Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
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Edme Mallet. dant rien ôter à l'un de fa clar- té , ni à l'autre de fa force & de fa jufteffe.Les critiques les plus acharnés contre Mr. Boileau n'ont pû s'empêcher de conve- nir que fon Art Poëtique étoit un chef - d'œuvre , & le repro ...
Edme Mallet. dant rien ôter à l'un de fa clar- té , ni à l'autre de fa force & de fa jufteffe.Les critiques les plus acharnés contre Mr. Boileau n'ont pû s'empêcher de conve- nir que fon Art Poëtique étoit un chef - d'œuvre , & le repro ...
Página xxviii
... un jeune homme qui fort des hu- manités , & qui a même quel- que connoiffance du Théâtre cet endroit du troifiéme Chant : Qu'en un lieu , qu'en un jour un feul fait accompli , Tienne jufqu'à la fin le Théâtre rempli . Et qu'on lui ...
... un jeune homme qui fort des hu- manités , & qui a même quel- que connoiffance du Théâtre cet endroit du troifiéme Chant : Qu'en un lieu , qu'en un jour un feul fait accompli , Tienne jufqu'à la fin le Théâtre rempli . Et qu'on lui ...
Página xxx
... un fantôme qu'on fe propose de combat- tre , ni une maladie chimérique que l'on imagine , pour s'attri- buer la gloire de l'avoir guerie : elle n'eft que trop réelle.Parmi nous , il n'eft que trop ordinaire de rencontrer des perfonnes ...
... un fantôme qu'on fe propose de combat- tre , ni une maladie chimérique que l'on imagine , pour s'attri- buer la gloire de l'avoir guerie : elle n'eft que trop réelle.Parmi nous , il n'eft que trop ordinaire de rencontrer des perfonnes ...
Página xxxi
... un fi grand maître m'imposât la néceffité d'adherer toujours à fes fenti- mens . J'ai quelquefois ofé m'en écarter , parce qu'en matiére de gotit , l'autorité , quand elle forme une erreur , ne prescrit jamais contre la raifon . Enfin ...
... un fi grand maître m'imposât la néceffité d'adherer toujours à fes fenti- mens . J'ai quelquefois ofé m'en écarter , parce qu'en matiére de gotit , l'autorité , quand elle forme une erreur , ne prescrit jamais contre la raifon . Enfin ...
Página liv
... 'édu- cation , ces deux liriques leur offriront une morale pure , des fentimens élévés , des princi- pes folides , des idées nobles & vraïes , en un mot , une Phi- " les graces ont pa lofophie que rée , fans l'amollir liv DISCOURS.
... 'édu- cation , ces deux liriques leur offriront une morale pure , des fentimens élévés , des princi- pes folides , des idées nobles & vraïes , en un mot , une Phi- " les graces ont pa lofophie que rée , fans l'amollir liv DISCOURS.
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.