les lois des Gracques sont abolies, 87.

H.

HERDONIUS (Appius) s'empare du Capitole, I, 261. Les Romains l'attaquent et l'obligent à se tuer, 265.

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ICILIUS (Sp.), tribun du peuple dispute le droit de la parole aux consuls, et se le fait adjuger par un plébiscite, I, 10g et suiv.

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JUGURTHA. Qui il étoit, II, 89. Ses premières campagnes, 90. Son ambition, 91. Il fait poignarder Hiempsal dans son lit, 93. Il gagne une bataille contre Adherbal, et le chasse de ses états, ibid. Il gagne à force d'argent les principaux de Rome, 94. Il poursuit Adherbal, l'attaque dans Cirthe,

prend la place, et fait mourir ce prince dans les plus cruels tourments, 96 et suiv. Il trouve dans son argent de nouvelles ressources, pour appuyer auprès des grands de Rome ses usurpations, 101. Il est cité à Rome; il y vient; et, convaincu d'avoir encore fait assassiner un autre petit-fils de Masinissa, on lui ordonne de sortir incessamment de la ville, 105. Il amuse les généraux romains; il les attire insensiblement au combat : il les défait, et fait passer sous le joug ceux qui étoient restés de la bataille, 107 et suiv. Il perd deux batailles contre Metellus, et se voit dépouillé de ses principales forces, 111. Il se fait un protecteur et un allié d'un roi voisin, appelé Bocchus, 122. Il perd deux batailles décisives contre Marius, ibid. Il est livré par Bocchus aux Romains, 124. Il est traîné à la suite du char de triomphe de Marius, puis jeté en prison, où il meurt de faim, ibid.

L.

LARGIUS (T.) est nommé premier dictateur, I, 66. Il fait valoir son autorité, 67. Il est député par le sénat pour traiter avec les mécontents retirés sur le mont Sacré, 91. Il leur parle avec fermeté, 97.

LEPIDUS (M. Emilius.) entreprend de se rendre maître du gouvernement, II, 223. Il est créé premier consul, et se déclare pour le parti du peuple, ibid. Il lève dans la Gaule cisalpine une puissante armée, avec laquelle il vient camper aux portes de Rome, où il est défait par Catulus, 225. Il se retire dans l'île de Sardaigne, et y meurt, 226. LICINIUS STOLON (C.), plébéien de naissance, porte ses vues jusqu'au consulat, 1, 486. Il commence par se faire nommer tribun du peuple, 487. II propose diverses lois, à la faveur desquelles il prétend en faire passer une qui admette les plébéiens au consulat, ibid. Il se fait continuer dans le tribunat, 497. Il vient enfin à bout de faire associer des plébéiens au consulat; lui-même est fait consul, Il est

499.

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