La serenadeChez Pierre Ribou, Quay des Augustins, à la descente du Pont-Neuf, à l'Image Saint-Louis., 1708 |
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... font diablement usez . Mais , quoy ... VALERE . SCAPIN Laiffez - moy un peu rêver tout feul . J'ay ma Serena- de en tête . Si je pouvois avoir feulement de quoy payer les Muficiens dont je me veux fervir ... A quoy bon ... VALERE ...
... font diablement usez . Mais , quoy ... VALERE . SCAPIN Laiffez - moy un peu rêver tout feul . J'ay ma Serena- de en tête . Si je pouvois avoir feulement de quoy payer les Muficiens dont je me veux fervir ... A quoy bon ... VALERE ...
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... font tout au plus que de moitié ; & avec tout cela nous fommes les valets , & ils font les Maiftres . Cela n'est pas jufte . Je prétens à l'avenir travailler pour mon compte ; cecy fini je veux devenir Maître à mon tour . Mais que vois ...
... font tout au plus que de moitié ; & avec tout cela nous fommes les valets , & ils font les Maiftres . Cela n'est pas jufte . Je prétens à l'avenir travailler pour mon compte ; cecy fini je veux devenir Maître à mon tour . Mais que vois ...
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... font finis , je reparois fur nouveaux frais . Et SCAPIN . que fais - tu à prefent ? Je t'ay veu autrefois le plus adroit grifon , & , foit dit entre nous le plus hardy coquin qu'il y euft en France . CHAMPAGNE . › J'ai quitté tout cela ...
... font finis , je reparois fur nouveaux frais . Et SCAPIN . que fais - tu à prefent ? Je t'ay veu autrefois le plus adroit grifon , & , foit dit entre nous le plus hardy coquin qu'il y euft en France . CHAMPAGNE . › J'ai quitté tout cela ...
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... font les fentimens de ma Maîtreffe que je vous explique le plus clairement & le plus fuccinte ment qu'il m'eft poffible . Mr. GRIFON . Je ne veux point fçavoir fes fentimens , tant qu'elle en aura d'auffi ridicules . MARINE . Il ne ...
... font les fentimens de ma Maîtreffe que je vous explique le plus clairement & le plus fuccinte ment qu'il m'eft poffible . Mr. GRIFON . Je ne veux point fçavoir fes fentimens , tant qu'elle en aura d'auffi ridicules . MARINE . Il ne ...
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... font quelquefois plus utiles que d'au- tres . SCAPIN Il eft vray , Monfieur , j'ay autrefois par leur moyen tiré mon parain des galeres , & je fauvay l'année pal fée une amende honorable à Monfieur Mathieu ; c'est ce 30 LA SERENADE ,
... font quelquefois plus utiles que d'au- tres . SCAPIN Il eft vray , Monfieur , j'ay autrefois par leur moyen tiré mon parain des galeres , & je fauvay l'année pal fée une amende honorable à Monfieur Mathieu ; c'est ce 30 LA SERENADE ,
Términos y frases comunes
Adieu affez AGATHE ainfi allons Amant amour ANGELIQUE auffi aujourd'huy avez befoin BERTRAND c'eft c'eſt CARLIN cens CHAMPAGNE CHEVALIER chofe CLARICE CLITANDRE cœur Colin COMTESSE Coufin croy diable difcours DORANTE efprit eft-ce eftes eftre eſt êtes fage fans fçais fçait fçavoir fçay fens feray feroit fervir feul fille fœur foit fommes font fous fouvent fuis fujet GERONTE grace GROGNAC HECTOR homme ISABELLE j'ay JAQUINET jour joye jufte l'amour l'efprit laiffe Laiffez-moy LEANDRE LEONORE Lifette LISETTE luy donner m'en Madame maiſon Maître Maîtreffe maraut mariage MARINE MARQUIS MATHIEU CROCHET MERLIN mille écus Monfieur Grifon Muficien n'ay n'eft n'eſt NERINE paffer parbleu PASQUIN penfe Pere perfonne plaifir Portrait prefent preft Quoy raifon ravy RESSOURCE rien s'il vous plaift SCAPIN SCENE VIII Serenade SOTANCOUR Trictrac vais VALERE verray veux vin de Champagne voicy voila vray vrayment
Pasajes populares
Página 161 - N'es-tu pas fait à peindre? Est-il homme à la cour Qui de la tête aux pieds porte meilleure mine, Une jambe mieux faite, une taille plus fine? Et pour l'esprit, parbleu, tu l'as des plus exquis : Que te manque-t-il donc? Allons, saute, marquis. La nature, le ciel, l'amour et la fortune...
Página 202 - Sur vos pieds chancelants vous vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles, Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos...
Página 150 - J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, Qui, pour porter au jeu son tribut volontaire, Vous laissera manquer même du nécessaire, Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. Quel charme qu'un époux qui, flattant sa manie, Fait vingt mauvais marchés tous les jours de sa vie ; Prend pour argent comptant, d'un usurier fripon, Des singes, des pavés, un chantier, du charbon ; Qu'on voit à chaque instant prêt à faire querelle Aux bijoux...
Página 202 - ... vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles. Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos exploits, Plus haut que les acteurs vous élevez la voix ' ; Et tout Paris, témoin de vos traits de folie , Rit plus cent fois de vous que de la comédie.
Página 86 - Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé, Une lèvre qu'on mord pour rendre plus vermeille ', Un chapeau chiffonné qui tombe sur l'oreille, Une longue steinkerque...