( aa ainsi il faut démontrer que FC + FC= Aa; & que Fx if · *). BD =FC=1a - X. De même 0A. AG ::ļa. f:: 06 iaa + x).bd=F= Fc=ļa + feat. Donc FC + Fc, ou FC On fera les mêmes proportions pour l'hyperbole 0 A. AG jaa įa. OA f F):88=$C = + ja. REMARQUE. e de l'hyperbole. 420. On déduit de cette proprieté la maniere ordinaire de dé- Fro.XXIII . crire l’ellipse & l'hyperbole, l'axe Aa ou A a étant donné, & les points F, f, ou F,q des foyers étant ausli donnés : en prenant dans l’ellipse avec le compas un segment quelconque AB de l'axe Aa, & du foyer F pour centre avec ce rayon AB tirant un arc de cercle, & décrivant ensuite de l'autre foyer fpour centre un autre arc avec l'autre segment Ba pour rayon, l'intersection des deux arcs C sera un point de l'ellipse; de même dans l'hyperbole décrivant un arc du centre F avec le segment quelconque AB de l'axe a A prolongé, & ensuite de l'autre foyer @ pour centre décrivant avec l'autre segment a B de l'axe a À prolongé un second arc, le point d'intersection de ces deux arcs sera un point de l'hyperbole. COROLL AIR E I I. 421. Si l'on mene des foyers F, f par un point quelconque C de Fic. XXV, l’ellipse, les lignes FC, FC, & ayant prolongé fc en M en fai- & XXV. ССcc ii DEMONSTRATION. LN parallele à Ff, & par le centre K tirer KN qui sera aussi parallele à FLM; car LN partageant MF en deux parties égales en L, partage aufli Mf en deux parties égales en N; ainsi KN, partageant Ff en deux parties égales en K, &fM en deux parties égales en N, est parallele à FM. Mais puisque Mf=FC + Cf=Aa(a), MN 419. = NF=ļa, CN*=, L N est la moitié de Ff; ainsi LN= f. Soit SB =s, les deux triangles semblables CLN aa Xx * 385. l'on aura SB(s)= qui est * la soutangente de l’ellipse. D'où il est évident que les angles FCS, fCs sont égaux. COROLLA IRE II I.. 422. Si l'on mene des foyers F, o de l'hyperbole à un point Fig.XXVI. quelconque C, les lignes FC, PC, & ayant pris CM CF, &ʻmené FM, on tire CLS par le milieu L de FM base du triangle isocele FCM, CLS est la tangente au point C. 4 aa DEMONSTRATION. Arant mené par 1 milieu de MF, LN parallele à Fko, & tiré k N qui sera parallele à MF, il est évident, comme dans le second Corollaire, que MQ=aA=a, NL=kF 419. if, CM=CF=-{a*, ainsi CN=, QC = fx + a. Soit SB=s, les triangles seniblables CNL, COS donneront cette proportion CN). COC+ a)::NL(IS) I aa :05=ift x-s; ôtant ok of) de os, l'on aura iaa 398. ks =Ā =kB-SB=x-s, qui est* la valeur de ks, c'est à dire la distance du centre k au point s de la soutan gente. 423; Il est évident que les angles QCS, FCS sont égaux. 293 & Methode generale de décrire les courbes algebriques en trouvant des autres, l'équation de la courbe étant donnée. soient perpendiculaires, si l'on veut que ce soient les axes, & REM A R R U E. sieurs branches du côté où l'on a supposé les y positives : - 1a, ni sur ses premiers diametres , & les hyperboles opposées commençant chacune aux extremités de l'axe ou de chacun des premiers diametres. Quand en prenant 3a , &c. pour les valeurs déterminées des x, on trouve des valeurs dey, il faut mettre ces ordonnées y du côté des x négatives. L'énoncé de cette methode paroît assez clair pour la faire clairement concevoir. PROBLÊ ME VII. 426. QUAND UAND on a l'équation d'une courbe , par exemple de quelqu'une des trois sections coniques par raport à l'un de ses diametres » trouver l'équation qui exprime le raport des points de la même courbe à une autre ligne droite donnée de position sur le même plan. LES Es équations des sections coniques par raport à leurs diametres étant disposées de façon que zero en soit le second membre, sont : yy — px=0, équation à la parabole. yy + xx — d=0, équation à l’ellipse par raport à son premier diametre, ou bien yy + * xx — xx — dp à son second diametre, ou bien xx + Vy — 487=0; & quand le diametre est égal au parametre , elle devient xx + yy o, qui est l’équation au cercle, quand les y sont erpendiculaires aux x. Syy — *x+dd=0, équation à l'hyperbole par raport à son premier diametre, ou bien yy - xx+dp= 0; quand d elle devient yy - *x + dd **—yy — dd =o, équation à l'hyperbole par raport à son second diametre, ou bien xx yy-487= 0;quand d=n= =d, elle devient xx — YY — On remarquera dans ces équations, 1°, que p est le parametre du premier diametre, d'est le premier diametre, 7 est le parametre du second diametre, s est le second diametre: dans l’ellipse & dans l'hyperbole on prend l'origine des Fig.XVI. coupées x au centre K ; mais dans la parabole l'origine XVII. des x est au sommet A. 2". Que dans l'équation à la parabole XVIII. l'une des inconnues est élevée au quarré, & l'autre n'est que lineaire ; 0. - 1/2 dd = 0. ز LA PARA BO LE. lineaire ; dans l’ellipse, elles sont toutes deux élevées au & l'autre - 3°. Que dans l'équation id=0, qui est l'équation au cercle, quand les y sont perpendiculaires aux x ; & quand dans l'équation à l'hyperbole d=p, alors d=d, & l'équation devient yy —- ** + dd=0, qui est l'équation à l'hyperbole équilatere par raport à ses diametres : il y a + dd, quand c'est le premier diametre, & — dd, quand c'est le second. xy — ab=0, ou xy — aa=0 est l'équation à l'hyperbole par raport aux asymptores, & l'hyperbole est équilatere, quand l'angle des asymptotes est droit. POUR raport à son diametre AB, sur lequel sont les AB(x), fon Il faut mener par o la ligne OLM parallele à AB, tirer ob. AB=OM – OL=ķu — i. Cela supposé ; Il faut mettre dans l'équation yypx=o le quarré de hp + ip DD dd .U |