Histoire de François Premier, roi de France, dit le grand roi et le père des lettres, Volumen4Chez Saillant, 1766 |
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... c'étoit un procédé de Corfaires , contraire à la décence & à l'honnêteté que les Nations Chrétiennes font convenues de conferver en s'entre - détruisant . Les Espagnols en firent de juftes- plaintes ; les Italiens leur rappelle- , rent ...
... c'étoit un procédé de Corfaires , contraire à la décence & à l'honnêteté que les Nations Chrétiennes font convenues de conferver en s'entre - détruisant . Les Espagnols en firent de juftes- plaintes ; les Italiens leur rappelle- , rent ...
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... c'étoit au mois de Juillet 1542 , peu de temps avant la difgrace du premier & le rétablissement du fe- cond . Mais foit que le nouveau Miniftere ait négligé cette alliance , parce qu'elle étoit l'ouvrage du Mi- niftere précédent , foit ...
... c'étoit au mois de Juillet 1542 , peu de temps avant la difgrace du premier & le rétablissement du fe- cond . Mais foit que le nouveau Miniftere ait négligé cette alliance , parce qu'elle étoit l'ouvrage du Mi- niftere précédent , foit ...
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... c'étoit Langei qui commandoit en qualité de Gouverneur . Les principaux Of ficiers , qu'il avoit fous lui étoient Martin du Bellay fon frere , alors Gouverneur de . Turin , Boutieres , qui l'avoit été , Vaffé , Gouverneur de Pignerol ...
... c'étoit Langei qui commandoit en qualité de Gouverneur . Les principaux Of ficiers , qu'il avoit fous lui étoient Martin du Bellay fon frere , alors Gouverneur de . Turin , Boutieres , qui l'avoit été , Vaffé , Gouverneur de Pignerol ...
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... C'étoit à Carignan qu'il prétendoit paffer le Pô ; Langei ayant pénétré fon deffein , fit tra- vailler en diligence à un fort pour défendre le paffage ; les armées fu- rent près de quinze jours en pré- fence , mais Langei étoit un enne ...
... C'étoit à Carignan qu'il prétendoit paffer le Pô ; Langei ayant pénétré fon deffein , fit tra- vailler en diligence à un fort pour défendre le paffage ; les armées fu- rent près de quinze jours en pré- fence , mais Langei étoit un enne ...
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... C'étoit un fpectacle intéreffant pour les gens de guerre que l'attention avec laquelle ces deux grands Capitaines s'obfer- voient , s'attaquoient , fe défen- doient s'approchoient , s'éloi- gnoient , profitoient de tous leurs avantages ...
... C'étoit un fpectacle intéreffant pour les gens de guerre que l'attention avec laquelle ces deux grands Capitaines s'obfer- voient , s'attaquoient , fe défen- doient s'approchoient , s'éloi- gnoient , profitoient de tous leurs avantages ...
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Términos y frases comunes
affez ainfi Ambaffadeurs Anglois auffi auroit avoient avoit bataille Belcar Bellay Bourbon Boutieres Briffac c'eft c'eſt c'étoit Carignan caufe cent Chancelier Charles Charles-Quint çois Commentar Comte d'An Comte d'Anguien Comte d'Aumale Confeil Connétable d'Annebaut Dauphin défenſe devoit Duc d'Orléans Duc de Cleves Duché Ducheffe Empereurs eſt Etats étoient étoit eût faifoit falloit fans feconde fecours felon fent feroit fervir feul fiége flotte foit Foix foldats fon fils fous Fran François fuccès fuivi fur-tout galères garnifon Gentil guerre Guife Henri VIII Impériaux Jean jufqu'à l'Amiral l'armée l'Em l'Empe l'Empereur l'Empire laiffer Landreci Lanfquenets Langei loix lorfque Louis XI Luxembourg Maifon Marquis du Guaft Martin du Bellay Mém Milanès mille Miniftres Monthelon Montmorenci mort n'avoit Navarre paffage paffer Paul Jove pereur perfonne Piémont plufieurs pofte pouvoient pouvoit prefque Prince puiffance refte reur Royaume Semblançay Sleidan Suiffes tion treve troupes vaiffeaux Vicomte de Narbonne vouloit ככ
Pasajes populares
Página 190 - ... il laissa bonnes garnisons et moien de les fortifier. Puis, à raison que l'intention du Roy estoit de remettre en ses mains Carignan , qui luy estoit une espine en son pied, attendu qu'elle tenoit toute la (0 François de Bourbon , sieur d'Anguien : il étoit frère d'Antoine de Bourbon , duc de Vendôme , depuis roi de Navarre ; de Louis I , prince de Condé ; du cardinal de Bourbon, que les ligueurs nommèrent roi; et de Jean de Bourbon, tué en 1 55"], à la bataille de SainKJucntin.
Página 73 - C'étoit le ruiner et le déshonorer, deux peines plus fortes que la perte de la vie. « Du moins , dit alors Chabot au roi , la rage de mes « ennemis n'a pu me convaincre d'aucune félonie en