La serenadeChez Pierre Ribou, Quay des Augustins, à la descente du Pont-Neuf, à l'Image Saint-Louis., 1708 |
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... montre croyant jetter le tabac . Quel horrible tabac , tu veux m'empoifonner . CARLIN . La montre ! ah voilà bien pour la faire fonner ! Quelle distraction , Monfieur , eft donc la vôtre ? LEANDR E. Oh , je n'y penfois pas , j'ay jetté ...
... montre croyant jetter le tabac . Quel horrible tabac , tu veux m'empoifonner . CARLIN . La montre ! ah voilà bien pour la faire fonner ! Quelle distraction , Monfieur , eft donc la vôtre ? LEANDR E. Oh , je n'y penfois pas , j'ay jetté ...
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... montre . LEANDRE . Mais me parleras - tu toujours de cette montre ? Hé bien , c'eft un malheur . Fais luy bien concevoir Qu'Ifabelle fur moy n'eut jamais de pouvoir , Et que mon Oncle en vain veut faire une alliance , Dont mon amour ...
... montre . LEANDRE . Mais me parleras - tu toujours de cette montre ? Hé bien , c'eft un malheur . Fais luy bien concevoir Qu'Ifabelle fur moy n'eut jamais de pouvoir , Et que mon Oncle en vain veut faire une alliance , Dont mon amour ...
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... montre avoir de l'efprit . CLARICE à Leandre . De votre Rapporteur je reçois cette lettre , Vous pouvez de fes foins bien - tôt tout vous promettre ; Je vous quitte un moment , & je monte là - haut Pour luy faire réponse , & reviens au ...
... montre avoir de l'efprit . CLARICE à Leandre . De votre Rapporteur je reçois cette lettre , Vous pouvez de fes foins bien - tôt tout vous promettre ; Je vous quitte un moment , & je monte là - haut Pour luy faire réponse , & reviens au ...
Términos y frases comunes
Adieu affez AGATHE ainfi allons Amant amour ANGELIQUE auffi aujourd'huy avez befoin BERTRAND c'eft c'eſt CARLIN cens CHAMPAGNE CHEVALIER chofe CLARICE CLITANDRE cœur Colin COMTESSE Coufin croy diable difcours DORANTE efprit eft-ce eftes eftre eſt êtes fage fans fçais fçait fçavoir fçay fens feray feroit fervir feul fille fœur foit fommes font fous fouvent fuis fujet GERONTE grace GROGNAC HECTOR homme ISABELLE j'ay JAQUINET jour joye jufte l'amour l'efprit laiffe Laiffez-moy LEANDRE LEONORE Lifette LISETTE luy donner m'en Madame maiſon Maître Maîtreffe maraut mariage MARINE MARQUIS MATHIEU CROCHET MERLIN mille écus Monfieur Grifon Muficien n'ay n'eft n'eſt NERINE paffer parbleu PASQUIN penfe Pere perfonne plaifir Portrait prefent preft Quoy raifon ravy RESSOURCE rien s'il vous plaift SCAPIN SCENE VIII Serenade SOTANCOUR Trictrac vais VALERE verray veux vin de Champagne voicy voila vray vrayment
Pasajes populares
Página 161 - N'es-tu pas fait à peindre? Est-il homme à la cour Qui de la tête aux pieds porte meilleure mine, Une jambe mieux faite, une taille plus fine? Et pour l'esprit, parbleu, tu l'as des plus exquis : Que te manque-t-il donc? Allons, saute, marquis. La nature, le ciel, l'amour et la fortune...
Página 202 - Sur vos pieds chancelants vous vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles, Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos...
Página 150 - J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, Qui, pour porter au jeu son tribut volontaire, Vous laissera manquer même du nécessaire, Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. Quel charme qu'un époux qui, flattant sa manie, Fait vingt mauvais marchés tous les jours de sa vie ; Prend pour argent comptant, d'un usurier fripon, Des singes, des pavés, un chantier, du charbon ; Qu'on voit à chaque instant prêt à faire querelle Aux bijoux...
Página 202 - ... vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles. Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos exploits, Plus haut que les acteurs vous élevez la voix ' ; Et tout Paris, témoin de vos traits de folie , Rit plus cent fois de vous que de la comédie.
Página 86 - Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé, Une lèvre qu'on mord pour rendre plus vermeille ', Un chapeau chiffonné qui tombe sur l'oreille, Une longue steinkerque...