En François.

Santeuil qui loua tant les eaux
Ne but rien moins que de l'eau claire,
Et fit des cantiques fort beaux
Pour les Saints qu'il n'imita guéres.

Carolus Rollinus de eodem.

Quem Superi praconem, habuit quem fanta Poëtam,

Relligio: latet hoc marmore Santolius. Ille etiam Heroas, fontefque, & flumina; bortos,

Dixerat: At cineres quid juvat iste labor?

Fama hominum merces fit verfibus aqua profanis,

Mercedem pofeunt carmina facra Deum.

En François.

Ci gît que la France regrette

Du Parnaffe Chrétien le célebre Poëte.
Santeüil, qui fçut d'une autre voix
Chanter les fontaines, les bois

Les Heros

Mais que ce fert travail

à fes Manes?

L'eftime des humains de fon mérite épris
Peut fuffire à fes vers profanes:

Dieu de fes vers facrez feul eft le digne prix.

FIN

TABLE

TABLE

DE CE QUI EST CONTENU
dans le Tome II.

de M. de la Monnoye.

5.4

de l'Auteur du Mercure.

Epitaphes de M. Arnauld. 57. & fuiv.

Deux Lettres d'une Religieufe de Port-

61

Royal.

Lettres de l'Evêque de Carcassonne. 64

de l'Evêque de Meaux.

67

du Prieur de la Grande Chartreufe. 69

Lettre de M. l'Abbé de la Trappe. 70

Quelques Hymnes de Santeuil traduites.

Demêlé de Santeuil avec les Jefuites. 85

Vers coupez fur les Jefuites.

Autre hiftoire de ce demélé.

Lettres du Pere Jouvency.

du P. de la Baune.

du P. Bourdalouë.

119

121

du P. Jouvency.

Atteftation de M. de la Moignon. 155

Cento ad Juvencium.

157

iambi