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130009

D'ANTIQUITÉS

EGYPTIENNES,

ETRUSQUES, GRECQUES,

ROMAINES

ET GAULOISES

TOME QUATRIEME.

IN OMNE

VOLVBILIS

AVVM

horat Epift libi
épi m Vya

A PARIS,

Chez N. M. TILLIARD, Libraire, quai des Auguftins, à Saint

Benoît.

M. D C C. L X I.

AVEC APPROBATION ET PRIVILEGE DU ROI.

VILLE DE LYON
Biblioth. du Palais des Arts

J

PREFACE.

E ne me suis jamais flatté que cet Ouvrage pût parvenir à une feconde Edition; quand même il auroit eu un fuccès au-delà de mes espérances. Il est trop étendu & trop compofé pour espérer de le voir réimprimer; les fautes de l'Edition, & principalement les miennes, ne pouvant jamais être corrigées, l'Errata des trois Volumes précédens, m'a paru la meilleure Préface dont je pouvois accompagner cette Ive. fuite. Je ne cherche point à m'excufer fur l'étendue de ce Recueil, & fur les éclairciffemens que l'expérience donne plus dans cette matiere que dans toute autre. Plusieurs perfonnes, que je ne puis trop remercier, averties de mon projet, m'ont indiqué des erreurs & des fautes: j'ai profité de leurs avis: je ne me fuis point ménagé fur celles que j'ai apperçues. Enfin je protefte que les fautes qui, fans doute, fubfiftent encore, me font échappées, ou que je n'ai pas mieux jugé les Monumens.

VILLE DE LYON
Biblioth. du Palais des Arts

a iij

CORRECTIONS & ADDITIONS

pour le premier Volume.

PAGE 7. ligne 12. Planche LXXIII. lisez Planche LXXIX. Page 9. lig. 3. Momies, lif. Mumies.

Page 12. lig. 17. J'ai eu tort d'affirmer que cette Figure étoit celle d'Ofiris ; on verra dans les autres Volumes les raifons qui m'ont déterminé à fuivre l'avis de ceux qui regardent celles de cette espèce comme la représentation des Prêtres de cette Divinité, & je leur fais excufe de ma décifion. Il faut donc retrancher toute la fin de cet article depuis quoi qu'il en foit, &c, & je la défavoue.

Page 12. J'ajouterois à l'Explication de ce Scarabée, no. II. qu'on pourroit en regarder la gravure comme une Infcription en style facré, c'est-à-dire, comme un hiéroglyphe absolu. Page 13. Je n'ai pas eu plus de raifon dans cette Explication: la Figure rapportée fous les numeros I & II, n'eft point un Ofiris, mais un de fes Prêtres.

Page 19. lig. 9. Car toutes les têtes qui portent cet ornement pofent fur une pareille bâfe, lif. Car toutes les têtes que l'on voit chargées de cet ornement, portent une pareille bâfe, Page 21. n°. I, II & III. retranchez II & III.

Page 22. à la fin de l'Explication du n°. I, après croyoit augmenter leur vertu: j'ajouterois : Au refte cette Figure ne porte aucune marque de dignité fur la tête: elle a la plante Perfea au menton; elle n'eft donc qu'une Prétreffe d'Ifis chargée de quelques-uns de ses attributs.

Page 34. lig. 4. dont la tête, lif. dont la tête.

Page 35. à la fin : J'ai eu tort de dire fans reftriction, que les Egyptiens n'ont pas connu les mafques. Ceux du théâtre pouvoient leur être inconnus, ainfi que les Imitations particulieres; mais on verra dans la fuite de ces Recueils & dans la Table Ifiaque, qu'on ne peut s'empêcher de regarder comme des Figures mafquées, plufieurs repréfentations d'hommes introduites dans les cérémonies avec des têtes d'animaux: cest exemples font fréquens, & fuffifent pour me démentir. Il faut donc corriger à la ligne 26, & en ajoutant les mots écrits en caractères italiques. Ce que j'ai dit ailleurs fur les mafques que

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