Œuvres de Madame la marquise de Lambert, Volumen2 |
Dentro del libro
Resultados 6-10 de 34
Página 259
... amie : fuivons la Princeffe VALERIE . Nous al- lions fur fes pas : & nous entrâ- mes dans une contre - allée qui ré- pondoit à celle où elle étoit affi- fe . On parloit avec vivacité . Que voulez - vous , disoit - elle , que je devienne ...
... amie : fuivons la Princeffe VALERIE . Nous al- lions fur fes pas : & nous entrâ- mes dans une contre - allée qui ré- pondoit à celle où elle étoit affi- fe . On parloit avec vivacité . Que voulez - vous , disoit - elle , que je devienne ...
Página 261
... amie en fut étonnée . A - t - on de la fenfibilité pour les maux d'une rivale ? me dit - elle . Je ne l'ai jamais craint , répondis - je ; je n'ai rien eu à difputer avec elle ; & je ne jouis point par conféquent du plaifir du triomphe ...
... amie en fut étonnée . A - t - on de la fenfibilité pour les maux d'une rivale ? me dit - elle . Je ne l'ai jamais craint , répondis - je ; je n'ai rien eu à difputer avec elle ; & je ne jouis point par conféquent du plaifir du triomphe ...
Página 270
... amie fur laquelle vous pouvez comp- ter ; capable de vous confoler , & de vous conduire dans la fituation la plus délicate de votre vie . Ne croyez pas que je vous faffe un crime d'un fentiment : un coeur peut être fenfible & innocent ...
... amie fur laquelle vous pouvez comp- ter ; capable de vous confoler , & de vous conduire dans la fituation la plus délicate de votre vie . Ne croyez pas que je vous faffe un crime d'un fentiment : un coeur peut être fenfible & innocent ...
Página 274
... amie dans une perfonne qu'on m'avoit donnée pour veiller fur ma conduite . La confiance qu'elle alloit avoir en moi me répondoit d'elle ; & j'étois dans ces momens où le fecret pefe tant à un cœur . je voulois lui parler de ce que je ...
... amie dans une perfonne qu'on m'avoit donnée pour veiller fur ma conduite . La confiance qu'elle alloit avoir en moi me répondoit d'elle ; & j'étois dans ces momens où le fecret pefe tant à un cœur . je voulois lui parler de ce que je ...
Página 275
... amie . On donne dans le TASSE pour modele de délicateffe les fentimens D'OLIN- DE : il dit , qu'il defire beaucoup , qu'il efpere peu , & qu'il ne de- mande rien , Pour moi , je n'ef- pere , ne defire , ni ne demande ; H ma paffion n ...
... amie . On donne dans le TASSE pour modele de délicateffe les fentimens D'OLIN- DE : il dit , qu'il defire beaucoup , qu'il efpere peu , & qu'il ne de- mande rien , Pour moi , je n'ef- pere , ne defire , ni ne demande ; H ma paffion n ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affez agrémens aifé aime ainfi amie au-deffus auffi auroit avez avoient avoit befoin bleffer bles bonheur c'eft c'eſt Cambray chofes cœur confeils conferver Confidération connoiffance deffein defirs délicateffe difant difoit difpofitions DIOG donner douleur efprit eftime ELEONOR eſt êtes étoient étoit fage faifoit fans fanté favoir fecours fecret femble Femmes fenfible fens fentimens fentir feroit fervir feule fincere foin foit folides font Fortune fouffrir fouhaite fous fouvent fuis fuiv gloire goût graces Homere hommes ISMENE j'ai j'avois j'étois jamais l'ame l'Amour l'efprit l'eftime Lettre m'avez Madame Madame DACIER Madame de Lambert MADE MADEMOISELLE malheurs maniere Marquife de LAMBERT ment mérite modeftie monde Monfieur n'avoit n'eft n'eſt n'étoit paffer paffion penfer penſe perfonne perfuader plaifir plaifirs plaiſirs pouvoit préfent premiere Prince Princeffe raifon refpecter refte Richeffes rien s'eft SACY ſes teffe TIMANDRE tion trifte trouver vertus
Pasajes populares
Página 40 - ... au cœur. M. de S. écrit parfaitement bien. Il ne touche à rien qu'il ne l'orne : les grâces vives et légères sont répandues partout, même dans les matières les plus sèches, et le procès, qui par ses mains change de forme.
Página 204 - Il me semble qu'on n'a jamais donné pour règle du véritable bonheur, les sensations agréables. Le bonheur que vous avez dans la vie répandue, tient à une infinité de choses ; ainsi vous avez une infinité de besoins. Plus vous avez de désirs, plus vous avez de pauvreté ; vous devenez esclave ; le sentiment de la liberté est moins vif, et s'affoiblit.