Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
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Página xxxix
... dire , avant que les Grecs euffent une langue établie & des caractéres fixés pour l'é- crire , les Hebreux avoient deja une Poëfie perfectionnée qu'ils tenoient de leurs Ancêtres , les premiers habitans du monde , En effet il en eft de ...
... dire , avant que les Grecs euffent une langue établie & des caractéres fixés pour l'é- crire , les Hebreux avoient deja une Poëfie perfectionnée qu'ils tenoient de leurs Ancêtres , les premiers habitans du monde , En effet il en eft de ...
Página xliii
... dire , qu'aux nations poli- cées comme elles ont leur four- ce dans la nature , elles font de tous les tems & de tous lieux : avec cette différence que ces Arts fontplus cultivés en certains climats que dans d'autres , & plus parfaits ...
... dire , qu'aux nations poli- cées comme elles ont leur four- ce dans la nature , elles font de tous les tems & de tous lieux : avec cette différence que ces Arts fontplus cultivés en certains climats que dans d'autres , & plus parfaits ...
Página xliv
... dire que ces trois Arts . qui ont ensemble tant de rap- ports étoient enfevelis dans la nuit la plus obfcure , lorfque les bienfaits de Leon X. & de François Ier . firent luire fur eux . la premiere aurore du grand jour que nous y ...
... dire que ces trois Arts . qui ont ensemble tant de rap- ports étoient enfevelis dans la nuit la plus obfcure , lorfque les bienfaits de Leon X. & de François Ier . firent luire fur eux . la premiere aurore du grand jour que nous y ...
Página lxvii
... dire que de le laiffer croitre : c'eft une espece de fléau qu'on cher- che à détourner . J'avoue qu'il eftdes monftres dans la fociété , qu'on n'y voit que trop souvent des hommes abufer des meil- leures chofes pour en faire l'inf ...
... dire que de le laiffer croitre : c'eft une espece de fléau qu'on cher- che à détourner . J'avoue qu'il eftdes monftres dans la fociété , qu'on n'y voit que trop souvent des hommes abufer des meil- leures chofes pour en faire l'inf ...
Página 4
... dire ce que j'en penfe , me paroît être ce qu'Horace nomme quelque part , fplendida bilis : une efpece de feu central qui éleve l'efprit , qui é- chauffe l'imagination , qui fait pen- fer avec nobleffe & peindre avec force , different ...
... dire ce que j'en penfe , me paroît être ce qu'Horace nomme quelque part , fplendida bilis : une efpece de feu central qui éleve l'efprit , qui é- chauffe l'imagination , qui fait pen- fer avec nobleffe & peindre avec force , different ...
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.