O Τον αν ποτος αττιμή, Nέον αν πό τους απαρξη, Καλόν α πό τους χορευτώ Τελέων θιός κατήλθε. Απαλον βροτοίσι φίλτρων, Πότον άξονων κομίζων, Γόνον αμπίλα και δίνον, Πεπιδημιο ον οπώρας Ε'πι κλημάτων φυλάττειν. I', όταν τίμωσι βότρω, Ανοσοι μύωσι πνπς, Α' νοσοι δέμας 9πητον, Ανοσοι γλυκό το θυμον, Εσέτες φωνένθος άλλο, **** ODEL. VENDANGES PRETES à faire. CE E Ce Dieu qui dance & rir sans cesse, Kevient , & nous apporte 'un breuvage divin, Une liqueur douce & vermeille, Qui dans ses grains encore est penduë à la treille, Dans la cuve bientôt nous la verrons couler. Nous en boirons à tasse pleine, Chanrant le Dieu qui nous la donne, * REMARQUES SUR L'O DE L. Ette Ode, comme dit Mr le Feyre, paroit avoir été faite à l'honneur de Bacchus, avant les Vendanges : Une liqueur douce e vermeille , treille. Τόνον αμπέλε και δινον πεπισθωμένων οπώραις. Les Vignes des anciens Grecs étoient sans doute comme celles qu'on voit en quelques-unes de nos Provinces, & dans l'Italie , plantées en espece de berceaux & de treilles, sous lesquelles on peut fe promener. Anacréon parle des raisins qui n'étant point encore coupés, se conservent sur leurs sarmans, jusques au cems de la Vendange. C'est ce que fignifie e’ri aanud tav punktle. Ainsi, contre l'opinion de Mr le Fevre , ce passage est trèsintelligible, & n'a pas besoin d'être corrigé. La conftruction de soil wr Quadtlein ne doit point embarrasser ; on en voit souvent de pareilles dans les Poëtes Grecs, La Poësie latine les a empruntéos d'eux, Mufis amicus tristitiam á metus Portare ventis. Laricam quam Demoleo detraxerat ipfe Victor apud rapidum Simoënta fub Ilio alto Donat habere viro. Habere, est mis en cet endroit pour han bendam. Tout de même en cette Ode, purié'sleivy Cervare eft mis pour φυλαχθησόμενον, (ers , vandum , qui se rapporto à Tòy oivov. A Ρα τις τορουσε πόντον, Α'eau Τις κανείσα τέχνα |