. : 1. Jou-dicine Medicorumque dignitatem deBERT. formantibus librum primum latinitate donabat scholiis illuftrabat Joannes Bourgesius , Honplenienfis, Medicine Astrologie Candidatus. Antuerpia. 1600. in-8°. pp. 177. L'Ouvrage au reste fut attaqué dans un petit livre, fort peu confiderable , qui a pour titre : Contredits aux Erreurs populaires de L. Joubert, , ona font déduites plusieurs belles questions fort récréatives e profitables. Par Dominiqué Reuiin, Medecin de Bourdeaux, Montauban 1580. in 16. PP. 22. Qüestion vulgaire ; quel langage parleroit un enfant , qui n'auroit jamais oui parler, trait ée par M. Laurent Joubert. Bourdeaux, Sim.Millanges. 1578. in-8°. à la suite des Erreurs popislaires , & dans les éditions suivantes. Joubert y prétend que cet enfant ne parleroit point.Ce petir traité est suivi dans l'édition de Bordeaux de l'an 1579. & peut être dans quelques autres, des Opuscules suivans de L. Joubert, Du Breuvage de M. le Maréchant IIO. La santé du Prince. On voit ici la L. Joua maniere dont le Prince, & fes Me- BERT. decins doivent fe conduire pour conserver sa santé. Du Serain. Qu'est-ce, & s'il m be sur nous ? 23. Seconde partie des Erreurs populaires , & Propos vulgaires touchant. la Medecine, & le Regime de santé,refurez ou expliquez par Laur. Joubert. Avec deux Catalogues de plusieurs autres Erreurs ou Proposå vulgaires , qui n'ont été mentionnés en la premiere o 6 seconde édition de la première partie, Item. Deux autres petits Traités, con- Barthélemi Cabrol, Chirurgien de 3. Février . . , tirés L. JOU-1379. Elle est suivie d'une Epitre reo BERT. pulsive des envieux & venimeux pro pos tenues contre l' Auteur des Erreurs populaires, par le même. Des 25. Chapitres, qui composent cette feconde partie, les 21. premiers font des morceaux détachés des differentes parties de la suite de l'Ouvrage , qui se sont trouvés dans les papiers de l'Auteur; les quatre derniers font du 1. livre de la pre. miere partie , #mais differens de ce qu'ils étoient dans l'impression; c'est Christophe de Beau-Chatel, qui les a trouvés de cette pouvelle façon dans les papiers de fon oncle. Ceci est suivi de crois petits Ouvrages de L. Joubert, que Jean Imbert, Garçon Apoticaire, avoit entre les mains. Explication de quelques phrases en mots vulgaires , touchant les Maladies principalement. Remedes métaphoriques extravagans. Propos fabuleux. Le Recueil finit par deux Paradoxes tirés de fon grand Ouvrage sur cette matiere , & traduits en Fran çois çois par Isaac Joubert , son fils. En L. Joua voici les titres. BERT. Si on peut limiter que les poisons ne peuvent être baillez à certain jour, ni faire mourir à certain temps. C'est le dernier Paradoxe de la seconde dócade, Qu'il y a raison que quelques-uns puissent vivre sans manger durant plufieurs jours années. C'est le second Paradoxe de la premiere Décade. Quelques personnes ayant trouvé à redire au sentiment de l'Auteur, dont ils prétendoient qu'on pouvoir conclure que les jeûnes de Moyse, d'Elie & de Jesus-Christ n'étoient point miraculeux, M. Joubert fit une addition à fon Paradoxe, qu'il insera parmi ses Opuscules en 1571. & qu'on trouve ici traduite pour fe défendre contre ces mauvaises consequences. Son sentiment fut attaqué en lui-même, dans un Ouvrage intitulé: Discours qui prouve contre foubert l'impossibilité que quelques - uns puissent vivre sans manger durant plufieurs jours & années ; par Harver. Niort 1597. in-12. Il ne faut point oublier ici que H > > conte L. JO U-Gespar Bachot a exécuté le delicin de BERT. Joubert à l'égard de la troisiéme par tie des Erreurs populaires , dont il a fuivi le plan , marqué à la tête de fa premiere partie, inais conformément à ses idées particulieres, dans son livre intitulé, comme celui de Foubert; Erreurs populaires touchant la Medecine e Regime de santé. Lyon. Barthelemi Vincent 1626. in-8°. 24. Traité des Arcbusades, nant la vraye effence du mal, ao ja vraye curation, par certaines de methodiques indications ; avec l'explication de divers Problèmes touchant cette matiere. Plus un discours en forme d'E. pitre , touchant la curation des Arcbusades. Epitome de la Therapeutique des Arcbusades. Traité d’s Brislures. Le Regime des Blessés, Paris. 1570. in8o. It. Lyon. Jean de Tournes. 1574. in-go. It. Ibid. 1581. in-8°. 25. Sentence de deux belles questions sur la curation des Arcbusades, et autres plages. La premiere : S'il eft poffible de guerir une Arcbusade, avec de l'eau fimple o froide ; & la seconde de la déco&tion celebrée en Languedoc pour Doktes playes á ulceres, Geneve. Jas |