La serenadeChez Pierre Ribou, Quay des Augustins, à la descente du Pont-Neuf, à l'Image Saint-Louis., 1708 |
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... yeux Ont laiffé dans mon cœur de place à d'autres feux . LA COM TESSE . Quoy d'aucun feu pour moy votre ame n'est éprise VALERE . Quelques civilitez que l'ufage autorife ... Comment ? LA COMTESSE , ANGELIQUE , Il ne faut pas avec ...
... yeux Ont laiffé dans mon cœur de place à d'autres feux . LA COM TESSE . Quoy d'aucun feu pour moy votre ame n'est éprise VALERE . Quelques civilitez que l'ufage autorife ... Comment ? LA COMTESSE , ANGELIQUE , Il ne faut pas avec ...
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... yeux pourtant , cruelle , il eft l'ou- vrage ; Je fçay qu'à vos beautez c'est faire un dur outrage De nourrir dans mon cœur des defirs partagez ; Que la fureur du jeu fe mêle où vous regnez : Mais ... ANGELIQUE . Cette paffion eft trop ...
... yeux pourtant , cruelle , il eft l'ou- vrage ; Je fçay qu'à vos beautez c'est faire un dur outrage De nourrir dans mon cœur des defirs partagez ; Que la fureur du jeu fe mêle où vous regnez : Mais ... ANGELIQUE . Cette paffion eft trop ...
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... yeux , Vous molliffez . NERINE . VALERE . Jamais ! Quelle rigueur extrême , Jamais ! Ah ! que ce mot eft cruel quand on aime ! Hé quoi ! rien ne pourra fléchir votre courroux ? Vous voulez donc me voir mourir à vos genoux ? ANGELIQUE ...
... yeux , Vous molliffez . NERINE . VALERE . Jamais ! Quelle rigueur extrême , Jamais ! Ah ! que ce mot eft cruel quand on aime ! Hé quoi ! rien ne pourra fléchir votre courroux ? Vous voulez donc me voir mourir à vos genoux ? ANGELIQUE ...
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... yeux fereins & l'accueil avenant . SCENE V. VALERE , HECTOR . Valere entre en comptant beaucoup d'argent dans fon chapeau . HECTOR . Par votre ordre , Monfieur , j'ay vá Monfieus Ar Geronte : • Qui de notre Memoire a fait fort peu de ...
... yeux fereins & l'accueil avenant . SCENE V. VALERE , HECTOR . Valere entre en comptant beaucoup d'argent dans fon chapeau . HECTOR . Par votre ordre , Monfieur , j'ay vá Monfieus Ar Geronte : • Qui de notre Memoire a fait fort peu de ...
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... yeux ? . Attaquer la Comteffe , & nous le dire encore ? LE MARQUIS . Bon , je ne l'aime pas , c'eft - elle qui m'adore , VALERE . Oh , vous pouvez l'aimer autant qu'il vous plaira , C'eft un bien que jamais on ne vous enviera ; Vous ...
... yeux ? . Attaquer la Comteffe , & nous le dire encore ? LE MARQUIS . Bon , je ne l'aime pas , c'eft - elle qui m'adore , VALERE . Oh , vous pouvez l'aimer autant qu'il vous plaira , C'eft un bien que jamais on ne vous enviera ; Vous ...
Términos y frases comunes
Adieu affez AGATHE ainfi allons Amant amour ANGELIQUE auffi aujourd'huy avez befoin BERTRAND c'eft c'eſt CARLIN cens CHAMPAGNE CHEVALIER chofe CLARICE CLITANDRE cœur Colin COMTESSE Coufin croy diable difcours DORANTE efprit eft-ce eftes eftre eſt êtes fage fans fçais fçait fçavoir fçay fens feray feroit fervir feul fille fœur foit fommes font fous fouvent fuis fujet GERONTE grace GROGNAC HECTOR homme ISABELLE j'ay JAQUINET jour joye jufte l'amour l'efprit laiffe Laiffez-moy LEANDRE LEONORE Lifette LISETTE luy donner m'en Madame maiſon Maître Maîtreffe maraut mariage MARINE MARQUIS MATHIEU CROCHET MERLIN mille écus Monfieur Grifon Muficien n'ay n'eft n'eſt NERINE paffer parbleu PASQUIN penfe Pere perfonne plaifir Portrait prefent preft Quoy raifon ravy RESSOURCE rien s'il vous plaift SCAPIN SCENE VIII Serenade SOTANCOUR Trictrac vais VALERE verray veux vin de Champagne voicy voila vray vrayment
Pasajes populares
Página 161 - N'es-tu pas fait à peindre? Est-il homme à la cour Qui de la tête aux pieds porte meilleure mine, Une jambe mieux faite, une taille plus fine? Et pour l'esprit, parbleu, tu l'as des plus exquis : Que te manque-t-il donc? Allons, saute, marquis. La nature, le ciel, l'amour et la fortune...
Página 202 - Sur vos pieds chancelants vous vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles, Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos...
Página 150 - J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, Qui, pour porter au jeu son tribut volontaire, Vous laissera manquer même du nécessaire, Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. Quel charme qu'un époux qui, flattant sa manie, Fait vingt mauvais marchés tous les jours de sa vie ; Prend pour argent comptant, d'un usurier fripon, Des singes, des pavés, un chantier, du charbon ; Qu'on voit à chaque instant prêt à faire querelle Aux bijoux...
Página 202 - ... vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles. Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos exploits, Plus haut que les acteurs vous élevez la voix ' ; Et tout Paris, témoin de vos traits de folie , Rit plus cent fois de vous que de la comédie.
Página 86 - Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé, Une lèvre qu'on mord pour rendre plus vermeille ', Un chapeau chiffonné qui tombe sur l'oreille, Une longue steinkerque...