Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
Dentro del libro
Resultados 6-10 de 27
Página 27
... yeux , Parmi des flots d'écume , un monftre fu- rieux , Sans ajouter cette longue de- fcription de la figure du Dragon : Son front large eft armé de cornes mena- çantes Tout fon corps eft couvert d'écailles jau- niffantes , Sa ...
... yeux , Parmi des flots d'écume , un monftre fu- rieux , Sans ajouter cette longue de- fcription de la figure du Dragon : Son front large eft armé de cornes mena- çantes Tout fon corps eft couvert d'écailles jau- niffantes , Sa ...
Página 31
... yeux philofophes la différence qui clarté . fe trouve entre la rapidité de la penfée , & la lenteur des moyens que les hommes employent à se la communiquer ; on gémit de ce que les fignes inventés pour l'ex- primer ne font pas plus ...
... yeux philofophes la différence qui clarté . fe trouve entre la rapidité de la penfée , & la lenteur des moyens que les hommes employent à se la communiquer ; on gémit de ce que les fignes inventés pour l'ex- primer ne font pas plus ...
Página 45
... yeux d'abord , plut par la nou- veauté . Il fembloit que la premiere aurore du bon goût ne dût luire qu'à travers les nuages ténébreux que le mauvais goût s'efforceroit de lui oppofer . En effet rien é- toit - il plus contraire au bon ...
... yeux d'abord , plut par la nou- veauté . Il fembloit que la premiere aurore du bon goût ne dût luire qu'à travers les nuages ténébreux que le mauvais goût s'efforceroit de lui oppofer . En effet rien é- toit - il plus contraire au bon ...
Página 75
... yeux de l'avenir . Que ne puis - je franchir cette noble bar- Liv . III . riere ! Mais peu propre aux efforts d'une longue carriere ! Je vais jufqu'où je puis : Et femblable à l'Abeille en nos jardins éclofe , De differentes fleurs j ...
... yeux de l'avenir . Que ne puis - je franchir cette noble bar- Liv . III . riere ! Mais peu propre aux efforts d'une longue carriere ! Je vais jufqu'où je puis : Et femblable à l'Abeille en nos jardins éclofe , De differentes fleurs j ...
Página 76
... yeux verroient leur masse aride Tranfportée au milieu des airs , Tomber d'une chûte rapide Dans le vafte goufre des mers . Pouffons dans l'air des cris de joye Oublions nos longues douleurs ; Qu'aujourd'hui notre front se voye Couronné ...
... yeux verroient leur masse aride Tranfportée au milieu des airs , Tomber d'une chûte rapide Dans le vafte goufre des mers . Pouffons dans l'air des cris de joye Oublions nos longues douleurs ; Qu'aujourd'hui notre front se voye Couronné ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.