Histoire de François Premier, roi de France, dit le grand roi et le père des lettres, Volumen4Chez Saillant, 1766 |
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... Provinces par où l'on pouvoit at- taquer l'Empereur . Si l'on y alloit foible , on y feroit accablé , fi l'on y alloit en forces , on feroit affamé ; on y trouveroit les Ef- pagnols plus redoutables fur leurs propres foyers que par ...
... Provinces par où l'on pouvoit at- taquer l'Empereur . Si l'on y alloit foible , on y feroit accablé , fi l'on y alloit en forces , on feroit affamé ; on y trouveroit les Ef- pagnols plus redoutables fur leurs propres foyers que par ...
Página 101
... Lanfque- nets fuffent ramenés à portée de ces deux Provinces , ce qui affoi- 1542 . bliffant l'armée du Luxembourgi 1542. la réduifit à une défenfive E iij DE FRANÇOIS PREMIER . IOI bourg, où il joignit le Duc d'Or ...
... Lanfque- nets fuffent ramenés à portée de ces deux Provinces , ce qui affoi- 1542 . bliffant l'armée du Luxembourgi 1542. la réduifit à une défenfive E iij DE FRANÇOIS PREMIER . IOI bourg, où il joignit le Duc d'Or ...
Página 102
... Province par où l'on devoit entamer cet Etat . Le Roi & la Reine de Navarre vouloient qu'on atta- quât la Navarre , & leur propofition fut rejettée peut - être parce que leur intérêt étoit trop fenfible . Montpe- fat étoit celui qui ...
... Province par où l'on devoit entamer cet Etat . Le Roi & la Reine de Navarre vouloient qu'on atta- quât la Navarre , & leur propofition fut rejettée peut - être parce que leur intérêt étoit trop fenfible . Montpe- fat étoit celui qui ...
Página 122
... Province que les guerres avoient ruinée . Martin du Bellay fon frere , & fon héritier , paya à un feul Mém . de du homme jufqu'à cent mille francs de Bellay , 1. 8. cette glorieufe dette , contractée pour le bien de l'Etat , & rendit ...
... Province que les guerres avoient ruinée . Martin du Bellay fon frere , & fon héritier , paya à un feul Mém . de du homme jufqu'à cent mille francs de Bellay , 1. 8. cette glorieufe dette , contractée pour le bien de l'Etat , & rendit ...
Página 148
... province . A peine s'étoit - il mis en marche que le Comte de Roux & le Comte de Roquendolff ayant raffemblé toutes les forces des Pays - Bas , s'avancerent le long de la forêt de Mormaux pour venir furprendre Landreci , mais ils le ...
... province . A peine s'étoit - il mis en marche que le Comte de Roux & le Comte de Roquendolff ayant raffemblé toutes les forces des Pays - Bas , s'avancerent le long de la forêt de Mormaux pour venir furprendre Landreci , mais ils le ...
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Términos y frases comunes
affez ainfi Ambaffadeurs Anglois auffi auroit avoient avoit bataille Belcar Bellay Bourbon Boutieres Briffac c'eft c'eſt c'étoit Carignan caufe cent Chancelier Charles Charles-Quint çois Commentar Comte d'An Comte d'Anguien Comte d'Aumale Confeil Connétable d'Annebaut Dauphin défenſe devoit Duc d'Orléans Duc de Cleves Duché Ducheffe Empereurs eſt Etats étoient étoit eût faifoit falloit fans feconde fecours felon fent feroit fervir feul fiége flotte foit Foix foldats fon fils fous Fran François fuccès fuivi fur-tout galères garnifon Gentil guerre Guife Henri VIII Impériaux Jean jufqu'à l'Amiral l'armée l'Em l'Empe l'Empereur l'Empire laiffer Landreci Lanfquenets Langei loix lorfque Louis XI Luxembourg Maifon Marquis du Guaft Martin du Bellay Mém Milanès mille Miniftres Monthelon Montmorenci mort n'avoit Navarre paffage paffer Paul Jove pereur perfonne Piémont plufieurs pofte pouvoient pouvoit prefque Prince puiffance refte reur Royaume Semblançay Sleidan Suiffes tion treve troupes vaiffeaux Vicomte de Narbonne vouloit ככ
Pasajes populares
Página 190 - ... il laissa bonnes garnisons et moien de les fortifier. Puis, à raison que l'intention du Roy estoit de remettre en ses mains Carignan , qui luy estoit une espine en son pied, attendu qu'elle tenoit toute la (0 François de Bourbon , sieur d'Anguien : il étoit frère d'Antoine de Bourbon , duc de Vendôme , depuis roi de Navarre ; de Louis I , prince de Condé ; du cardinal de Bourbon, que les ligueurs nommèrent roi; et de Jean de Bourbon, tué en 1 55"], à la bataille de SainKJucntin.
Página 73 - C'étoit le ruiner et le déshonorer, deux peines plus fortes que la perte de la vie. « Du moins , dit alors Chabot au roi , la rage de mes « ennemis n'a pu me convaincre d'aucune félonie en