La serenadeChez Pierre Ribou, Quay des Augustins, à la descente du Pont-Neuf, à l'Image Saint-Louis., 1708 |
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... Sans rifquer mon honneur je croy que j'en puis prendre . VALERE . Je n'ay pour te donner , vaiffelle ny bijoux . HECTOR . Oh parbleu , nous marchons fans crainte des filoux . Mad . LA RESSOURCE . Hé bien , nous attendrons , Monfieur ...
... Sans rifquer mon honneur je croy que j'en puis prendre . VALERE . Je n'ay pour te donner , vaiffelle ny bijoux . HECTOR . Oh parbleu , nous marchons fans crainte des filoux . Mad . LA RESSOURCE . Hé bien , nous attendrons , Monfieur ...
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... Sans des nantiflemens il ne faut rien prétendre . VALERE . Dis - moy donc , fi tu veux , où je les pourrai prendre ? HECTOR . Attendez . Mais comment , avec un cœur d'airain , Refufer un billet endoffé de ma main ? Mais voy donc ...
... Sans des nantiflemens il ne faut rien prétendre . VALERE . Dis - moy donc , fi tu veux , où je les pourrai prendre ? HECTOR . Attendez . Mais comment , avec un cœur d'airain , Refufer un billet endoffé de ma main ? Mais voy donc ...
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... Sans les cruels revers de deux coups inouis , J'aurois encor gagné plus de deux cens Louis . HECTOR . Cette fille , Monfieur , de votre amour eft folle . VALERE à part . Damon m'en doit encor deux cens fur la parole . HECTOR le tirant ...
... Sans les cruels revers de deux coups inouis , J'aurois encor gagné plus de deux cens Louis . HECTOR . Cette fille , Monfieur , de votre amour eft folle . VALERE à part . Damon m'en doit encor deux cens fur la parole . HECTOR le tirant ...
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... Sans luy donner le temps feulement de crier , I our luy votre fenêtre eût fervi d'efcalier . LA COMT ESSE . Vous êtes turbulent . Si vous étiez plus fage On pourroit ... LE MARQUIS . La fageffe eft tout mon apanage . LA COMTESSE . Quoy ...
... Sans luy donner le temps feulement de crier , I our luy votre fenêtre eût fervi d'efcalier . LA COMT ESSE . Vous êtes turbulent . Si vous étiez plus fage On pourroit ... LE MARQUIS . La fageffe eft tout mon apanage . LA COMTESSE . Quoy ...
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... Sans vouloir davantage icy l'interroger , Sa folle paffion m'en fait affez juger . Jay peine à retenir le courroux qui m'agite , Fils indigne de moy , va je te desherite , Je ne veux plus te voir aprés cette action Et te donne cent fois ...
... Sans vouloir davantage icy l'interroger , Sa folle paffion m'en fait affez juger . Jay peine à retenir le courroux qui m'agite , Fils indigne de moy , va je te desherite , Je ne veux plus te voir aprés cette action Et te donne cent fois ...
Términos y frases comunes
Adieu affez AGATHE ainfi allons Amant amour ANGELIQUE auffi aujourd'huy avez befoin BERTRAND c'eft c'eſt CARLIN cens CHAMPAGNE CHEVALIER chofe CLARICE CLITANDRE cœur Colin COMTESSE Coufin croy diable difcours DORANTE efprit eft-ce eftes eftre eſt êtes fage fans fçais fçait fçavoir fçay fens feray feroit fervir feul fille fœur foit fommes font fous fouvent fuis fujet GERONTE grace GROGNAC HECTOR homme ISABELLE j'ay JAQUINET jour joye jufte l'amour l'efprit laiffe Laiffez-moy LEANDRE LEONORE Lifette LISETTE luy donner m'en Madame maiſon Maître Maîtreffe maraut mariage MARINE MARQUIS MATHIEU CROCHET MERLIN mille écus Monfieur Grifon Muficien n'ay n'eft n'eſt NERINE paffer parbleu PASQUIN penfe Pere perfonne plaifir Portrait prefent preft Quoy raifon ravy RESSOURCE rien s'il vous plaift SCAPIN SCENE VIII Serenade SOTANCOUR Trictrac vais VALERE verray veux vin de Champagne voicy voila vray vrayment
Pasajes populares
Página 161 - N'es-tu pas fait à peindre? Est-il homme à la cour Qui de la tête aux pieds porte meilleure mine, Une jambe mieux faite, une taille plus fine? Et pour l'esprit, parbleu, tu l'as des plus exquis : Que te manque-t-il donc? Allons, saute, marquis. La nature, le ciel, l'amour et la fortune...
Página 202 - Sur vos pieds chancelants vous vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles, Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos...
Página 150 - J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, Qui, pour porter au jeu son tribut volontaire, Vous laissera manquer même du nécessaire, Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. Quel charme qu'un époux qui, flattant sa manie, Fait vingt mauvais marchés tous les jours de sa vie ; Prend pour argent comptant, d'un usurier fripon, Des singes, des pavés, un chantier, du charbon ; Qu'on voit à chaque instant prêt à faire querelle Aux bijoux...
Página 202 - ... vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles. Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos exploits, Plus haut que les acteurs vous élevez la voix ' ; Et tout Paris, témoin de vos traits de folie , Rit plus cent fois de vous que de la comédie.
Página 86 - Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé, Une lèvre qu'on mord pour rendre plus vermeille ', Un chapeau chiffonné qui tombe sur l'oreille, Une longue steinkerque...