Histoire de François Premier, roi de France, dit le grand roi et le père des lettres, Volumen4Chez Saillant, 1766 |
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... cent prifonniers . Rossen eût pu faire de ce côté d'utiles conquêtes , mais il fe laiffa gagner par l'argent des Marchands d'Anvers & de Louvain ; il hâta fa marche vers le Luxem ( 1 ) Fils du feu Comte de Naffau , neveu par fa mere du ...
... cent prifonniers . Rossen eût pu faire de ce côté d'utiles conquêtes , mais il fe laiffa gagner par l'argent des Marchands d'Anvers & de Louvain ; il hâta fa marche vers le Luxem ( 1 ) Fils du feu Comte de Naffau , neveu par fa mere du ...
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... cent chevaux . Malgré cette inéga- lité de forces , Langei fçut rendre la fortune à peu près égale . Il en- treprit de furprendre à la fois Coni , Albe & Quiéras . Ceux qu'il avoit deftinés à l'expédition de Coni & d'Albe s'égarerent ...
... cent chevaux . Malgré cette inéga- lité de forces , Langei fçut rendre la fortune à peu près égale . Il en- treprit de furprendre à la fois Coni , Albe & Quiéras . Ceux qu'il avoit deftinés à l'expédition de Coni & d'Albe s'égarerent ...
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... cent Espagnols s'étoient fortifiés , il les paffa au fil de l'épée , il en◅ tama le Château avec fon artillerie , ce qui obligea la garnison de capi- tuler on ftipula que fi dans fix jours le Marquis du Guaft ne fe préfentoit pour ...
... cent Espagnols s'étoient fortifiés , il les paffa au fil de l'épée , il en◅ tama le Château avec fon artillerie , ce qui obligea la garnison de capi- tuler on ftipula que fi dans fix jours le Marquis du Guaft ne fe préfentoit pour ...
Página 122
... cent mille francs de Bellay , 1. 8. cette glorieufe dette , contractée pour le bien de l'Etat , & rendit avec joie à Langei le noble témoi- gnage qu'il ne lui challoit de la dé- penfe , moyennant qu'il fit fervice à fon Prince . & 5 ...
... cent mille francs de Bellay , 1. 8. cette glorieufe dette , contractée pour le bien de l'Etat , & rendit avec joie à Langei le noble témoi- gnage qu'il ne lui challoit de la dé- penfe , moyennant qu'il fit fervice à fon Prince . & 5 ...
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... cent mille francs , qui tourna au profit de la Ville par la générofité du Garde des Sceaux de Monthelon , dont le Roi avoit voulu récompen- fer les fervices par cette fomme & qui la remit aux habitans pour fonder un hôpital , action ...
... cent mille francs , qui tourna au profit de la Ville par la générofité du Garde des Sceaux de Monthelon , dont le Roi avoit voulu récompen- fer les fervices par cette fomme & qui la remit aux habitans pour fonder un hôpital , action ...
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Términos y frases comunes
affez ainfi Ambaffadeurs Anglois auffi auroit avoient avoit bataille Belcar Bellay Bourbon Boutieres Briffac c'eft c'eſt c'étoit Carignan caufe cent Chancelier Charles Charles-Quint çois Commentar Comte d'An Comte d'Anguien Comte d'Aumale Confeil Connétable d'Annebaut Dauphin défenſe devoit Duc d'Orléans Duc de Cleves Duché Ducheffe Empereurs eſt Etats étoient étoit eût faifoit falloit fans feconde fecours felon fent feroit fervir feul fiége flotte foit Foix foldats fon fils fous Fran François fuccès fuivi fur-tout galères garnifon Gentil guerre Guife Henri VIII Impériaux Jean jufqu'à l'Amiral l'armée l'Em l'Empe l'Empereur l'Empire laiffer Landreci Lanfquenets Langei loix lorfque Louis XI Luxembourg Maifon Marquis du Guaft Martin du Bellay Mém Milanès mille Miniftres Monthelon Montmorenci mort n'avoit Navarre paffage paffer Paul Jove pereur perfonne Piémont plufieurs pofte pouvoient pouvoit prefque Prince puiffance refte reur Royaume Semblançay Sleidan Suiffes tion treve troupes vaiffeaux Vicomte de Narbonne vouloit ככ
Pasajes populares
Página 190 - ... il laissa bonnes garnisons et moien de les fortifier. Puis, à raison que l'intention du Roy estoit de remettre en ses mains Carignan , qui luy estoit une espine en son pied, attendu qu'elle tenoit toute la (0 François de Bourbon , sieur d'Anguien : il étoit frère d'Antoine de Bourbon , duc de Vendôme , depuis roi de Navarre ; de Louis I , prince de Condé ; du cardinal de Bourbon, que les ligueurs nommèrent roi; et de Jean de Bourbon, tué en 1 55"], à la bataille de SainKJucntin.
Página 73 - C'étoit le ruiner et le déshonorer, deux peines plus fortes que la perte de la vie. « Du moins , dit alors Chabot au roi , la rage de mes « ennemis n'a pu me convaincre d'aucune félonie en