Oeuvres lyriques de J.B. Rousseau, suivies d'un choix des lyriques francais depuis Ronsard jusqu'ànos jours: avec des notices et un commentaire historique, littéraire et philologiqueDelagrave, 1876 - 383 páginas |
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... mieux inspirer le poëte . Rousseau n'a pas su nous émouvoir un instant ; il écrit avec ses souvenirs poétiques , avec ses préoccupations du style et du rhythme ; son cœur n'est pour rien dans l'ouvrage : c'est qu'il n'a pas de ...
... mieux inspirer le poëte . Rousseau n'a pas su nous émouvoir un instant ; il écrit avec ses souvenirs poétiques , avec ses préoccupations du style et du rhythme ; son cœur n'est pour rien dans l'ouvrage : c'est qu'il n'a pas de ...
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... mieux dire : « En défendant mes jours , c'est ta propre cause que tu défends ? » Cela eut été bien plat . 5. Oh ! que d'S ! voilà beaucoup d'S ! » LEBRUN . - Le ton est cavalier , mais l'observation est juste . De mes rivaux frémissants ...
... mieux dire : « En défendant mes jours , c'est ta propre cause que tu défends ? » Cela eut été bien plat . 5. Oh ! que d'S ! voilà beaucoup d'S ! » LEBRUN . - Le ton est cavalier , mais l'observation est juste . De mes rivaux frémissants ...
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... mieux qu'il ne se définit ; on la prendrait volontiers pour une strophe de Lamartine . Jean Chassignet a paraphrasé un peu longuement , mais d'une façon remarquable pour le temps , les deux premières strophes de cette ode : Béni sois ...
... mieux qu'il ne se définit ; on la prendrait volontiers pour une strophe de Lamartine . Jean Chassignet a paraphrasé un peu longuement , mais d'une façon remarquable pour le temps , les deux premières strophes de cette ode : Béni sois ...
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... mieux dans Esther ( 11 , 9 ) : Tous ses jours paraissent charmants ; L'or éclate en ses vêtements ; etc. 16. a Dur et lourd . » LEBRUN . « Comment Lebrun trouve - t - il ce vers dur Leurs celliers regorgent de fruits ; Leurs troupeaux ...
... mieux dans Esther ( 11 , 9 ) : Tous ses jours paraissent charmants ; L'or éclate en ses vêtements ; etc. 16. a Dur et lourd . » LEBRUN . « Comment Lebrun trouve - t - il ce vers dur Leurs celliers regorgent de fruits ; Leurs troupeaux ...
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... mieux dissimulé . 13. Vous m'aviez donné la santé pour vous servir , et j'en ai fait un usage a tout profane . Vous m'envoyez maintenant la maladie pour me corriger ; ne " permettez pas que j'en use pour vous irriter par mon impatience ...
... mieux dissimulé . 13. Vous m'aviez donné la santé pour vous servir , et j'en ai fait un usage a tout profane . Vous m'envoyez maintenant la maladie pour me corriger ; ne " permettez pas que j'en use pour vous irriter par mon impatience ...
Términos y frases comunes
admirable âme assez Athalie Bacchus beauté beaux belle Boileau bonheur Bossuet cantiques céleste chants charme ciel cieux cœur comte du Luc Corneille d'Horace Deus Dieu Dieux divine Dominus ejus encens ennemis épithète éternelle expression faible FONTANES fortune fureur gloire goût grandeur guerre harmonie HARPE héros heureux hommes Horace idées image imité immortelle inspiré j'ai jamais jour juste l'âme l'harmonie l'homme l'ode l'univers LEBRUN Louis Louis XIV lyre mains Malherbe mérite mort mortels Muses Neptune noble obscure ODE VII Ovide paix Paraphrase parle pensée peuple Pindare pleurs poésie lyrique poëte poétique premier prince Eugène prosaïque psaumes qu'un Racan Racine rhythme rien rime rois Rollin Ronsard Rousseau sacré sagesse saint secours Seigneur semble sentiment seul sort souvent stances strophe style sublime sujet sunt superbe temple terre TEXTE DU PSAUME TIRÉE DU PSAUME triomphe triste trouve vainqueur vérité vertu Virgile voit voix Voltaire XVIIe siècle yeux
Pasajes populares
Página 338 - Je suis vaincu du temps; je cède à ses outrages : Mon esprit seulement, exempt de sa rigueur, A de quoi témoigner en ses derniers ouvrages Sa première vigueur. Les puissantes faveurs dont Parnasse m'honore, Non loin de mon berceau commencèrent leur cours ; Je les possédai jeune, et les possède encore A la fin de mes jours. Ce que j'en ai reçu, je veux te le produire...
Página 339 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est...
Página 369 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Página 340 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Página 72 - Que peuvent contre lui tous les rois de la terre ? En vain ils s'uniraient pour lui faire la guerre : Pour dissiper leur ligue , il n'a qu'à se montrer ; II parle , et dans la poudre il les fait tous rentrer.
Página 356 - Le pain que je vous propose Sert aux anges d'aliment; Dieu lui-même le compose De la fleur de son froment; C'est ce pain si délectable Que ne sert point à sa table Le monde que vous suivez. Je l'offre à qui veut me suivre; Approchez. Voulez-vous vivre ? Prenez, mangez et vivez.
Página 323 - De moi, déjà deux fois d'une pareille foudre Je me suis vu perclus, Et deux fois la raison m'a si bien fait résoudre Qu'il ne m'en souvient plus. Non qu'il ne me soit grief...
Página 320 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine, Et n'ai pas entrepris : Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Página 321 - Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste Elle eût eu plus d'accueil ? Ou qu'elle eût moins senti la poussière...
Página 340 - Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de...