Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
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Página xv
... tems nous en ait en- levé une partie confidérable ; Quoiqu'il en foit , les Sçavans en rendant juftice d'une part au mérite de l'ouvrage , recon- noiffent de l'autre qu'il n'eft pas par - tout également clair , qu'il y a même des ...
... tems nous en ait en- levé une partie confidérable ; Quoiqu'il en foit , les Sçavans en rendant juftice d'une part au mérite de l'ouvrage , recon- noiffent de l'autre qu'il n'eft pas par - tout également clair , qu'il y a même des ...
Página xxi
... tems , & ce qui étoit bon à Rome , fous le Regne d'Augufte , eut déplû à Paris fous celui de Louis le Grand , & choqueroit peut - être encore d'avantage aujourdhui . Il n'eft pas moins certain que la PRELIMINAIRE . XX.
... tems , & ce qui étoit bon à Rome , fous le Regne d'Augufte , eut déplû à Paris fous celui de Louis le Grand , & choqueroit peut - être encore d'avantage aujourdhui . Il n'eft pas moins certain que la PRELIMINAIRE . XX.
Página xl
... tems , tou- te la Poëfie étoit accompagnée du Chant . Celle des Hebreux , tels que les Cantiques de Moïfe , de Débora , les Pfeaumes de David démontrent ce que j'a- vance.Le témoignage conftant des Hiftoriens , & la nature des plus ...
... tems , tou- te la Poëfie étoit accompagnée du Chant . Celle des Hebreux , tels que les Cantiques de Moïfe , de Débora , les Pfeaumes de David démontrent ce que j'a- vance.Le témoignage conftant des Hiftoriens , & la nature des plus ...
Página xlii
... tems après la mort d'Augufte , la Poëfie qui avoit brillé avec tant d'éclat fous le regne de ce Prince , s'éclipfa peu à peu fous fes fucceffeurs , & demeura enfin comme étein- te dans les ténébres de la Bar- barie qu'amena du fond du ...
... tems après la mort d'Augufte , la Poëfie qui avoit brillé avec tant d'éclat fous le regne de ce Prince , s'éclipfa peu à peu fous fes fucceffeurs , & demeura enfin comme étein- te dans les ténébres de la Bar- barie qu'amena du fond du ...
Página xliii
... tems & de tous lieux : avec cette différence que ces Arts fontplus cultivés en certains climats que dans d'autres , & plus parfaits dans un fiécle que dans un autre , parce que dans ce fiécle & dans ce climat , la tem- pérature de l'air ...
... tems & de tous lieux : avec cette différence que ces Arts fontplus cultivés en certains climats que dans d'autres , & plus parfaits dans un fiécle que dans un autre , parce que dans ce fiécle & dans ce climat , la tem- pérature de l'air ...
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.