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" L'arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore. Il servait de refuge Contre le chaud, la pluie et la fureur des vents : Pour nous seuls il ornait les jardins et les champs. L'ombrage n'était pas le seul bien qu'il sût faire : II courbait sous... "
Fables de Fontaine avec les notes de Champfort - Página 135
por Jean de La Fontaine - 1796
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Fifty fables by La Fontaine

Jean de La Fontaine - 1903 - 140 páginas
...d'arbitre, accusateur. Je le récuse aussi.» L'arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore. II servait de refuge Contre le chaud, la pluie, et la fureur des vents ; 70 Pour nous seuls il ornait les jardins et les champs ; L'ombrage n'était pas le seul bien qu'il...
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Petit glossaire des classiques franc̜ais du dix-septième siècle: contenant ...

Edmond Huguet - 1907 - 434 páginas
...loyer de la Bible éclaircie, Te paye en l'acceptant d'un « je vous remercie ». BOIL. Sat. 8. — L'ombrage n'était pas le seul bien qu'il sût faire...salaire Un rustre l'abattait : c'était là son loyer. LA FONT. Fab. X, i . — Un feu contagieux, digne loyer du vice. CORN, tfymn. de Ste Geneviève. Luisant...
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Notre littérature étudiée dans les textes, Volumen1

Marcel Braunschvig - 1920 - 950 páginas
...lolilude. — 14. Soins, «ouci».] • ... L'arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore. 11 servait de refuge Contre le chaud, la pluie et la...L'ombrage n'était pas le seul bien qu'il sût faire : II courbait sous les fruits. Cependant pour salaire Un rustre l'abattait : c'était là son loyer1...
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Les auteurs français du programme (classes de seconde et première ..., Volumen1

Edmond Estève, E. Guirand, René Harmand - 1921 - 516 páginas
...d'arbitre, accusateur. Je le récuse aussi. » L'arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore. Il servait de refuge Contre le chaud, la pluie et la fureur desi vents : Pour nous seuls il ornait les jardins et les champs; L'ombrage n'était pas le seul bien...
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Le français classique: lexique de la langue du dix-septième siècle ...

Gaston Cayrou - 1923 - 982 páginas
...bras a servi Venceslas », tf'est-ce pas un loyer digne de cent combats ? (ROTR., Venccsl., v. 1082.) Il courbait sous les fruits ; cependant pour salaire Un rustre l'abattait : c'était là son loyer. (LA FONT., Fab., X. 1.) NB — II est, en ce sens, « plus en usage en vers qu'en prose. » (R. 80.)...
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Sur Baudelaire, Flaubert et Morand

Marcel Proust - 1987 - 260 páginas
...l'aide. et cette gamme incomparable de temps : L'Arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore, il servait de refuge Contre le chaud, la pluie et...ornait les jardins et les champs. L'ombrage n'était point le seul bien qu'il sût faire. Il courbait sous les fruits. Cependant pour salaire Un rustre...
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Flaubert savait-il écrire?: une querelle grammaticale (1919-1921)

Gilles Philippe - 2004 - 212 páginas
...l'aide. et cette gamme incomparable de temps : L'Arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore, il servait de refuge Contre le chaud, la pluie et...ornait les jardins et les champs. L'ombrage n'était point le seul bien qu'il sût faire. Il courbait sous les fruits. Cependant pour salaire Un rustre...
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Leçons de linguistique de Gustave Guillaume, Volumen10

Gustave Guillaume - 1971 - 502 páginas
...Par exemple, dans L'homme et la couleuvre : L'arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore. Il servait de refuge Contre le chaud, la pluie et...fruits. Cependant pour salaire Un rustre l'abattait.... Comme on le voit par cette citation que l'on aurait pu continuer, car là ne s'arrête pas dans la...
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Fables, with notes by F. Tarver

Jean de La Fontaine - 1875 - 834 páginas
...accusateur. Je le récuse aussi. » L'arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore. Il servoit de refuge Contre le chaud, la pluie, et la fureur des vents; Pour nous seuls il ornoit les jardins et les champs : L'ombrage n'étoit pas le seul bien qu'il sût faire; II courboit...
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