Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
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... étoit foutenue par le fon des Harpes , des Timbal- les & des autres inftrumens au- quel on affocioit le mouve- ment cadencé des pieds , & que dans les premiers tems , tou- te la Poëfie étoit accompagnée du Chant . Celle des Hebreux ...
... étoit foutenue par le fon des Harpes , des Timbal- les & des autres inftrumens au- quel on affocioit le mouve- ment cadencé des pieds , & que dans les premiers tems , tou- te la Poëfie étoit accompagnée du Chant . Celle des Hebreux ...
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... étoit celui de la Théologie Payenne : que fi elle divinifa le vice , la débau- che & l'infamie , c'est moins fur elle qu'en tombe le blâme que fur les paffions dont les Poëtes entrainés par le torrent de la coûtume , étoient aveu- glés ...
... étoit celui de la Théologie Payenne : que fi elle divinifa le vice , la débau- che & l'infamie , c'est moins fur elle qu'en tombe le blâme que fur les paffions dont les Poëtes entrainés par le torrent de la coûtume , étoient aveu- glés ...
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... étoit donc point pécher contre les regles de l'équité que de les célébrer : la louange eft un tribut qui n'est dû qu'à la vertu , les actions que je viens de détailler en avoient au moins tous les dé- hors ; fi elles étoient intérieu ...
... étoit donc point pécher contre les regles de l'équité que de les célébrer : la louange eft un tribut qui n'est dû qu'à la vertu , les actions que je viens de détailler en avoient au moins tous les dé- hors ; fi elles étoient intérieu ...
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... pas les difculper , on les condamne fans referve , on a leurs défauts en horreur . Mais des fautes de ces Artifans en prendre occasion de prof crire un Art aimable & e ij PRELIMINAIRE . ble, un Poëte n'en étoit pas ...
... pas les difculper , on les condamne fans referve , on a leurs défauts en horreur . Mais des fautes de ces Artifans en prendre occasion de prof crire un Art aimable & e ij PRELIMINAIRE . ble, un Poëte n'en étoit pas ...
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... étoit affectée , quand ils ont enfanté leurs plus beaux Vers . Le Génie Poëtique , s'il m'eft permis de dire ce que j'en penfe , me paroît être ce qu'Horace nomme quelque part , fplendida bilis : une efpece de feu central qui éleve l ...
... étoit affectée , quand ils ont enfanté leurs plus beaux Vers . Le Génie Poëtique , s'il m'eft permis de dire ce que j'en penfe , me paroît être ce qu'Horace nomme quelque part , fplendida bilis : une efpece de feu central qui éleve l ...
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.