Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
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... cours d'une pié- ce de Théâtre ou d'un Poëme épi- que , & prétendentque les Stances & les Odes dans lefquelles les ri- mes font entrelaffées , ont plus de cadence & de variété . J'incline- rois volontiers pour ce dernier par- ti qui ...
... cours d'une pié- ce de Théâtre ou d'un Poëme épi- que , & prétendentque les Stances & les Odes dans lefquelles les ri- mes font entrelaffées , ont plus de cadence & de variété . J'incline- rois volontiers pour ce dernier par- ti qui ...
Página 70
... cours égal & mefuré . C'eft fur ce fondement que j'oferois affurer que l'Ode de Rouffeau fur la naiffance du Duc de Bretagne & celle qu'il a adref- fée à M. de la Fare , font de vérita- bles Odes , & que celle du même Auteur à la ...
... cours égal & mefuré . C'eft fur ce fondement que j'oferois affurer que l'Ode de Rouffeau fur la naiffance du Duc de Bretagne & celle qu'il a adref- fée à M. de la Fare , font de vérita- bles Odes , & que celle du même Auteur à la ...
Página 119
... en est allée , L'ingrate méprifant mes foupirs & mes pleurs , Laiffe mon ame défolée A la merci de fes douleurs . Je n'efperai jamais qu'un jour elle eût envie De finir de mes maux le déplorable cours , Mais DES POET E S. 119.
... en est allée , L'ingrate méprifant mes foupirs & mes pleurs , Laiffe mon ame défolée A la merci de fes douleurs . Je n'efperai jamais qu'un jour elle eût envie De finir de mes maux le déplorable cours , Mais DES POET E S. 119.
Página 120
Edme Mallet. De finir de mes maux le déplorable cours , Mais je l'aimois plus que ma vie , Et je la voyois tous les jours . Il femble que ces Vers n'ayent dû coûter à Segrais que le tems de les écrire , tant ils font coulans ... cours, ...
Edme Mallet. De finir de mes maux le déplorable cours , Mais je l'aimois plus que ma vie , Et je la voyois tous les jours . Il femble que ces Vers n'ayent dû coûter à Segrais que le tems de les écrire , tant ils font coulans ... cours, ...
Página 126
... C'eft de tracer le mieux des routes aux ruif- feaux ; Enfin c'eft à la Cour qu'il faut chercher la gloire , Et c'eft - là qu'elle brille auprès de la vic- toire ; Mais on y voit des loups , comme dans ce 126 DE LA LECTURE.
... C'eft de tracer le mieux des routes aux ruif- feaux ; Enfin c'eft à la Cour qu'il faut chercher la gloire , Et c'eft - là qu'elle brille auprès de la vic- toire ; Mais on y voit des loups , comme dans ce 126 DE LA LECTURE.
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.