Lettres edifiantes et curieuses: ecrites des missions etrangéres, Volumen20J.G. Merigot, 1781 |
Dentro del libro
Resultados 6-10 de 31
Página 84
... C'étoit un homme Dieu , » ajouta - t - il quelle grandeur ! quelle » majefté ! quelle innocence ! Il fouf- » froit pour nous qui fommes pécheurs , » nous ne fouffrons pas pour les autres res ? mais pour nous - mêmes » . : Pendant que ...
... C'étoit un homme Dieu , » ajouta - t - il quelle grandeur ! quelle » majefté ! quelle innocence ! Il fouf- » froit pour nous qui fommes pécheurs , » nous ne fouffrons pas pour les autres res ? mais pour nous - mêmes » . : Pendant que ...
Página 85
... c'étoit un homme d'une candeur & d'une fimplicité admirable , d'un efprit doux & paifible , tout - à - fait incapable de remuer dans l'Etat , & que pendant fa jeuneffe il avoit fervi avec zèle . Cette réponse tranquillifa l'Empereur ...
... c'étoit un homme d'une candeur & d'une fimplicité admirable , d'un efprit doux & paifible , tout - à - fait incapable de remuer dans l'Etat , & que pendant fa jeuneffe il avoit fervi avec zèle . Cette réponse tranquillifa l'Empereur ...
Página 87
... c'étoit leur feizieme fœur , mariée à Peking au fils unique de Tcha- bina , Tfongtou de Nanking , dont j'ai parlé dans ma lettre précédente . Un or- dre fecret avoit fait répudier cette dame , & on la renvoyoit à fes parens au Four ...
... c'étoit leur feizieme fœur , mariée à Peking au fils unique de Tcha- bina , Tfongtou de Nanking , dont j'ai parlé dans ma lettre précédente . Un or- dre fecret avoit fait répudier cette dame , & on la renvoyoit à fes parens au Four ...
Página 89
... c'étoit François Tcheou , que j'ai fait affez connoître dans ma feconde lettre . Ils étoient chargés de témoigner à ces Sei- gneurs que le danger étoit trop grand , non pas par rapport à nos perfonnes , puifque nous n'aurions pas ...
... c'étoit François Tcheou , que j'ai fait affez connoître dans ma feconde lettre . Ils étoient chargés de témoigner à ces Sei- gneurs que le danger étoit trop grand , non pas par rapport à nos perfonnes , puifque nous n'aurions pas ...
Página 100
... c'étoit celui de tous les petits fils de Sourniama qui se diftinguoit le plus par toutes les perfec- tions de l'efprit & du corps . Son air doux & honnête , fes manieres aifées & prévenantes le rendoient aimable à tout le monde , & fur ...
... c'étoit celui de tous les petits fils de Sourniama qui se diftinguoit le plus par toutes les perfec- tions de l'efprit & du corps . Son air doux & honnête , fes manieres aifées & prévenantes le rendoient aimable à tout le monde , & fur ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
accufation affez ainfi auffi auffi-tôt avoient avoit banniere baptême baptifé befoin c'eft c'eſt ceffe Chinois chofes chré confeffer confolation connoître deffein déja derniere devoit Dieu difgrace domeftiques embraffé enfans enfuite étoient étoit exil faifoit fainte falloit falut famille fang fans fçavoir fecond fecours felon fent feroit fervice fervir feule foin foit foldats fommes fon fils fon pere font fouffrances fouffrir foulager Fourdane fous fouvent frere fuis fuivi fujet grace illuftres infideles inftruit j'ai Jefus Jefus-Chrift jour jufqu'à l'Em l'Empereur laiffer lettre loi chrétienne loi du Seigneur maifon maître Majefté Mandarins maniere Mantcheoux mémorial Miffionnaires mort n'avoit n'eft n'étoit néceffaire Néophyte ordre Ourtchen paffer parens Peking perfonnes plufieurs pouvoit préfent preffe premiere prieres prifon prifonniers Prince François Prince Jean Prince Jofeph Prince Paul Princeffe province refpect refte Regulo Religion chrétienne réponſe Révérend Pere Sou-nou Sourghien Sourniama Tartare Tcheou tion tribunal trifte troifieme vifiter
Pasajes populares
Página 379 - Cour et tous les premiers Mandarins des Tribunaux , pour leur faire l'instruction dont le sujet est toujours tiré des livres canoniques: car, disent les Chinois , il est Empereur pour gouverner, Pontife pour sacrifier, et Maître pour enseigner. On y apprend les Lois ou les coutumes nouvelles qu'on établit. On y lit les louanges que l'Empereur a données à un Mandarin , ou les réprimandes qu'il lui a faites , par exemple : « tel Mandarin » n'est pas d'une réputation saine ; s'il ne » se corrige,...
