FLACCI PROLOGUS. Nec fonte labra prolui Caballino Nec in Bicipiti fomniaffe Parnaffo Heliconidafque, pallidamque Pirenem Illis remitto, quorum imagines lambunt Hedera fequaces, ipfe femipaganus Ad facra vatum carmen offero nostrum Quis expedivit Pfittaco fuum Kaire, Picafque docuit verba noftra conari? Magister artis, ingenique largitor •K K K K K K K K K K K K 茶茶茶茶茶茶茶 PERSE TRADUIT EN VERS FRANCOIS. PROLOGUE. JEI E n'ai point bû dans l'Hipocréne, Je n'ai point fomeillé dans le facré vallon Pour fentir tout à coup alumer dans ma veine Le beau feu qui nous rend favoris d'Apollon, A l'aspect des neuf foeurs je tremble, je frissone, Vous, grans Auteurs, qui me paffez, Vous qu'un lierre tient embraffez, Avec leurs pâles eaux je vous les abandone. Tu blâmeras mon audace indiscréte, A tes fublimes vers oze mêler les fiens, Comme le perroquet à former notre voix, Et quand le ventre eft aux abois, Et qui par art nous done quelquefois Će Faites briller aux yeux l'espoir d'un peu de gain, La pie, & tout oizeau que preffera la faim Duffent-ils chanter des fornétes, On leur verra tenter le chant du Roffignol, |