» dans la Table, aucun exemple

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» de cette forte d'adoration rendue à une figure de forme hu» maine ». All the images that kneel are reprefented as paying

their worship to fome animal figure. There is not one inftance or reprefentation of this worship paid to an image of human form, either on the P. 318. border or in the Table. Mais il n'y m. p. 360. a sûrement point de myftère à cela. La Table a vraisemblablement été faite pour les perfonnes attachées à Rome au culte d'Ifis. Alors l'Ouvrier aura cru pouvoir défigner ce culte rendu aux ani, maux, qui étoit fi peu connu des Romains, , par la pofture la plus remarquable d'adoration, tandis que le culte rendu par les Egyptiens à leurs grands Dieux héroïques, & qui n'étoit pas différent de celui des Romains, étoit fuffifamment marqué par les feuls actes d'offrande & de facrifice. Suppofons néanmoins le fait

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tel que M. Shuckford le rappor- Quand cette, je demande comment il en te Table a été gravée. réfulte, que la Table a été gravée AVANT que les Egyptiens adoraffent des figures d'hommes ou de femmes. Cette conféquence eft uniquement fondée fur la fauffe fuppofition que le culte des animaux n'a pas été un fymbole du culte rendu aux Héros; & nous avons montré qu'il l'a été. M. Shuckford lui-même eft obligé d'avouer qu'Apis eft devenu enfin le fymbole du Dieu héroique Ofiris. Mais qui pourra fe perfuader qu'il n'ait pas été adoré fous une forme humaine, avant de l'être fous celle d'un bœuf? M. Shuckford auroit donc tiré une meilleure conclufion, quand le fait par lui avancé feroit exact, s'il eût dit, Que la Table a été gra

vée APRE'S

ceffe

que

les Egyptiens ont univerfellement d'adorer des figures d'hommes & de femmes ; car il eft certain que le culte fym

l'autorité de ces Fanatiques, & invétérés ennemis du Chriftianisme, Porphyre & Jamblique, je tâcherai de la réfuter, en examinant l'origine & l'ordre des trois grandes espéces d'idolâtrie. J'ai fait voir que la premiére, trois efpé- dans l'ordre du tems, avoit été ces principales d'ido- le culte rendu aux Corps céleflâtrie. tes. Cette idolâtrie fubfifta fans

Ordre des

mélange jufqu'au tems que les fo-
ciétés civiles fe formérent. Alors
fuccéda une autre espèce d'idolâ
trie, qui confifta à déifier les Rois
& les Légiflateurs, après leur
mort. Tel a été le progrès de l'i-
dolâtrie chez tous les Peuples,
auffi-bien qu'en Egypte. Mais la
maniére de conferver en Egypte
l'histoire des Dieux Héroiques,
à l'aide des Hieroglyphes, don-
na naiffance à la troifiéme espéce
d'idolâtrie, l'adoration des ani-
maux. Ce culte a été particulier
à l'Egypte & à fes Colonies.
J'ai montré dans le premier
volume,