Página 378 - ... le mémorial en écrivant ces paroles de sa main : « Que le tribunal délibère encore sur cette affaire, et me fasse son rapport. » Vous seriez surpris, mon révérend Père, si vous étiez témoin de l'attention scrupuleuse qu'on apporte, à la Chine, quand il s'agit de condamner un homme à la mort.
Página 92 - C'est ce que jus» qu'ici je n'ai jamais osé faire; peut-être que nous >> ne nous reverrons plus en cette vie. Mon ami » François, répondit le prince, dis-moi hardiment » tout ce qu'il te plaira; je t'écouterai avec plaisir.
Página 411 - Ning-hia les fonctions d'un zélé catéchiste. Je lui ai distribué plusieurs remèdes pour diverses maladies , qui, lui donnant entrée dans les maisons, lui faciliteront les moyens d'ouvrir le ciel à un grand nombre d'enfans moribonds. En parlant des néophytes que la Providence éloigne de nous, je ne dois pas oublier ceux qui nous environnent , ou qui viennent de pays assez reculés, pour participer aux sacremens; car, comme vous savez , la liberté de visiter les chrétientés hors de Pekin,...
Página 382 - A l'égard de ceux qui ne purent trouver de caution , ils furent délivrés de leurs fers , et on les laissa libres dans toute l'étendue de la prison qui est fort spacieuse. Les mandarins furent approuvés de l'Empereur; et ce trait fit connoître au peuple que l'attention et la clémence de ce prince...
Página 313 - ... portées, des rigueurs de sa prison et de son exil, que comme d'une grâce singulière que Dieu lui avoit faite de le punir si légèrement en cette vie , pour lui épargner dans l'autre de bien plus terribles peines dues à ses péchés. Elle le voyoit d'ailleurs doux, tranquille, humble et modeste , ne laissant échapper aucune plainte, quoiqu'après avoir eu autrefois loules les commodités de la vie, il fût réduit à n'avoir pas même le nécessaire.
Página 372 - Tout aliéné qu'U paroît être de la religion chrétienne , on né peut s'empêcher de louer les qualités qui le rendent digne de l'empire , et qui en si peu de temps , lui ont attiré le respect et l'amour de ses peuples.
Página 51 - plutôt que je ne l'avois promis. Vos lettres ont » comblé de joie ces généreux Chrétiens; elles ont « été lues avec avidité. Mais à peine avoient-ils » achevé , qu'on vit arriver un officier de la part du » général , qui enjoignoit aux trois princes venus ré...
Página 212 - San-fa-sse ; qu'on y détermine le genre de mort dont doivent être punis les descendans de Sounou, et qu'on m'en fasse le rapport. » Deux jours après , je vis un papier du tribunal des crimes , par lequel il demandoit aux mandarins de la bannière de ces princes, s'il y avoit d'autres descendans de Sounou que les trente-huit qui étoient marqués sur la liste. Il leur ordonnoit d'en faire une exacte recherche , et d'examiner aussi si ce qui...
Página 392 - ... on ya joint le jugement qu'a porté cette justice , et celui du tribunal de la cour. Ce tribunal s'est ensuite assemblé , et a lu , revu , corrigé , ajouté , retranché ce qu'il a jugé à propos. Après quoi il en a- fait tirer deux copies au net : l'une qu'il a présentée à l'Empereur , afin que ce prince puisse la lire et l'examiner en particulier : l'autre qu'il a gardée pour la lire en présence de tous les principaux officiers des tribunaux souverains, et la réformer selon leurs...