La serenadeChez Pierre Ribou, Quay des Augustins, à la descente du Pont-Neuf, à l'Image Saint-Louis., 1708 |
Dentro del libro
Resultados 6-10 de 31
Página 62
... viens dans ce moment expirer à vos piez . LEONOR E. A quoy m'expofez - vous ? VALERE . Pardonnez à mon zele . LEONOR E. Mon pere va venir . LISETTE . Je feray fentinelle . LEONORE . Mais que pretendez - vous ? Souffrez VALERE . Vous ...
... viens dans ce moment expirer à vos piez . LEONOR E. A quoy m'expofez - vous ? VALERE . Pardonnez à mon zele . LEONOR E. Mon pere va venir . LISETTE . Je feray fentinelle . LEONORE . Mais que pretendez - vous ? Souffrez VALERE . Vous ...
Página 67
... viens vous montrer l'aife Que j'ay d'avoir appris que vous vous mariez . SOTANCOUR . Je ne merite pas , Monfieur , tant d'amitiez . LE BARON . Nul ne prend plus que moy de part à cette affaire . SOTANCOUR Er pourquoy , plaire ? s'il ...
... viens vous montrer l'aife Que j'ay d'avoir appris que vous vous mariez . SOTANCOUR . Je ne merite pas , Monfieur , tant d'amitiez . LE BARON . Nul ne prend plus que moy de part à cette affaire . SOTANCOUR Er pourquoy , plaire ? s'il ...
Página 74
... viens vous dire Que mon concert eft prest . SOTAN COUR . Ca , ne fongeons qu'à rire . Coufin , il faut icy remuer le gigor . MATHIEU CROCHET . Laiffez - moy faire , allez , je ne fuis pas un fot ; Je vais plus qu'on ne veut , quand on m ...
... viens vous dire Que mon concert eft prest . SOTAN COUR . Ca , ne fongeons qu'à rire . Coufin , il faut icy remuer le gigor . MATHIEU CROCHET . Laiffez - moy faire , allez , je ne fuis pas un fot ; Je vais plus qu'on ne veut , quand on m ...
Página 75
... pas la berluë , Je viens de la quitter à l'inftant dans la rue . SOTANCOUR . Au Diable la pecore , avec les visions ! Il faut te détromper de tes opinions . Tien , voila Leonor . ( ilofte le mafque , Dij COMEDIE . 75 SCENE XVII. ...
... pas la berluë , Je viens de la quitter à l'inftant dans la rue . SOTANCOUR . Au Diable la pecore , avec les visions ! Il faut te détromper de tes opinions . Tien , voila Leonor . ( ilofte le mafque , Dij COMEDIE . 75 SCENE XVII. ...
Página 76
... . comment ? VALERE . Que tres - civilement Je viens icy vous dire , en parlant à vous - même , Que Leonor pour vous fent une haine extrême , Qu'elle mourroit plûtôt que ... SOTANCOUR . Leonor me hait ? VALERE . Si vous 76 LE BAL ,
... . comment ? VALERE . Que tres - civilement Je viens icy vous dire , en parlant à vous - même , Que Leonor pour vous fent une haine extrême , Qu'elle mourroit plûtôt que ... SOTANCOUR . Leonor me hait ? VALERE . Si vous 76 LE BAL ,
Términos y frases comunes
Adieu affez AGATHE ainfi allons Amant amour ANGELIQUE auffi aujourd'huy avez befoin BERTRAND c'eft c'eſt CARLIN cens CHAMPAGNE CHEVALIER chofe CLARICE CLITANDRE cœur Colin COMTESSE Coufin croy diable difcours DORANTE efprit eft-ce eftes eftre eſt êtes fage fans fçais fçait fçavoir fçay fens feray feroit fervir feul fille fœur foit fommes font fous fouvent fuis fujet GERONTE grace GROGNAC HECTOR homme ISABELLE j'ay JAQUINET jour joye jufte l'amour l'efprit laiffe Laiffez-moy LEANDRE LEONORE Lifette LISETTE luy donner m'en Madame maiſon Maître Maîtreffe maraut mariage MARINE MARQUIS MATHIEU CROCHET MERLIN mille écus Monfieur Grifon Muficien n'ay n'eft n'eſt NERINE paffer parbleu PASQUIN penfe Pere perfonne plaifir Portrait prefent preft Quoy raifon ravy RESSOURCE rien s'il vous plaift SCAPIN SCENE VIII Serenade SOTANCOUR Trictrac vais VALERE verray veux vin de Champagne voicy voila vray vrayment
Pasajes populares
Página 161 - N'es-tu pas fait à peindre? Est-il homme à la cour Qui de la tête aux pieds porte meilleure mine, Une jambe mieux faite, une taille plus fine? Et pour l'esprit, parbleu, tu l'as des plus exquis : Que te manque-t-il donc? Allons, saute, marquis. La nature, le ciel, l'amour et la fortune...
Página 202 - Sur vos pieds chancelants vous vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles, Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos...
Página 150 - J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, Qui, pour porter au jeu son tribut volontaire, Vous laissera manquer même du nécessaire, Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. Quel charme qu'un époux qui, flattant sa manie, Fait vingt mauvais marchés tous les jours de sa vie ; Prend pour argent comptant, d'un usurier fripon, Des singes, des pavés, un chantier, du charbon ; Qu'on voit à chaque instant prêt à faire querelle Aux bijoux...
Página 202 - ... vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles. Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos exploits, Plus haut que les acteurs vous élevez la voix ' ; Et tout Paris, témoin de vos traits de folie , Rit plus cent fois de vous que de la comédie.
Página 86 - Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé, Une lèvre qu'on mord pour rendre plus vermeille ', Un chapeau chiffonné qui tombe sur l'oreille, Une longue steinkerque...